Auteur : dimitri

Free Mobile : le parcours du combattant d’une antenne-relais

Ça n’était pas gagné d’avance et tout le monde a retroussé ses manches pour permettre l’arrivée d’une antenne-relais de Free. Une commune raconte tout le chemin parcouru.

Dur dur d’être une antenne. Pas toujours facile en effet pour ces relais de communication de trouver leur place dans un monde pourtant de plus en plus connecté. Quand ce ne sont pas les riverains qui veulent garder leurs distances, c’est l’environnement qui n’apparaît pas naturellement prêt à les accueillir. 

Ce parcours du combattant s’illustre parfaitement avec les péripéties traversées par Free pour implanter son antenne-relais au lieu-dit La Frasse, en Haute-Savoie, et expliquées par Luc Pluyaud, adjoint aux travaux de la commune de Saint-Colomban-des-Villards. Et ce alors que la date-butoir pour la livraison était fixée par l’État au 31 décembre 2020.

Trouver l’emplacement et préparer le terrain

Dans un premier temps, une quinzaine d’emplacements ont été étudiés et écartés depuis les études lancées au printemps 2019, avant de trouver le lieu optimal pour couvrir les hameaux de la commune. 

Mais la partie était loin d’être gagnée une fois l’emplacement choisi puisqu’il aura fallu l’intervention d’une entreprise pour stabiliser le terrain retenu. Des travaux terminés en septembre dernier. Après quoi, Free a pu réaliser la plate-forme en béton pour accueillir le pylône, avant de laisser trois semaines au minimum de séchage. Ce temps a d’ailleurs été mis à profit par Enedis pour les travaux d’enfouissement du réseau électrique. En raison de la difficulté d’accès au lieu et de la charge à transporter, il aura enfin fallu un hélicoptère et trois voyages pour transporter les différents éléments du pylône de 46 mètres de haut , des navettes devant en plus composer avec les conditions météo. 

Concernant son rôle, la commune rappelle qu’elle n’a “aucune maîtrise des opérations”, que son rôle a simplement consisté à “faciliter la procédure administrative” avec “intelligence, diligence et opiniâtreté”. Les maîtres d’ouvrage chacun dans leur domaine sont Free et Enedis.

Source : La Maurienne (version papier)

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Interview Univers Freebox : realme annonce discuter avec Free et confirme son arrivée chez Bouygues Telecom

Fraîchement arrivé en France, Realme a répondu aux questions d’Univers Freebox. L’occasion d’évoquer, avec vice-président Madhav Sheth, la disponibilité des smartphones Realme auprès des opérateurs et les ambitions de la marque.

(Univers Freebox) : Discutez-vous avec Free pour proposer vos smartphones dans la boutique de l’opérateur ?

Bien sûr. Nous sommes en discussion avec plusieurs opérateurs en France pour la vente en ligne dans un premier temps. Mais nous travaillons aussi pour entrer dans les réseaux de magasins avec une vision de partenariat à long terme.

(UF) : Êtes-vous en discussions avec d’autres opérateurs en France ?

Oui, nous allons bientôt arriver chez Bouygues Telecom.

(UF) : La marque realme reste peu connue en France. Pouvez-vous nous présenter brièvement son histoire et ses liens avec le groupe BBK Electronics, que l’on connait aussi à travers les marques OnePlus, Vivo ou Oppo ?

realme est née en 2018 dans le but de satisfaire les besoins des jeunes consommateurs. Nous ne voulons pas que les jeunes utilisateurs sacrifient leur recherche d’esthétique et d’excellentes performances au profit du prix. Nous “osons faire le grand saut”, comme le dit notre slogan (Dare To Leap), afin de pouvoir atteindre notre principal objectif : offrir aux jeunes du monde entier un produit doté d’une technologie haut de gamme et d’un design de qualité qui s’adaptera parfaitement à leur vie.

realme est une marque indépendante au sein du groupe BBK Electronics. Elle a son propre positionnement sur le marché, sa propre stratégie de marque, son équipe de R&D et de marketing et son propre fonctionnement.

(UF) : Quelles sont les ambitions de realme sur le marché français, à court terme et long terme ?

