Auteur : dimitri

Univers Freebox a testé le smartphone Oppo A72 disponible dans la boutique Free Mobile

Nous avons testé le smartphone Oppo A72 disponible chez Free Mobile. Voici nos impressions après une semaine en sa compagnie. Il y a du bon et du moins bon.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques de l’exemplaire qui nous a été fourni par Oppo et que l’on trouve en ce moment à 259 euros dans la boutique Free Mobile :

 


Fiche technique du Oppo A72 : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Snapdragon 665)
–   Mémoire vive : 4 Go


–   Écran : dalle IPS 6,5 pouces
avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son stéréo
–   Stockage : 128 Go (extensible par carte MicroSD)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes 1/2/3/4/5/7/8/12/17/18/19/20/26/28/66
–   Compatibilité 5G : non


–   Quadruple capteur photo au dos (dans un bloc rectangulaire) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels (principal + ultra grand-angle + portrait + monochrome)
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels dans un poinçon en haut à gauche


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : version 5
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 18 Watts (bloc 9V/2A inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface ColorOS 7.1


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : décembre 2020


 

Une première impression un peu décevante

Les bordures assez prononcées autour de l’écran rappellent que nous ne sommes pas face à du haut de gamme. Mais c’est surtout le bruit de grattement creux perçu au niveau du bouton d’alimentation qui vient confirmer le positionnement tarifaire du smartphone. D’ailleurs, ce second aspect, nous l’aurions plus attendu sur un smartphone à 150 euros.

En main, le smartphone n’apparait ni trop petit ni trop grand. Nous avons trois aspects un peu irritants à la longue : le côté savonnette entre les mains, la coque vraiment salissante et le bloc photo se faisant sentir en mode paysage, durant le jeu ou la vidéo. Cela dit, le troisième aspect n’est pas spécifique à l’Oppo A72, mais à l’industrie du smartphone.

Écran Full HD+ et son stéréo

L’écran du Oppo A72 ne coche pas toutes les cases, mais au moins évite-t-il l’encoche et profite-t-il de la définition Full HD+. Pas de 90 Hz ou d’AMOLED, en revanche. Dans les paramètres, on peut choisir la température d’écran : plus froid, par défaut ou plus chaud.

Côté son, on a du stéréo et de la puissance. Cependant, la surreprésentation des aigus ne rend pas forcément l’écoute agréable. Avoir une enceinte Bluetooth ou des écouteurs sous la main ne sera pas un luxe. Toujours au chapitre son, le mini-jack fait d’ailleurs partie de l’équation. La connectique se trouve au niveau de la tranche inférieure.

Une partie photo un poil décevante

L’Oppo A72 présente quatre capteurs photo au dos, dans un bloc rectangulaire excentré, et un module à l’avant, dans un poinçon. À l’usage, il y a de quoi faire de la photo d’appoint, mais le résultat n’emballe pas plus que cela et il faudra que les bonnes conditions de luminosité soient au rendez-vous. Vous n’utiliserez en tout cas pas le A72 pour un moment mémorable type mariage, baptême ou anniversaire.

Ci-dessous, une photo en partant de l’ultra grand-angle jusqu’au zoom 5x :

Une photo en extérieur par mauvais temps, puis sa version ultra grand-angle :

Une photo avec du flou d’arrière-plan :

Deux photos avec le mode 48 Mégapixels (“48 MP” dans le menu hamburger en haut) :

Deux photos de nuit avec les versions corrigées par le mode dédié (“Nuit” en allant vers la gauche). Ca passe ou ça casse.

Deux selfies, en intérieur, puis en extérieur :

Pas de 5G, mais la 4G 700 MHz et le dual-SIM

Avec l’Oppo A72, pas de 5G. Il faudra se contenter de la 4G, avec d’ailleurs un support de la 4G 700 MHz et une gestion dual-SIM.

Ci-dessous, les débits en intérieur :

 

Puis ceux en extérieur :

 

De quoi jouer

Embarquant un chipset Snapdragon 665 et 4 Go de RAM, l’Oppo A72 permet de jouer à titres comme Asphalt 9, Call of Duty Mobile et Need for Speed No Limits dans de bonnes conditions, c’est-à-dire sans temps de chargement à rallonge, sans saccades et sans chauffe désagréable. Un bon point.

Dans les benchmarks, le smartphone chinois ne brille pas spécialement. Testé dans AnTuTu, il côtoie les Samsung Galaxy A50, Xiaomi Redmi Note 8 et Honor 9X. Disk Speed indique 231 Mo/s en écriture et 405 Mo/s en lecture pour la mémoire interne. Cette dernière peut d’ailleurs être étendue grâce à une carte MicroSD dédié. Vous n’aurez ainsi pas à choisir entre dual-SIM et extension mémoire.

 

Une charge pas des plus rapides, mais une bonne autonomie

L’Oppo A72 passe tranquillement la journée et se dirige sans trop forcer vers la deuxième journée d’autonomie grâce à une batterie 5 000 mAh et une configuration assez modeste. 

