La ritournelle. Lancé le 12 juillet dernier puis renouvelé à la rentrée avec 10 Go supplémentaires de data, le forfait "série spéciale" 60 Go à 8,99€/mois la première année de Free Mobile vient d’être une nouvelle fois prolongé jusqu’au mardi 30 octobre.
Pour rappel, cette offre sans engagement intercalée entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, comprend pour la bagatelle de 8,99€/mois pendant un an, appels, SMS et MMS illimités, 60Go en France métropolitaine ou encore 3 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.
Action, réaction. Si Free Mobile a déposé la semaine dernière un dossier d’information concernant l’implantation d’une antenne-relais 3G/4G à la mairie de d’Erdeven, une commune située dans le Morbihan, l’opposition n’a pas tardé à pointer le bout de son nez.
L’installation de 33 mètres de haut doit voir le jour entre deux lieux-dits et devrait accueillir à l’avenir les équipements des autres opérateurs. L’objectif est d’améliorer la qualité du réseau dans les communes d’Etel et Erdeven. Une bonne nouvelle pour le maire pour qui cette implantation ne devait pas faire de vagues, "le secteur retenu est assez isolé" avec peu d’habitations à proximité, a t-il assuré la semaine dernière dans les lignes de Ouest France. Pourtant, il n’aura fallu que quelques jours pour que des riverains se mobilisent face à ce projet. Comme le rapporte Le Télégramme, une pétition va être lancée dès demain. Nuisance visuelle, manque d’information et de concertation, remise en cause de la conformité du projet avec le plan local d’urbanisme de la commune, l’opposition ne manque comme souvent pas d’arguments. Les réfractaires demandent aujourd’hui le soutien des élus. Comme un air de déjà-vu.
Annoncé lors du Keynote d’Apple le mois dernier, l’iPhone XR est comme prévu dès à présent disponible en précommande dans la boutique en ligne Free Mobile. Les livraisons seront effectuées à compter du 26 octobre.
Dès à présent, le nouveau bébé de la marque à la pomme est disponible en trois versions et 6 coloris : blanc, rouge, noir, jaune, corail et bleu.
L’iPhone XR embarquant 64 Go est ainsi affiché à 839€ en achat comptant et en 4 fois sans frais à 212€ à la commande puis 3 fois 209€. Pour la seconde version de 128 Go, le prix grimpe logiquement puisque celle-ci est proposé à 909€ ou à 228€+3 fois 227€ en 4 fois sans frais. Enfin pour les portefeuilles les plus conséquents, il est possible d’opter pour la version 256 Go, il vous en coutera la bagatelle de 1019€ en achat comptant et 388€ à la commande puis 257€ à la commande puis 3 fois 254€.
Sa présentation
L’iPhone XR arbore un design similaire aux autres iPhone X à la différence près qu’il est équipé d’un boîtier en aluminium, probablement dans le but de faire baisser son prix cependant, il dispose bien d’un dos en verre afin d’être compatible avec le rechargement sans fil. Il embarque une dalle LCD de 6,1 pouces nommée « Liquid Retina » par la Pomme, d’une résolution de 1792 x 828 légèrement moins haute que pour les XS et XS Max.
L’appareil, dépourvu de 3D Touch, est doté d’un nouveau système de retour haptique pour compenser. Il n’embarque qu’un seul module caméra à l’arrière de 12 mégapixels. L’iPhone XR est disponible en plusieurs couleurs à savoir blanc, noir, jaune, corail ou encore rouge pouir l’édition PRODUCT Red.
Il bénéficie de la certification IP 67 et la marque a annoncé que l’autonomie de l’iPhone XR est supérieure d’une heure et demie par rapport à l’iPhone 8 Plus. Le terminal dispose d’une carte eSIM ainsi que d’un emplacement classique pour carte SIM.
C’est du jamais vu chez l’opérateur de Xavier Niel. Après s’être contenté d’activer la fréquence 700 MHz au compte-gouttes sur le littoral Aquitain depuis avril dernier, Free Mobile est passé à la vitesse supérieure à Bordeaux en effectuant un allumage total en l’espace de quelques jours.