En France, nous voulons viser un rapport qualité/prix plus que l’agressivité des prix. En effet, après le succès de realme en Inde, nous estimons qu’il n’y a pas beaucoup de différences entre l’Inde et la France. Nous parlons tous le même langage, celui de la technologie. Vous voulez que votre appareil soit performant, que ce soit pour la photographie, pour le processeur ou pour la recharge. C’est la même chose pour chaque consommateur, que ce soit en France, en Inde ou ailleurs dans le monde. Les attentes d’un produit seront toujours plus élevées. On en veut toujours plus, et c’est ce besoin, ce désir, que realme veut satisfaire en France.

(UF) : realme est réputé pour ses smartphones à prix attractifs. Comptez-vous vous aventurer rapidement sur le très haut de gamme ?

Nous voulons simplement satisfaire les besoins des jeunes en matière de technologie. Nous offrons des produits de qualité, de design et de prix que les jeunes peuvent s’offrir. Nous ne voulons pas qu’ils renoncent à quoi que ce soit et qu’ils aient des produits technologiques haut de gamme qui s’adaptent à leur vie. Offrir des options aux consommateurs est toujours un bon choix. Ainsi, nous avons peut-être plus de modèles haut de gamme, mais pour l’instant, ce ne sont pas nos produits phares.

(UF) : Travaillez-vous sur les écrans pliables, comme Samsung, Huawei et Motorola, ou bien sur les écrans enroulables comme Oppo qui vient de dévoiler son concept Oppo X 2021 ?

Tout d’abord, le téléphone pliable est certainement une technologie remarquable. Mais va-t-il devenir populaire ? Nous avons encore besoin de temps pour le savoir. Les téléphones pliables présentent de nombreux avantages. Par exemple, une vue plus large et aussi le sentiment de pouvoir utiliser une technologie du futur. Il en est encore à un stade expérimental. En réalité, nous avons toujours une attitude positive vis-à-vis de l’écran, qui fournit quelque chose d’utile et de plus performant. C’est pourquoi nous utilisons l’écran le plus nouveau et innovateur. Peu importe le modèle, ils sont tous à la pointe dans leur segment de prix.

(UF) : En parlant d’innovations, realme a présenté une charge 125 Watts durant l’été 2020. Avez-vous prévu de proposer prochainement en France un smartphone équipé d’une telle technologie ?

Oui, bien sûr.

(UF) : Alors que l’environnement est aujourd’hui une question centrale, quelle est la position de realme ? Que fait la marque à son niveau pour allonger la durée de vie de ses smartphones ?

En termes d’éco-responsabilité, comme nous sommes relativement nouveaux sur le marché français, nous nous sommes concentrés sur nos lancements et le référencement de nos produits. Néanmoins, nous ne manquerons pas une implantation complète de la marque sur le Vieux Continent, que nous pourrons mettre en place prochainement.

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Test du Xiaomi Mi 10T disponible chez Free Mobile, un nouveau smartphone haut de gamme à gagner prochainement avec Univers Freebox

Une expérience haut de gamme à prix cassé, voilà ce que propose Xiaomi avec son Mi 10T. Nous l’avions testé pendant une dizaine de jours et voici nos impressions à son sujet. L’expérience est vraiment bonne, mais la copie perfectible.

Avant de passer au test, voici les caractéristiques du Xiaomi Mi 10T, qui s’affiche à 499 euros dans la boutique Free Mobile avec un stockage 128 Go :

 


Fiche technique du Xiaomi Mi 10T : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,84 GHz (chipset Snapdragon 855)
–   Mémoire vive : 6 ou 8 Go en LPDDR5


–   Écran : dalle IPS 6,67 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
  et un rafraîchissement en 144 Hz
–   Audio : son stéréo
–   Stockage : 128 Go en UFS 3.1 non extensible par carte MicroSD


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28/B32
–   Compatibilité 5G : oui


–   Trois capteurs photo au dos (dans un bloc rectangulaire) : 64 + 13 + 5 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 20 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche)


–   Prise casque 3,5 millimètres : non
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ax
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 33 Watts (bloc inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI 12


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : septembre 2020


 

Un smartphone catégorie poids lourd

Grand écran 6,67 pouces et grosse batterie 5 000 mAh, le Xiaomi Mi 10T se sent bien dans la main. Il a également du mal à se faire oublier dans la poche, notamment celle du short lors d’un footing.