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : Départ à 17h56 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 13h32 avec 11 % :

– 1 heure et 40 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 30 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 15 minutes de streaming audio sur le son du smartphone
– 3 heures et 5 minutes de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth
– 1 heure et 15 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– Consultation et alertes Twitter / Gmail
– Surf sur Internet
– 1 appel court
– SMS
– Photos
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Tests de débit
– 9 téléchargements
– 4 mises à jour, dont 1 grosse

Le constructeur nous épargne le chargeur 5 Watts, mais aussi le chargeur 10 Watts. On a ainsi un chargeur 18 Watts inclus dans la boîte. Cela ne suffit toutefois pas à envisager une charge très rapide. Faire le plein nous a demandé près de 2 heures et demie.

Ci-dessous, un suivi de charge : 

– 14h20 : 0 %
– 14h25 : 6 %
– 14h30 : 12 %
– 14h35 : 19 %
– 14h47 : 35 %
– 15h08 : 58 %
– 15h23 : 72 %
– 15h44 : 87 %
– 16h44 : 100 %

Android 10 avec l’interface ColorOS 7.1

Le smartphone Oppo A72 s’accompagne d’une interface ColorOS 7.1 basée sur Android 10.

 

Celle-ci intègre des applications dans le cadre de partenariats commerciaux : Facebook, OfficeSuite et Opera. Toutes peuvent être facilement supprimées après une pression prolongée sur l’icône.

Elle propose des fonctions pratiques, dont :

– Le mode nuit
– La gestion avancée des gestes
– La barre latérale pour accéder aux outils ou applications favorites
– La possibilité d’afficher ou non le tiroir d’applications
– La possibilité d’afficher ou non les boutons virtuels d’Android
– L’affichage multifenêtre

 

 

Concernant la sécurité, nous avions les patchs du mois de décembre 2020 après une mise à jour. Quant aux solutions de déverrouillage, le lecteur d’empreintes latéral ou la reconnaissance faciale, rien à signaler. Tout fonctionnait à merveille.


VERDICT

L’Oppo A72 a quelques arguments comme son écran Full HD+, son rendu audio stéréo, sa grosse batterie, sa charge assez rapide (mais pas éclair non plus), ses solutions de déverrouillage efficaces et son interface logicielle très complète. Il garde aussi la connectique mini-jack que l’industrie a tendance à évincer. Il déçoit en revanche au niveau de la photo et de la finition, la seconde n’étant pas au niveau attendu sur un smartphone à 259 euros. Justement, le smartphone se retrouve parfois à 199 euros. C’est, selon nous, un prix plus juste.


 

Classés sous les catégories : Non classé

Choc des smartphones à 219 euros proposés par Free : Samsung Galaxy A21s ou Huawei P40 Lite ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 219 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose des comparatifs entre les smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile, au grès des nouvelles disponibilités et des mouvements de prix. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous opposons les Samsung Galaxy A21s et Huawei P40 Lite, tous deux proposés à 219 euros, grâce à une réduction de prix sur le second. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Huawei

Dalle IPS avec poinçon dans les deux cas, diagonale sensiblement équivalente, les deux smartphones ont pas mal de points en commun. Sauf la définition, avec du FHD+ pour le Huawei et du HD+ pour Samsung. Huawei remporte donc la manche.

Notre classement :

  1. Huawei P40 Lite (6,4 pouces, IPS, FHD+ et poinçon)
  2. Samsung Galaxy A21s (6,5 pouces, IPS, HD+ et poinçon)

Performances en multimédia : Huawei

Processeur octa-core plus véloce et double de mémoire vive. Le Huawei P40 Lite en promet davantage en multimédia comme en multitâche. Le smartphone chinois gagne ainsi la manche.

Notre classement :

  1. P40 Lite (processeur octa-core 2,27 GHz du chipset Kirin 810 avec 6 Go de RAM)
  2. Samsung Galaxy A21s (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Exynos 850 avec 3 Go de RAM)

La photo : Huawei (de très peu)

Côté photo, les configurations sont globalement les mêmes, avec d’ailleurs l’ajout dans les deux cas de capteurs 2 Mégapixels pour gonfler la fiche technique. Huawei promet légèrement plus en selfies, mais c’est vraiment pour déterminer un gagnant.

Notre classement :

  1. Huawei P40 Lite (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Samsung Galaxy A21s (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 13 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Samsung

Huawei propose une charge filaire plus rapide, et Samsung une batterie de meilleure capacité avec une puissance de charge moins élevée, mais de 15 Watts malgré tout. Nous aurions ainsi tendance à privilégier le Galaxy A21s qui annonce une meilleure autonomie, sans être totalement rédhibitoire pour la charge.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A21s (batterie 5 000 mAh et charge 15 Watts)
  2. Huawei P40 Lite (batterie 4 200 mAh et charge 40 Watts)

Le choix d’Univers Freebox :

Huawei remporte deux manches si on met de côté la photo, puisque les deux propositions sont très proches. Mais le constructeur chinois en perd une non négligeable puisque son P40 Lite se retrouve privé des services de Google. Exit donc le Play Store et sa foule d’applications. Huawei ne manque d’ailleurs pas de le rappeler lors d’un achat via son site.