Et si Free Mobile avait pour stratégie, dans les grandes villes, d’activer par plaque cette fréquence en or libérée progressivement par la TNT ? Une chose est sûre, il n’a fallu que quelques jours à l’opérateur pour activer la fréquence 700 MHz sur toutes les antennes concernées de la ville de Bordeaux, nous rapporte Vache GTI de la team RNC Mobile. Une bonne nouvelle pour les abonnés Free Mobile résidents dans la 9ème ville française et possesseurs d’un smartphone compatible puisque cette fréquence permet de couvrir un plus large territoire que les bandes 2600MHz et 1800MHz déployées aujourd’hui par Free Mobile. Mais surtout, la couverture 4G de Free va faire un bon en avant à l’intérieur des bâtiments de "la belle endormie" et de son côté, le débit va en toute logique augmenter grâce à l’agrégation de fréquences. Reste à voir si l’opérateur compte réitérer à l’avenir ce type d’activation généralisée à Lyon, Nantes, Toulouse, Montpellier ou encore Strasbourg, des villes dans lesquelles Free est ou va être autorisé à activer la bande 700 MHz.
Direction la commune de Saint-Didier-au-Mont-d’Or dans la métropole de Lyon où une association voit ressurgir les démons du passé. Déjà fermement opposée à l’implantation d’un pylône de SFR en 2011, celle-ci voit rouge aujourd’hui avec l’arrivée prochaine d’une antenne Free Mobile dans une zone agricole et naturelle.
Contexte. L’opérateur de Xavier Niel doit implanter prochainement une nouvelle antenne-relais sur un terrain à proximité de l’actuel pylône de SFR. De quoi faire réagir l’association "Vivre Saint-Fortunat" dans les lignes du Progrès. Pour l’un de ses membres, c’est la consternation, pourquoi faire le choix d’une nouvelle installation alors que "la mutualisation des deux opérateurs doit être perçue comme une évidence", s’interroge t-il avant d’ajouter que «bien souvent les propriétaires vendent leur terrain agricole (le prix actuel est de 0,50 € le m²) à des opérateurs qui proposent une offre conséquente ou garantissent un loyer pendant dix ans. Notre position n’est pas d’engager une polémique mais de faire appliquer les lois afin de préserver notre patrimoine. »
De son côté, le maire défend le projet et assure dans le quotidien régional"avoir sollicité la totalité des acteurs qui ont tous donné un avis favorable". La mutualisation, l’élu l’a pourtant demandée mais cette alternative est très vite tombée à l’eau. Après analyse, la hauteur du mât était trop basse, il était dès lors impossible de respecter les règles de découplage entre opérateurs et d’apporter une bonne couverte, explique t-il en substance.
Comme en 2011, l’association craint pour la préservation de son patrimoine et dénonce la pollution visuelle engendrée. Pourtant si le site d’implantation est situé dans une zone agricole et naturelle, la Préfecture du Rhône, interrogée par le service urbanisme, a confirmé que "les équipements publics ou d’intérêt collectif dès lors qu’ils ne compromettent pas la vocation agricole de la zone et sous réserve de leur insertion au paysage naturel ou bâti » sont autorisés en zone A", ce qui est visiblement le cas. De son côté, la protection des espaces naturels et agricoles périurbains (Penap) n’a pas remis en cause cette installation.
Par conséquent, il n’y a aucune raison de s’opposer au projet pour le maire. Une demande d’autorisation de travaux est actuellement en cours auprès de ses services.
Direction la commune d’Estourmel dans le département du Nord où un mystérieux collectif voit d’un mauvais oeil l’implantation d’une antenne-relais Free Mobile à la suite d’un couac en mairie.
Quand le maire se fait doubler, bis repetita. A l’instar de la commune de Bruay-La Buissière, dans le Pas-de-Calais située à seulement 78 km, l’autorisation d’implantation d’une antenne Free-mobile a été signée cet été à L’Estourmel par l’un des adjoints du maire, en son absence et donc sans son approbation. Si celui se dit embêté et a envoyé le mois dernier un courrier aux habitants dans lequel il s’est excusé en indiquant ne pas avoir « mesuré que cela pouvait être un dossier sensible », le mal était déjà fait pour un certains nombre de ses administrés. Furieux, des Estourmelois regrettent de ne pas avoir été prévenus en amont et s’inquiètent aujourd’hui de l’impact des ondes sur la santé. Ils auraient créé un collectif et lancé une pétition qui a reçu 150 signatures. Seulement, aussi étrange que cela puisse paraître, ces derniers refusent de donner leur identité, rapporte La Voix du Nord qui a reçu des courriers anonymes au sein de sa rédaction de Cambrai. De son côté, le maire ne souhaite pas s’entretenir avec la presse. Beaucoup de questions restent donc sans réponse pour le moment.