Particulièrement imposant, son bloc photo arrière gâche un peu le design de l’ensemble, en plus de se sentir sous l’index en lecture vidéo ou en jeu vidéo, mais aussi de rendre le smartphone bancal lorsque celui est posé sur la table. Vivement que les constructeurs trouvent le moyen de mieux intégrer cet élément. Fort heureusement, et comme souvent, la coque de protection fournie permet d’atténuer cette protubérance, en plus de protéger le smartphone.

Un écran 144 Hz, un son stéréo

Diagonale de 6,67 pouces, définition Full HD+, taux de rafraîchissement jusqu’à 144 Hz et poinçon discret pour intégrer le capteur photo frontal, l’écran du Mi 10T coche pas mal de cases, mais pas celle de l’AMOLED par contre. Cela n’empêche pas qu’il est agréable à utiliser au quotidien, en intérieur comme en extérieur avec un peu de soleil grâce à une bonne luminosité, en navigation Web comme en jeu grâce à une bonne fluidité. Chaleur d’affichage et fluidité peuvent d’ailleurs être réglées depuis les paramètres.

Côté son, le Mi 10T offre quelque chose de puissant avec un début de basses, un rendu stéréo et pas trop de saturation à fort volume. Calé dans un coin d’étagère, il pourra même faire office de petite enceinte d’appoint. Dans les paramètres, on trouve d’ailleurs un outil pour cette le haut-parleur.

Au chapitre son, pas de mini-jack. On peut ainsi être surpris en découvrant des écouteurs filaires utilisant cette connectique dans la boîte. Le constructeur fournit en fait les écouteurs que l’on connaît bien et que l’on retrouve déjà avec la série Redmi Note. Il fournit d’ailleurs le convertisseur mini-jack vers USB-C. On aurait préféré trouver directement les écouteurs USB-C. Sommes-nous exigeants ? Non, logiques.

De quoi s’amuser en photo

Le Xiaomi Mi 10T se dote de trois capteurs photo à l’arrière, des modèles 64, 13 et 5 Mégapixels, et d’un capteur photo 20 Mégapixels à l’avant. À l’usage, cela permet d’avoir des clichés plutôt bons dans la plupart des situations. On a des modes ultra grand-angle, macro, portrait, nuit et 64 Mégapixels.

Ci-dessous, une photo en extérieur avec sa version ultra grand-angle et sa version zoomée :

Deux photos en mode macro (la seconde est en fait de la mousse sur un mur, pas d’escapade lointaine en plein confinement) :

Une photo en mode 64 Mégapixels :

Des photos avec du flou d’arrière-plan :

Un selfie avec du flou d’arrière-plan :

Un smartphone dual-SIM, avec la 4G 700 MHz et la 5G

Le Xiaomi Mi 10T est compatible avec la 4G 700 MHz et prêt pour la 5G. Il propose également une gestion dual-SIM, sans avoir avoir à sacrifier l’extension mémoire du fait d’un slot hybride. Et pour cause, pas d’extension mémoire possible.

Ci-dessous, deux speedtests en intérieur :

Puis deux tests de débits en extérieur:

Le multimédia est une formalité

Chipset Snapdragon 865, RAM LPDDR5, stockage UFS 3.1, le Xiaomi Mi 10T est un gage de fluidité au quotidien, y compris dans les applications gourmandes telles que les jeux vidéo. Nous n’avons d’ailleurs pas noté de chauffe désagréable.

Le smartphone haut de gamme de Xiaomi se retrouve dans le Top 10 d’AnTuTu, d’ailleurs étrangement sous le nom du modèle Pro qui se différencie notamment grâce à un capteur 108 Mégapixels. Le constructeur n’a pas su nous expliquer pourquoi. Disk Speed indique de son côté 819 Mo/s en écriture et 1,3 Go/s en lecture pour la mémoire de stockage.