Samsung remporte par conséquent ce face-à-face avec d’ailleurs un atout intéressant, celui de l’autonomie, grâce à une très grosse batterie. Une tranquillité d’esprit toujours appréciable au quotidien.

Classés sous les catégories : Non classé

Le saviez-vous ? Free permet de récupérer la facture d’un smartphone acheté auprès de sa boutique, même pas mal d’années après

Vous ne le saviez peut-être pas, mais Free garde pendant de longues années les factures pour les smartphones achetés auprès de sa boutique. Et c’est plutôt pratique dans le cas d’une revente sur le marché de l’occasion.

Certains ne classent pas forcément leurs papiers de manière optimale, même les factures. Cela peut poser problème lors de la revente d’un smartphone si l’acheteur potentiel réclame une facture et si l’on ne parvient pas à remettre la main dessus.

Dans le cas d’un smartphone acheté auprès de la boutique en ligne Free Mobile, sachez justement que l’opérateur donne la possibilité de retrouver les factures d’achat. Il suffit de se connecter à l’Espace abonné et de cliquer sur “Mes commandes mobiles” dans le menu de gauche.

Apparaissent alors les différents smartphones commandés, avec à chaque fois un bouton “Détails de la commande”. Cliquez dessus.

Dans le détail de la commande s’affiche un bouton “Télecharger la facture” permettant de récupérer la facture associée au format PDF. Libre à vous ensuite d’envoyer le document par e-mail dans le cas d’une petite annonce sur Internet ou de le présenter en mains propres après l’avoir imprimé.

Chose notable et bonne à savoir : Free semble conserver ces factures pendant de nombreuses années. Nous avons en effet retrouvé la facture de l’iPhone 6 reconditionné acquis début 2019, pour notre test des smartphones reconditionnés avec ReCommerce, mais également celle d’un Nokia Lumia 520 acheté en 2014, lorsque Windows Phone n’avait pas encore été enterré pour de bon par Microsoft.

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : les élus apportent des éléments face à l’incompréhension autour d’une antenne

Face à l’incompréhension et au mécontentement des habitants devant l’installation d’une antenne-relais de Free, les élus rappellent quelques aspects dans ce genre de dossier.

Au quartier du Pain de Sucre, à Cagnes-sur-Mer, dans le département des Alpes-Maritimes, une antenne servant à la 3G et à la 4G a reçu un accueil plutôt froid de la part des riverains lorsque ces derniers ont découvert un matin de décembre son installation sur un pylône à haute tension d’Enedis. Manque d’information, installation dans un quartier pourtant protégé, proximité avec des habitations (60 mètres) et une école (150 mètres) et impact sur la valeur de l’immobilier se retrouvent pointés du doigt par des habitants ne cachant pas leur colère. Ces derniers ont d’ailleurs lancé une pétition avant de l’envoyer à la mairie. Certains d’entre eux ont également écrit au Préfet ou à la ministre de la Transition Écologique.

Les élus expliquent

Parfois, c’est l’opérateur qui joue la carte de la pédagogie. Ici, ce sont les élus qui tentent d’apporter des explications face à l’incompréhension.

Le cabinet du maire explique ainsi que l’information est disponible grâce au Dossier d’Information Mairie (DIM) ou encore dans la presse locale, mais que les habitants ne lisent peut-être pas cette dernière. “Louis Nègre (NDRL : le maire) a demandé à tous les opérateurs de communiquer plus dans chaque secteur, quel que soit le type d’intervention. Mais l’opérateur n’est pas obligé”, souligne-t-il. Et d’ajouter : “Nous n’avons rien à cacher sur ce type de dossier, c’est pour ça que le maire a pris l’initiative d’avertir la population lorsqu’il y a des travaux sur des antennes ou des projets d’installation”. Concrètement, les habitants recevront désormais des flyers dans leurs les boîtes aux lettres concernant des travaux à venir.

À la question de pouvoir s’opposer à l’installation de l’antenne en raison de la proximité des habitations et d’une école, le cabinet du maire est clair : “Non, aucuns moyens légaux. La loi s’applique au Pain de Sucre comme partout en France”. Il insiste sur le fait que la municipalité n’est que le “dépositaire” du dossier de l’opérateur. Et d’ajouter que l’autorisation a été donnée à Enedis pour l’implantation de son pylône sur un rond-point au chemin du Pain de Sucre. Free s’est ensuite adressé au propriétaire du pylône, Enedic donc, pour y installer sa nouvelle antenne-relais.