A Bruay-La Buissière, le maire s’est montré plus parlant et a décidé de ne pas retirer l’arrêté en privilégiant les négociations. L’élu a contacté Free afin de trouver une solution et a obtenu de l’opérateur un arrêt du chantier. Un nouvel emplacement devrait être choisi prochainement.
Comme prévu, l’Arcep a levé le voile sur sa 19ème enquête annuelle d’évaluation de la qualité de service des opérateurs mobiles métropolitains. Bilan, Orange est globalement devant, Bouygues Telecom fait la différence sur SFR et Free Mobile est derrière, parfois plombé par l’itinérance Orange.
Dans cette campagne 2018, plus d’un million de mesures en 2G, 3G et 4G ont été réalisées sur l’ensemble du territoire, dans tous les départements que ce soit à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments et dans les transports, à savoir tous les TGV, intercités, RER, métros, autoroutes mais aussi une vingtaine d’axes routiers secondaires et plus de 50 TER. Comme toujours, l’enquête s’est orientée sur les services mobiles les plus répandus comme la navigation web, la lecture de vidéo, le transfert de données, SMS et appels vocaux.
Premier enseignement, le débit moyen en mobilité en France métropolitaine s’établit à 30 Mbit/s en 2018 et continue à croître en 4G atteignant 39Mbit/s. "Sur les réseaux mobiles des quatre opérateurs, la qualité des services « data » s’améliore, et ce dans toutes les zones : rurales, intermédiaires et denses", fait savoir l’Arcep. Plus précisément selon les mesures effectuées, "Orange affiche les meilleurs résultats. Bouygues Telecom prend globalement l’avantage sur SFR. Enfin, si Free Mobile progresse, il affiche des résultats sensiblement moins bons sur un grand nombre d’indicateurs", estime encore le baromètre.
Autre information, en zone rurale, Bouygues Telecom obtient les meilleurs résultats pour les services voix, SMS et data, juste devant SFR puis Orange. Dernier, Free Mobile est pénalisé par "une couverture 4G moins étendue que celle des autres opérateurs", analyse le régulateur, omettant de souligner que les mesures effectuées intègrent aussi bien l’itinérance Orange et donc des débits bridés que le réseau propre de Free Mobile, sans aucune distinction faite.
Les disparités persistent entre les zones denses et rurales
C’est encore et toujours le gros bémol, si les opérateurs poursuivent l’extension de leur couverture 4G, "à ce jour, de nombreuses zones du territoire n’en bénéficient pas encore. En particulier, en zone rurale, si les débits mesurés continuent à progresser, le débit moyen demeure nettement inférieur à ceux des zones denses et intermédiaires", note l’Arcep. Et d’ajouter qu’il est aujourd’hui nécessaire de réduire ces écarts de performances, c’est d’ailleurs l’objectif du "New Deal".
Afin de se rendre compte plus précisément de la qualité de service mobile des opérateurs, l’Arcep a mise à jour ses cartes sur "Monreseaumobile.fr" et open data. Vous pouvez ainsi retrouver les résultats de couverture au deuxième trimestre 2018 et au premier semestre pour la qualité de service. Constat, Free couvre 90% de la population et 66% du territoire en 4G contre 97% et 76% pour Bouygues et 97% et 78% pour SFR. Leader, Orange couvre 98% de la population et 85% du territoire. A noter qu’en 3G, Free couvre 78% de la surface derrière Bouygues (92%). Orange (98%) et SFR (96%) sont devants.
Par ailleurs, sur les mesures effectuées par l’Arcep, Free arrive derrière sur de nombreux indicateurs. Sur les débits moyens 3G/4G descendants et montants, Orange caracole en tête, devant Bouygues et SFR. L’opérateur de Xavier Niel ferme la marche et se voit pénalisé par l’itinérance Orange, l’Arcep ne se focalise pas ici seulement sur le réseau propre de Free Mobile.