Une bonne autonomie, une charge rapide

Globalement, la batterie 5 000 mAh nous permettait de tenir 1 jour et demi à deux jours, avant de passer par la case secteur.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 19h17 à 100 % et arrivée le surlendemain à 19h02 à 17 % :

– 40 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 10 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 50 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 55 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– Fonction de TousAntiCovid
– Consultation et alertes Gmail / Twitter / LinkedIn
– 10 minutes d’appels voix
– Quelques SMS/MMS
– Pas mal de surf sur Internet
– Photos
– 23 mises à jour d’applications
– Tests de débit

Quant au chargeur 33 Watts inclus dans la boîte, il rend la charge assez rapide et les charges express possibles :

Ci-dessous, une charge bouclée en moins d’une heure :

– 12h59 : 1 %
– 13h04 : 12 %
– 13h09 : 23 %
– 13h14 : 33 %
– 13h19 : 44 %
– 13h24 : 54 %
– 13h29 : 65 %
– 13h34 : 74 %
– 13h39 : 83 %
– 13h44 : 91 %
– 13h49 : 97 %
– 13h57 : 100 %

L’interface MIUI 12 en sortie de boîte

Avec le Mi 10T, Xiaomi fournit une interface MIUI 12 basée sur Android 10.

Celle-ci propose quelques fonctions pratiques, dont :
– La possibilité d’avoir ou non un tiroir d’applications
– Les fenêtres flottantes
– La gestion avancée des gestes de navigation
– Le mode lecture
– Le mode nuit
– L’assistant de jeu Game Turbo
– Le second espace pour sécuriser vos données sensibles

On note la présence de quelques applications issues de partenariats commerciaux, dont AliExpress, eBay, Facebook, LinkedIn, Netflix, Opera et WPS. Toutes peuvent être désinstallées.

Concernant enfin la sécurité, nous avions les patchs du mois de septembre 2020 lors de notre test. Pas les derniers, donc. Quant aux solutions de déverrouillage avancées, le lecteur d’empreintes latéral et la reconnaissance faciale, elles fonctionnaient à merveille, en offrant une instantanéité bienvenue au quotidien.


VERDICT

Chipset Snapdragon 865, compatibilité 5G, écran 144 Hz, son stéréo, photo 64 Mégapixels, batterie 5 000 mAh et interface complète. On peut le dire, le Xiaomi Mi 10T est une belle proposition sur le créneau des 500 euros. Le constructeur n’est pas avare non plus côté accessoires. On a en effet le chargeur adéquat, la coque de protection et les écouteurs de bonne facture dans la boîte. Dommage d’ailleurs que ces derniers soient des modèles mini-jack, en sachant que la connectique n’est pas de la partie. Autre point à souligner : pas d’extension MicroSD, même si 128 Go sont déjà confortables. Bref, une belle copie, mais une copie perfectible.


 

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Focus sur les performances photo des smartphones de la boutique Free Mobile

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free ou par les appareils vendus chez l’opérateur, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons des smartphones disponibles dans la boutique Free Mobile et plus précisément de leurs capteurs photo.

Vous l’avez sans doute remarqué. Ces derniers temps, les capteurs photo ont tendance à pousser comme des champignons sur les smartphones. Au dos, il n’est désormais pas rare d’en dénombrer trois ou quatre, organisés en ligne, en carré ou en L, avec une protubérance plus ou moins prononcée. On peut même en trouver cinq dans le cas du Nokia 9 PureView. À l’avant, on peut en avoir un ou deux, installés dans une bordure, une encoche, un poinçon ou une partie rétractable de la tranche supérieure. Voire trois, comme dans le cas de l’Asus Zenfone 7 Pro avec son bloc photo rotatif utilisable à l’avant comme à l’arrière. Mais à quoi sert tout ce beau monde, au fait ?

L’utilité de ces capteurs

À un capteur principal pouvant aller aujourd’hui jusqu’à 48 Mégapixels sur certains modèles d’entrée de gamme comme l’Alcatel 3L 2020 et jusqu’à 108 Mégapixels sur des modèles haut de gamme tels le Samsung Galaxy Note20 Ultra s’ajoutent des modules supplémentaires. Ces derniers servent pour l’ultra-angle (plan élargi), le zoom optique, la macrophotographie (plan rapproché pour des sujets de petite taille) ou les informations de profondeur du mode portrait (avec du flou d’arrière-plan, le fameux effet Bokeh).

L’intelligence artificielle peut venir épauler ces capteurs pour embellir les clichés. Citons par exemple le mode nuit (pour les conditions de basse luminosité) ou la détection de scènes (pour une verdure plus verte, un ciel plus bleu ou un fruit à la couleur plus vive). Une IA dont les performances reposent sur le matériel. D’où de meilleurs résultats sur les smartphones haut de gamme.