Le pylône où Free s’est installé (crédit photo Éric Ottino)

Une possibilité à rappeler

Le dernier conseil municipal a par ailleurs été l’occasion, pour l’élue écologiste Martine Gibelin, de demander de garder à l’oeil aux antennes-relais, notamment concernant le respect des distances réglementaires par rapport aux zones vulnérables : ” 100 mètres maximum d’installations telles que crèches, établissements scolaires, de soins… “. Mais elle a surtout rappelé une possibilité offerte aux citoyens inquiets concernant l’exposition aux ondes. “N’importe quel citoyen peut demander la mesure des ondes émises”, a-t-elle en effet souligné. Pour cela, il faut en faire la demande auprès de l’ANFR.

Source : Nice Matin

Classés sous les catégories : Non classé

Choc des smartphones à 329 euros chez Free Mobile : Oppo Find X2 Lite ou Samsung Galaxy A51 ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 329 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose des comparatifs entre les smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile, au grès des nouvelles disponibilités et des mouvements de prix. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous opposons les Oppo Find X2 Lite et Samsung Galaxy A51, tous deux proposés à 329 euros, grâce à des baisses de prix. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran :  Samsung

Dalle AMOLED et définition Full HD+ dans les deux cas, diagonales d’écran assez proches. Le Samsung remporte cette manche grâce à un poinçon plus discret que l’encoche goutte d’eau du côté d’Oppo. Une discrétion bienvenue en particulier en vidéo ou en jeu.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A51 (6,5 pouces, AMOLED, FHD+ et poinçon)
  2. Oppo Find X2 Lite (6,4 pouces, AMOLED, FHD+ et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : Oppo

Processeur légèrement plus véloce, mais double de mémoire vive. L’Oppo promet plus de performances, que ce soit en multimédia ou en multitâche. Dans une autre registre, la plate-forme Snapdragon 765G du Find X2 Lite est synonyme de 5G.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (processeur octa-core 2,4 GHz du chipset Snapdragon 765G avec 8 Go de RAM)
  2. Samsung Galaxy A51 (processeur octa-core 2,3 GHz du chipset Exynos 9611 avec 4 Go de RAM )

La photo : Samsung

Les deux smartphones proposent de la photo 48 Mégapixels au dos et 32 Mégapixels pour les selfies. Samsung évite toutefois la tentation des capteurs photo 2 Mégapixels n’apportant pas grand-chose en termes d’expérience. Son Galaxy A51 remporte par conséquent cette manche en offrant un peu plus de polyvalence.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A51 (48/12/5/5 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo Find X2 Lite (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie :  Oppo

Capacité de batterie similaire, mais puissance de charge qui passe du simple au double. Oppo se présente ainsi comme une solution plus intéressante, grâce à un temps de charge plus court et la possibilité de charges express bienvenues pour les gros utilisateurs.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (batterie 4 025 mAh et charge 30 Watts)
  2. Samsung Galaxy A51 (batterie 4 000 mAh et charge 15 Watts)

 


Le choix d’Univers Freebox :

Si les smartphones remportent chacun deux manches, le choix d’Univers Freebox se porte sur l’Oppo Find X2 Lite. Les manches remportées par Samsung se jouent en effet sur des aspects disons plus secondaires, mais surtout le smartphone sud-coréen fait l’impasse sur la 5G en plein lancement commercial de la technologie. Cerise sur le gâteau : des écouteurs sans-fil sont offerts avec le modèle Oppo.


 

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : une antenne-relais n’inquiète pas à cause des ondes, mais en raison de la 5G

Cette antenne-relais Free n’est pas la bienvenue. Non pas à cause des ondes, mais de la 5G. Sans oublier la pollution visuelle qui met d’accord riverains et élus.

Rendez-vous à Saint-Juéry, commune du département du Tarn, en région Occitanie, où une antenne-relais devant servir à la 4G et à la 5G de Free n’emballe ni les habitants ni la mairie. Elle doit plus précisément s’installer route de Villefranche, sur le site d’une casse automobile, en avril 2021.

La pollution visuelle

Riverains et élus s’accordent sur un point : la pollution visuelle, en raison d’une hauteur de 30 mètres qui rendra l’équipement visiblement de très loin.

“On comprend le déploiement, mais on ne peut pas accepter une antenne de 30 mètres à l’entrée du village. Le conseil municipal s’y est formellement opposé. Nous l’avons fait savoir à Casse-Auto, qui doit l’accueillir. Il faut trouver une alternative”, a indiqué David Donnez, maire de Saint-Juéry.

“De Saint-Grégoire (NDRL : à 7 kilomètres de là), on verra l’antenne. Il va vraiment y avoir une pollution visuelle”, soulignent de leur côté les habitants.

La 5G

“Ce n’est pas ça que nous mettons en avant”, ajoutent par ailleurs les habitants à propos des ondes souvent évoquées dans ce genre de frictions, tout en pointant du doigt la 5G que permettra de proposer l’équipement et réclamant ainsi un moratoire en attendant des études sur les risques sanitaires et environnementaux. “Nous ne sommes pas forcément contre, mais à quoi ça sert réellement. Est-ce que cela ne va pas entraîner des dérives ?”, s’interrogent-ils.