L’opérateur historique en orange, Bouygues en bleu, SFR en rouge et Free en vert.
A noter que du côté des transports, 270 000 mesures ont été effectuées sur les routes et sur 20 nationales, 250 000 dans tous les Intercités et 50 TER , 130 000 dans les TGV et 100 000 dans les RER, Transiliens et métros.
Free Mobile vient de mettre à jour sa boutique en ligne.
Proposé pour la première fois en janvier dernier dans la boutique en ligne peu après son lancement, le Samsung Galaxy A8 a été retiré il y a quelques mois par Free Mobile. Et ce pour mieux revenir puisque le smartphone du fabricant sud-coréen fait son retour toujours en version 32 Go mais à un prix plus attractif grâce à une offre de remboursement de 70€ sur demande jusqu’au 18 novembre prochain. Il faudra ainsi compter 279€ avec cette ODR. A noter que ce modèle est également disponible en 4 fois sans frais ou en location.
Une nouvelle attaque de phishing Free Mobile ciblant certains utilisateurs est en cours et elle est particulièrement étrange.
C’est un état de fait, les filoutages se multiplient au fil du temps et les techniques sont nombreuses pour tromper la vigilance des abonnés. Plusieurs indices permettent cependant de se rendre compte d’un mail incitant à se rendre sur une page frauduleuse comme l’adresse de l’expéditeur. Seulement dans ce phishing, il ne s’agit pas d’une adresse mail inconnue ou similaire à celle de Free Mobile mais bel et bien de celle utilisée par Le Bon Coin quand vous écrivez au service client du site d’annonces et qu’il vous en accuse réception.
Comme nous le rapporte, Christophe, l’abonné Free Mobile et utilisateur du Bon Coin qui a reçu cet hameçonnage, "l’adresse en haut de la capture d’écran est exactement la même que celle qu’utilise Le Bon Coin pour répondre à ses utilisateurs ; dans mon cas ils me disaient qu’ils avaient bien mis mon annonce en ligne." Un message crédible suivi d’une annonce difficile à croire voire digne d’un parfait hors-sujet soit-disant signée Free Mobile : " Merci pour votre fidélité, en guise de récompense, nous vous offrons d’importantes réductions sur vos abonnements et vous aurez la chance de gagner l’un de nos cadeaux".
Un hacker aurait donc visiblement détourné l’adresse du site. Quoi qu’il en soit, si vous recevez ce message, n’y répondez pas. Le but est de récupérer vos données personnelles, en prétextant de vous envoyer ce fameux cadeau ou en vous promettant une réduction sur votre forfait mobile.
Retour dans la commune de Vias dans l’Hérault où une antenne Free Mobile de 40 mètres de haut fait débat depuis quelques mois. Erigé fin juin, ce pylône qui accueillera les équipements d’autres opérateurs d’ici fin 2018, devrait être déplacé sous la pression d’un collectif.
Comme le rapporte Midi Libre, une réunion a récemment eu lieu en mairie entre des membres du collectif de l’Estagnol, accompagnés d’un cadre de l’association Robin des toits, et les représentants de tous les opérateurs (Free, Bouygues, SFR et Orange), sans oublier les élus. Au programme de cette rencontre, l’obligation de retrait des antennes des opérateurs sur le château d’eau de la commune et surtout la grogne des riverains au sujet de l’antenne Free Mobile située à moins de 100m des habitations. Motivé par son désir de voir cette installation "disparaître l’antenne-relais de son environnement immédiat", le collectif a pris appui sur le principe de précaution avant de mettre sur la table ses arguments, comme le risque sanitaire et "des anomalies" dans le dossier du projet.
De son côté, le maire, à l’écoute de ses administrés et conscient de la nécessité d’un réseau mobile décent, a décidé de soumettre aux opérateurs différents emplacements en s’engageant à prendre en charge le financement du déplacement de l’antenne. Seul hic, "les délais d’instruction annoncés par opérateurs seraient de l’ordre de 24 mois", rapporte enfin le quotidien régional.