Le nombre de capteurs et les Mégapixels ne font pas tout

Si un grand nombre de capteurs suggère une certaine polyvalence au niveau des clichés, ça n’est pas toujours le cas, avec des capteurs à l’utilité parfois discutable, surtout lorsqu’il s’agit de capteurs 2 Mégapixels. Certains constructeurs de smartphones n’hésitent en effet pas à multiplier les capteurs pour gonfler la fiche technique, mais sans réel intérêt à l’usage. Cela s’observe en particulier sur les modèles à petit prix.

De même que l’avalanche de pixels mise en avant dans les fiches techniques n’assure en rien la qualité des clichés à l’arrivée. Un 48 Mégapixels sur un petit smartphone ne rendra pas la même chose qu’un 12 Mégapixels bien exploité sur un modèle haut de gamme comme le récent iPhone 12. Dans la qualité des clichés, il y a d’autres aspects à prendre en compte dont le respect des couleurs. Cela saute parfois aux yeux en comparant la photo et la réalité ou en basculant entre les différents capteurs.

Voir par soi-même

Moralité de l’histoire : ne faites pas aveuglément confiance à une fiche technique. La meilleure chose à faire pour savoir à quoi s’en tenir et éviter la déception, c’est de tester par soi-même en magasin ou avec le modèle d’un proche. Consulter les tests réalisés par la presse spécialisée permet également de se faire une idée des performances photo à attendre du smartphone qui vous fait de l’oeil.

Il faut toutefois garder une chose à l’esprit, surtout si vous comptez immortaliser un événement tel qu’un mariage : aussi performants soient désormais les capteurs photo sur mobile, ils n’offrent pas les performances d’un bon reflex. Cela s’explique notamment par l’impossibilité d’y installer les gros capteurs permettant de capter un maximum de lumière.

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Choc des smartphones à 139 euros proposés par Free : Xiaomi Redmi 9 ou Alcatel 3L 2020 ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 139 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Alcatel 3L 2020 et Xiaomi Redmi 9, tous les deux proposés à 139 euros grâce à une baisse de 20 euros appliquée sur le second. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en 4 ou 24 fois sans frais.

L’écran : Xiaomi

Plus grande diagonale, meilleure définition, Xiaomi remporte facilement cette manche. Signe que l’on est sur de l’entrée de gamme dans les deux cas, il faut de toute manière composer avec l’encoche et une bordure inférieure bien visible. Pas d’AMOLED pour de belles couleurs et meilleurs contrastes, non plus.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi 9 (6,53 pouces, IPS, FHD+ et encoche pour le capteur photo)
  2. Alcatel 3L 2020 (6,22 pouces, IPS, HD+ et encoche pour le capteur photo)

Performances : Xiaomi

Dans les deux cas, on se trouve en présence d’un processeur octa-core 2,0 GHz. La plate-forme est toutefois plus récente et pensée pour apporter le gaming mobile sur les petites configurations, dans le cas du modèle Xiaomi.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi 9 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Helio G80 avec 3 Go de RAM)
  2. Alcatel 3L 2020 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Helio P22 avec 4 Go de RAM)

La photo : Alcatel

Alors oui, Xiaomi présente plus de capteurs photo. Sauf que l’Alcatel est le seul des deux à embarquer un capteur principal de 48 Mégapixels. Un aspect notable sous la barre des 150 euros. Côté selfies, il faudra se contenter dans les deux cas d’un module frontal 8 Mégapixels.

Notre classement :

  1. Alcatel 3L 2020 (48/5/2 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)
  2. Xiaomi Redmi 9 (13/8/5/2 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)
     

L’autonomie : Xiaomi

Batterie 5 020 mAh, support de la charge en 18 Watts et connectique USB-C, le modèle Xiaomi gagne à tous les niveaux. L’Alcatel propose en effet une capacité moindre, une charge moins rapide et pour couronner le tout la vieille connectique Micro-USB. À noter toutefois que le Redmi 9 est fourni avec un chargeur 10 Watts. Il faudra donc mettre la main au porte-monnaie pour profiter de la charge plus rapide.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi 9 (5 020 mAh, support de la charge 18 Watts)
  2. Alcatel 3L 2020 (4 000 mAh, support de la charge 10 Watts)

 


Le choix d’Univers Freebox :

Meilleur écran, promesse de meilleures performances en multimédia, plus grosse batterie, charge plus rapide et connectique à jour, le Xiaomi se montre plus intéressant que l’Alcatel. Sur le papier, l’Alcatel propose peut-être mieux en photo, mais on n’attend pas non plus des étincelles de ce côté-là sous la barre des 150 euros. Lors de notre test, il n’avait en tout cas pas spécialement briller.