Sans oublier d’évoquer la perte de valeur pour l’immobilier aux alentours. Et d’ajouter que Saint-Juery ne se trouve pas dans une zone blanche et qu’il n’y a par conséquent pas d’urgence.

Élus et riverains prêts à passer au niveau supérieur

“Nous avons appris le projet par hasard. Il date de deux ou trois mois”, déplorent en outre les opposants qui se cantonnent pour l’instant à une tractation et une pétition. “On demande un moratoire. S’il n’y a pas de réponse, on passera au niveau supérieur”, indiquent-t-ils. Même son de cloche du côté de la mairie qui manifeste son intention de ne pas en rester là si le projet gardait le même cap.

Source : La Dépêche

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile joue la carte de la pédagogie dans les campagnes face aux interrogations sur ses antennes

Free s’est rapproché d’un collectif de riverains pour expliquer le lieu d’implantation d’une future antenne-relais. Il souligne notamment qu’il n’avait pas vraiment d’autres choix que de passer par un terrain privé.

Pourquoi là, et pas ailleurs ? Free a répondu à la demande d’un collectif d’habitants en organisant une réunion d’information le 15 décembre afin d’expliquer le lieu retenu pour l’implantation de son antenne-relais 3G/4G évolutive en 5G, à Orchaise, dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire. Elle se traduira par un pylône de 36 mètres de haut sur un terrain privé, un parc à chevaux situé chemin de la Pierre-de-Landes. Les travaux doivent débuter en mars 2021 avec une mise en service programmée pour juillet 2021. L’équipement sera d’ailleurs mutualisé avec Orange.

Une urgence, mais pas de réponse de la commune

À la trentaine de personnes réunies à la salle des fêtes, Yoann Chéramy, chargé d’affaires chez Free Mobile, a souligné l’engagement de couverture en tant qu’opérateur et le souhait d’aller vite en raison de “la saturation du réseau, qui s’est accentuée pendant les confinements”. Or, pas de réponse de la part de la commune à un e-mail envoyé le 16 juillet 2019 dans lequel l’opérateur manifestait ses intentions. Pas de réponse non plus lors d’une relance quelques semaines plus tard. “À partir du moment où nous n’avons pas eu de retour de la commune, nous avons pris le parti de contacter des particuliers pour trouver un terrain où nous installer”, explique le représentant de Free. Présente, l’adjointe à la mairie Dominique Turpin a expliqué l’absence de retour par l’absence de terrain à proposer.

Les riverains ont demandé des précisions concernant le choix du lieu. “L’idéal aurait été que je m’installe au pied du château d’eau, mais le poids d’une antenne-relais (entre 600 et 800 kg) risquerait de dégrader l’ouvrage si celui-ci n’est pas renforcé”, a expliqué le représentant de Free. Quid d’une mutualisation avec les équipements à Molineuf ou sur l’autoroute A10 ? “La distance de deux kilomètres, c’est déjà loin pour un opérateur. La portée d’une antenne se joue à 500 mètres près”, a-t-il répondu. Sans oublier le questionnement concernant les risques sanitaires. “D’après les études menées, il n’y a pas de risques avérés pour la santé”, a rappelé le représentant de Free Mobile”. Et d’ajouter : “comme les ondes sont un sujet de préoccupation, nous émettons faiblement, entre 0 et 1 volt par mètre. C’est pour cela que nous sommes obligés de mettre des antennes partout”.

Source : La Nouvelle République

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : une option pratique de nouveau disponible pour les abonnés

Vous pouvez à nouveau changer de numéro de mobile en quelques clics. La fonction a été réactivée dans l’espace abonné de Free Mobile.

Avec le nouvel espace abonné Free Mobile plus clair et plus moderne lancé il y a quelques semaines, une fonction s’était retrouvée en maintenance. Elle apparaissait grisée et donc inutilisable. Il s’agissait du changement de numéro de mobile, toujours bien utile en cas de harcèlement téléphonique (ex, personne mal intentionnée, commerciaux, etc.). D’après des remontées d’abonnés et nos propres constatations, la fonction “Changer de numéro de ligne” est de nouveau opérationnelle dans l’espace abonné Free Mobile :

En seulement quelques clics, vous pouvez ainsi choisir un nouveau numéro parmi une liste de dix. Il vous en coûtera 5 euros à régler par carte bancaire. Aucun changement de carte SIM n’est nécessaire. Notez que vous ne pourrez pas changer à nouveau de numéro avant une période de 30 jours ni récupérer votre ancien numéro une fois le changement effectué.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Interview Univers Freebox : stratégie de Free et ses rivaux, autorisations, l’ANFR fait le point sur la 5G

Sur fond de lancement de lancement de la 5G en France, Gilles Brégant, directeur général de l’ANFR, a répondu aux questions d’Univers Freebox. Le gendarme des ondes en France revient notamment sur les autorisations délivrées aux opérateurs, la stratégie de Free dans la 5G, les craintes autour de cette nouvelle technologie et l’évolution des mesures du DAS sur les smartphones.

(Univers Freebox ) : En plein lancement de la 5G en France, l’ANFR doit délivrer de nombreuses autorisations à Orange, Free, Bouygues et SFR. Au 27 novembre, 15 901 sites 5G ont été autorisés. Comment est absorbé cet afflux de demandes, en parallèle de celui pour la 4G, pour ne pas allonger les délais de délivrance et permettre aux opérateurs de déployer rapidement leurs réseaux ?

Gilles Brégant : Les échanges engagés avec les opérateurs ont permis de distinguer rapidement deux cas : les nouveaux systèmes (nouvelles fréquences, modifications d’antennes, etc.) ou les mises à jour d’émetteurs existants.

Les nouveaux systèmes sont surtout apparus après l’attribution aux opérateurs des fréquences de la bande 3,5 GHz en novembre. Le flux des demandes hebdomadaires reçues et traitées par l’ANFR a cru d’environ 25 %. Malgré cette augmentation significative, le délai de traitement classique des demandes, qui est de 4 à 5 semaines, n’a pas été modifié. Ceci a été possible grâce à un processus d’autorisation bien rôdé, à des outils informatiques robustes et aux échanges d’information rapides avec les parties prenantes (affectataires concernés et opérateurs).

Les mises à jour, quant à elles, concernent l’introduction de la 5G dans les bandes basses (700 MHz et 2100 MHz) sans modification des paramètres de diffusion (même site, même puissance, mêmes fréquences). En identifiant bien ces cas dans le flux des autorisations, ces demandes 5G « simples », bien que très nombreuses, ont pu être traitées plus facilement par toutes les parties prenantes.

Ces demandes concernent d’ailleurs plusieurs bandes de fréquences (700, 2 100 et 3 500 MHz), certaines offrant plus de couverture et d’autres davantage de débit. Les opérateurs devront d’ailleurs être transparents à ce sujet pour éviter les déceptions côté abonnés. Pouvez-vous donner des ordres d’idée concernant les avantages/inconvénients de chacune ?

La bande 700 MHz est la bande la plus basse utilisée par les réseaux mobiles. Elle est particulièrement intéressante pour sa portée et nécessite donc moins de sites d’émission pour couvrir une zone. Elle a aussi l’avantage de bien pénétrer dans les bâtiments. En revanche, sa capacité en débit restera limitée avec des tailles de blocs de fréquences ne dépassant pas 10 MHz dans chaque sens.

La bande 2100 MHz, plus élevée dans le spectre, offre un débit légèrement plus favorable pour les opérateurs qui ont obtenu des blocs allant jusqu’à près de 20 MHz. Néanmoins, la portée et la pénétration dans les bâtiments est moins favorable que la bande 700 MHz.

Enfin, la nouvelle bande 3,5 GHz va permettre d’augmenter sensiblement les débits disponibles, avec des blocs de fréquences beaucoup plus larges (70 à 90 MHz, bidirectionnels). En revanche, comme on monte encore dans le spectre, la portée de ces fréquences est un peu plus faible, de même pour la pénétration indoor. C’est pour cela qu’elles seront exploitées avec des antennes actives, qui permettent, en focalisant mieux l’émission, de reconstituer une couverture comparable à celle de la gamme pivot pour les réseaux mobiles (1800 MHz).

Avec déjà 11 770 autorisations obtenues pour la bande 700 MHz, Free compte utiliser massivement celle-ci pour déployer sa 5G. Est-ce un choix judicieux à l’heure du débat “vraie/fausse 5G” ?

C’est une stratégie de lancement d’opérateur, mais le déploiement de la 5G se fera sur plusieurs années. Il faudrait en savoir plus pour pouvoir l’analyser. En tout état de cause, aucun opérateur ne déploiera dans une seule bande de fréquences. Ils utiliseront plusieurs bandes aux propriétés différentes, qui leur permettront d’optimiser leurs réseaux en fonction des caractéristiques de la zone à couvrir. Par ailleurs, il faut garder à l’esprit que les téléphones portables compatibles 5G peuvent utiliser ces différentes bandes de fréquences simultanément, selon les besoins en débit et l’état de la couverture dans une bande donnée à un endroit donné : dans une zone où un opérateur dispose de 5G dans plusieurs bandes, l’agrégation de celles-ci permettra d’offrir à l’utilisateur des débits améliorés.

Plusieurs municipalités freinent des quatre pieds pour le déploiement de la 5G sur fond de craintes sanitaires et environnementales, réclamant de ce fait un moratoire. Quel est votre avis sur la situation ?