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Clin d’oeil : camoufler les antennes-relais, ça coûte bonbon aux opérateurs

Pourquoi ne pas cacher systématiquement les antennes-relais si elles ne sont pas esthétiques ? Ça coûte un bras, pourraient répondre les opérateurs.

Moches, hideuses ou affreuses. Les antennes-relais de téléphonie mobile sont régulièrement pointées du doigt pour leur manque d’esthétisme. On parle même de pollution visuelle. Les opérateurs télécoms redoublent ainsi d’imagination pour leur permettre de se fondre dans le paysage, leur donnant par exemple l’apparence d’arbre. Une ville du Var a même eu droit à un pylône déguisé en palmier. En exemple récent, on peut également citer un coffrage pour permettre l’intégration au clocher d’une église. L’opérateur peut en outre jouer avec les couleurs.

Mais combien cette exigence d’esthétisme aux opérateurs ? Une récente implantation d’antenne de téléphonie mobile illustre ce surcoût pour les telcos. “Une antenne sapin, c’est dix fois le prix normal d’une antenne classique, un coût que l’opérateur a pris entièrement à sa charge”, indique en effet le maire de Brison, en parlant d’un pylône de 36 mètres installé par Free dans un décor montagnard et camouflé à l’aide de fausses branches. Oui, dix fois, ce qui est loin d’être négligeable à l’échelle d’un parc complet. Sachant que la mise en place d’un pylône coûterait entre 100 000 et 200 000 euros, on peut tout de même se demander si le maire n’a pas des origines marseillaises.

Quoi qu’il en soit, l’antenne en question entrera en fonction d’ici fin décembre, soit à temps pour les fêtes de Noël, ce qui réjouit déjà les habitants qui ont du mal à capter de manière stable la 4G. Elle a vocation à servir à Free, mais aussi à Orange, SFR et Bouygues, afin de ne pas multiplier les antennes dans la zone.


(Crédit photo : Le Dauphine Libéré)

Source : Le Dauphiné

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Le saviez-vous ? Free Mobile permet à ses abonnés au forfait 2€ de surfer gratuitement sur internet

Abonnés au petit forfait Free Mobile, vous le savez peut-être pas, mais il est possible de surfer sur Internet sans voir votre facture s’envoler. Gratuitement, en fait.

Personne ne dira le contraire, 50 Mo, ça part extrêmement vite. Un peu de surf sur Internet, quelques e-mails, quelques notifications et c’est fini. Il s’agit d’une enveloppe data d’appoint, rien de plus. En ne faisant pas attention, on peut ainsi vite se retrouver à 10 euros de hors-forfait ou plus, sachant que Free facture 0,05 euro le mégaoctet supplémentaire.

Or, cette enveloppe data 3G/4G symbolique n’est pas la seule ressource dont disposent les détenteurs du forfaits 2 euro (ou 0 euro avec un rattachement à une ligne Freebox) pour avoir accès à Internet. Ceux-ci peuvent en effet bénéficier d’une connexion Wi-Fi gratuite.

Comment ? En utilisant le réseau FreeWifi_secure, un réseau Wi-Fi communautaire utilisant le réseau Wi-Fi des abonnés Freebox ayant accepté d’en faire partie. D’ailleurs, ce feu vert passe désormais par l’Espace Abonné (section Ma Freebox / Fonctionnalité avancées). Il suffit de repérer le réseau en question dans ceux détectés par le smartphone équipé d’une carte SIM Free. La ligne Free Mobile étant détectée, aucun mot de passe ne sera demandé.

Maintenant, avec un débit bridé, cela reste une connexion de dépannage essentiellement pour surfer et consulter ses e-mails.

 

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Micmac autour d’une nouvelle antenne Free Mobile

Une alternative pour l’implantation d’une antenne Free avait été mise sur la table par l’opérateur et semblait satisfaire les riverains opposés au projet. L’option n’a toutefois pas été retenue par le maire. De quoi provoquer l’incompréhension et la colère.