La 5G est une technologie plus moderne, qui améliore des limitations identifiées au fil de l’exploitation des technologies antérieures : d’un point de vue technique, elle n’apporte que des avantages. Mais comme toute nouvelle technologie, elle suscite des interrogations sur son utilité, dans un contexte où les évolutions technologiques vont de plus en plus vite et où le numérique prend une part de plus en plus importante dans nos vies. Plutôt qu’un moratoire, un débat public et de la pédagogie sur ce qu’est vraiment la 5G peuvent favoriser une approche constructive sur ce que cette nouvelle technologie peut apporter à la société. Ce sont les usages que la société en fera qu’il faut étudier : beaucoup des évolutions d’usage que l’on présente comme propres à la 5G sont en réalité parfois déjà possibles, voire présents avec la 4G. Dans le cadre de ces débats publics, l’ANFR intervient à la demande des municipalités pour apporter des éléments objectifs, notamment sur les aspects liés au contrôle de l’exposition aux ondes et au fonctionnement du réseau 5G.

Un rapport de l’Anses sur les risques sanitaires liés à la 5G est attendu au premier trimestre 2021. Pourtant, cela n’a pas empêché le lancement de la 5G. Que pourriez-vous dire aux plus inquiets concernant l’exposition aux ondes ?

Tout d’abord, il faut garder à l’esprit que l’Anses publie régulièrement une étude par an en moyenne sur l’exposition du public, depuis plusieurs années. Il est logique qu’elle en ait publié une en 2020 sur la 5G, qui était apparue lors des premiers tests de terrain, et qu’elle poursuive en 2021. Il est même vraisemblable qu’elle approfondisse les années suivantes, au fil du déploiement de la 5G. Ces études de l’Anses montrent que la vigilance de notre agence sanitaire nationale s’exerce régulièrement sur l’exposition du public, et c’est au contraire plutôt rassurant.

Actuellement, la 5G est déployée par les opérateurs sur 2 types de bandes de fréquences : les bandes dites « basses » qui sont déjà utilisées pour les technologies 2G/3G et 4G, et la nouvelle bande 3,5 GHz.

Sur les bandes basses, de nombreuses études concernant les effets sanitaires liés aux ondes ont été menées depuis plusieurs dizaines d’années et l’Anses n’a pas identifié de risque avéré lié à ces ondes dès lors que les limites d’exposition sont respectées, ce qui est largement le cas en France.

La nouvelle bande 3,5 GHz est quant à elle déjà utilisée dans certaines zones en France pour l’accès à l’internet fixe ; elle est également très proche des bandes déjà utilisées depuis plusieurs années par les réseaux 4G (2,6 GHz) et les réseaux Wi-Fi (2,45 GHz et 5 GHz) : il n’y a pas véritablement d’inconnue et les études faites sur ces bandes de fréquences vont être précisées pour la bande 3,5 GHz.

En complément, l’ANFR va augmenter sensiblement, à la demande du ministre Cédric O, ses contrôles en matière d’exposition du public aux ondes avec le déploiement de la 5G. Elle le fera pour ce qui concerne l’exposition liée aux antennes 5G avec 10 000 mesures prévues en 2021, mais également pour ce qui concerne l’exposition générée par les nouveaux téléphones portables 5G, avec un doublement des contrôles en 2021 par rapport à 2019. Ces informations seront bien entendu comme toujours transmises à l’Anses, pour nourrir son évaluation scientifique.

Plus que les antennes, ce sont les smartphones que l’on porte à proximité de son corps qui exposent le plus aux ondes. Toutes les mesures que nous faisons sont totalement transparentes et sont disponibles sur notre site auprès du public.

Des capteurs autonomes ont été déployés dans trois grandes villes (Nantes, Marseille et Paris), afin de suivre l’évolution de l’exposition aux ondes, avec une carte en ligne pour consulter les historiques de mesures. Doit-on s’attendre à un déploiement massif en 2021 sur fond de craintes autour de la 5G, dans le but de répondre à certaines inquiétudes ?

L’ANFR déploie sur quelques grandes villes des capteurs fixes qui permettent de recueillir en temps réel le niveau d’exposition global à proximité d’une antenne 5G. Au départ, il s’agissait d’une démarche de l’ANFR, pour améliorer sa capacité de prédiction de l’exposition : le champ dû à la 5G en bande 3,5 GHz dépend en effet du nombre de téléphones capables de l’utiliser, et ce parc mettra plusieurs mois à se constituer. Il n’est donc pas possible, contrairement à ce qui se passe avec la 4G, d’avoir le niveau d’exposition dès l’allumage de l’antenne : en 5G, il faut de nombreux téléphones autour pour qu’elle atteigne son niveau de référence. L’objectif est donc de mieux comprendre l’impact du déploiement de la nouvelle bande 5G sur l’exposition globale. Mais c’est aussi un dispositif supplémentaire de surveillance et de transparence, qui peut s’avérer utile pour les collectivités. Celles-ci peuvent d’ailleurs compléter ce dispositif si elles veulent disposer d’un plus grand nombre de capteurs couvrant leur territoire.

Précédemment, vous nous aviez dit que la mesure du DAS sur les smartphones devait évoluer avec la 5G. Vous avez d’ailleurs acquis un banc d’essai pour affiner les protocoles de mesure. Pouvez-vous nous en dire plus ?

L’ANFR va recevoir le nouveau banc de mesures dans les prochains jours. Il s’agira de faire des études sur les téléphones en général pour augmenter l’expertise de l’ANFR, qui est en pratique quasiment la seule administration en Europe à réaliser des mesures de DAS régulières sur des téléphones. Avec la 5G dans la bande millimétrique, les mesures de DAS vont évoluer car, les ondes pénétrant moins dans le corps, on ne fera plus de mesure en volume avec le DAS (W/kg), mais en surface, en mesurant la densité de puissance (W/m2). Ce banc de mesures permettra aussi d’analyser l’effet sur l’exposition des nouvelles fonctions des téléphones 5G, comme l’utilisation simultanée de plusieurs fréquences.

Comment est d’ailleurs intégrée une potentielle marge d’erreur lors des mesures pour être sûr certain que l’appareil se retrouve bien dans les clous ?

Les mesures sont réalisées par des laboratoires accrédités. Tous les appareils critiques sont notamment étalonnés, ce qui signifie qu’il y a une comparaison des résultats des mesures de l’appareil avec ceux issus d’étalons reconnus scientifiquement au niveau international.

Toujours en parlant de DAS, des smartphones sont épinglés pour non-respect des seuils en vigueur. Certains sont retirés du marché, mais la plupart font l’objet d’une mise à jour logicielle déployée par le constructeur pour abaisser la puissance d’émission. Comment cela se répercute-t-il concrètement sur la qualité de réception de l’appareil ? N’est-ce finalement pas double peine pour l’utilisateur avec un appareil se retrouvant à capter moins qu’initialement ?

Une baisse de la valeur du DAS pour un téléphone ne signifie pas en principe une baisse de la qualité de réception du signal. En effet, le correctif peut baisser la puissance maximale du signal en émission, mais il peut également mieux en gérer le rayonnement en tirant parti de ses différentes antennes. Il faut aussi garder à l’esprit que, la plupart du temps, le smartphone ne fonctionne pas à son DAS maximum : le fait que cette valeur maximale revienne dans les limites de la norme n’a donc pas en principe d’impact pour la grande majorité des usages.

À l’heure où l’on pousse le reconditionnement des smartphones, comptez-vous également vous pencher sur d’anciens modèles plus ou moins populaires qui n’auraient pas déjà été testés et qui seraient passés sous les radars ?

Les contrôles de surveillance du marché ne peuvent, conformément à la réglementation, être réalisés que dans le cadre de la première mise sur le marché d’un équipement. Les téléphones reconditionnés s’apparentent à des téléphones d’occasion et ne peuvent donc plus être contrôlés par l’ANFR

Classés sous les catégories : Non classé

Choc des smartphones à 179 euros proposés par Free : Xiaomi Redmi Note 9 ou Oppo A53s ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 179 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous opposons les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A53s, tous les deux proposés à 179 euros, grâce à des baisses de prix. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi

Les deux smartphones proposent la même diagonale et le poinçon pour le capteur photo frontal. Si le modèle Oppo profite de l’affichage en 90 Hz, il se contente de la définition HD+. Le Xiaomi se montre donc plus intéressant, car affichant la définition FHD+.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, IPS, FHD+ et poinçon)
  2. Oppo A53s (6,5 pouces, iPS, HD+, 90 Hz et poinçon)

Performance en multimédia :  Xiaomi

Xiaomi embarque un chipset plus récent et laissant envisager du jeu mobile (avec évidemment des concessions en termes de réglages graphiques). Le Redmi Note 9 gagne donc cette manche.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset MediaTek Helio G85 avec 3 Go de RAM)
  2. Oppo A53s (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Qualcomm Snapdragon 460 avec 4 Go de RAM)

La photo : Xiaomi

Avec un capteur photo principal plus performant et un capteur secondaire pour l’ultra grand-angle, le Xiaomi en promet davantage. Pour le reste, on parle de modules 2 Mégapixels, surtout là pour gonfler la fiche technique.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 13 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo A53s (13/2/2 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Même capacité de batterie et même capacité de charge pour les deux smartphones. Xiaomi remporte la manche en fournissant un chargeur un peu plus puissant que nécessaire, ce qui peut toujours servir pour d’autres appareils.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (batterie 5 020 mAh et charge 18 Watts, mais chargeur 22,5 Watts dans la boîte)
  2. Oppo A53s (batterie 5 000 mAh et charge 18 Watts)

Le choix d’Univers Freebox : le Xiaomi Redmi Note 9

Au premier abord, les deux smartphones semblent se valoir : diagonale d’environ 6,5 pouces, processeur octa-core, multiples capteurs photo, batterie d’environ 5 000 mAh et charge 18 Watts. Ils se démarquent dans les détails, des détails qui permettent à Xiaomi de remporter la manche en affichant un écran mieux défini, un peu plus de performances en multimédia et une partie photo plus étoffée. Vous pouvez d’ailleurs retrouver notre test du Redmi Note 9.


 

Classés sous les catégories : Non classé