En fait, non. Voilà le ressenti de certains habitants d’Yzeure lorsqu’ils ont reçu un courrier de la commune daté du 12 novembre leur annonçant le choix unanime d’implanter l’antenne-relais 4G de Free à proximité du centre culturel Yzeurespace. Il s’agit de la première possibilité validée en juillet 2020 par la mairie, mais ne convenant pas aux riverains.

Regroupés au sein d’un collectif, ceux-ci pensaient en effet acquise l’implantation du côté des Ozières, vers le parking. Ce second choix avait été proposé par l’opérateur lui-même lors d’une réunion organisée en petit comité avec le maire Pascal Perrin, les riverains et Free. Une seconde réunion arrivant d’ailleurs après une première réunion houleuse en septembre dernier où plus de 150 opposants étaient présents.

Une alternative satisfaisante proposée par Free

Moins efficace, la seconde possibilité suggérée par Free permettait toutefois de calmer les esprits et de pouvoir faire avancer le projet. Cet autre emplacement pour l’antenne-relais assurait en effet un éloignement des habitations, de la crèche et de la salle de spectacle sur fond de craintes exprimées concernant les ondes.

Il apparaissait ainsi comme une “hypothèse sérieuse” aux yeux des riverains. “Le 4 novembre, on était dans une position d’ouverture, de compromis. Certes, c’était moins performant aux Ozières, mais viable et satisfaisant pour reprendre les mots de l’opérateur”, expliquent les membres du collectif.

Mais aucune promesse

Alors qu’ils partaient “confiants” de la seconde réunion, les habitants voient dans cette décision quelque chose d’“obscure” et un “déni de démocratie”.  Le collectif a décidé de se tourner vers la justice administrative pour faire entendre sa voix et de faire appel au service juridique de l’association Robin des toits.

De son choix, le maire Pascal Perrin indique n’avoir jamais “promis que l’hypothèse des Ozières allait être retenue”. Selon lui, la réunion du 4 novembre n’avait rien d’une “réunion décisionnelle”. La décision a en effet été prise le 10 novembre.

Le choix de garder la zone de la salle culturelle s’explique notamment par l’antenne moins haute (31 mètres au lieu de 36) et la possibilité de mieux la dissimuler grâce aux arbres. L’élu a aussi retenu l’argument de la couverture moins optimale qu’avec une implantation à Ozières, un lieu par ailleurs “destiné à rester une base de loisirs naturelle”.

Source : La Montagne (édition papier)

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Choc des smartphones à 259 euros proposés par Free : Oppo A72 ou Samsung Galaxy Xcover 4S ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 259 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Oppo A72 et Samsung Galaxy Xcover 4S, tous les deux proposés à 259 euros. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

 

 

L’écran : Oppo

L’écran du Oppo A72 est moderne, que ce soit avec sa grande diagonale, sa définition Full HD+ et son poinçon. Celui-ci du Samsung Galaxy Xcover 4S nous fait faire un bond dans le temps – dans le mauvais sens malheureusement – avec sa petite diagonale, sa définition HD et ses grosses bordures.

Notre classement :

  1. Oppo A72 (6,5 pouces, FHD+, poinçon pour le capteur photo)
  2. Samsung Galaxy Xcover 4S (5 pouces, HD, grosse bordure pour le capteur photo)

 

Performances en multimédia : Oppo

L’Oppo remporte également cette manche avec son processeur octa-core 2,0 GHz à associé 4 Go de RAM. Équipé d’un processeur octa-core 1,6 épaulé par 3 Go de RAM, le Samsung arrive deuxième, mais n’est pas totalement largué, permettant en effet de jouer à des titres populaires comme Call of Duty. Preuve que l’habit ne fait pas le moine.

Notre classement :

  1. Oppo A72 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Snapdragon 665 avec 4 Go de RAM)
  2. Samsung Galaxy Xcover 4S (processeur octa-core 1,6 GHz du chipset Exynos 7885 avec 3 Go de RAM)

La photo : Oppo

Inutile de tourner au  tour du pot. L’Oppo prend le large en proposant de la photo 48 Mégapixels à l’arrière et 16 Mégapixels à l’avant, quand le Samsung se contente de clichés en 16 Mégapixels et de selfies en 5 Mégapixels.

Notre classement :

  1. Oppo A72 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Samsung Galaxy Xcover 4S (16 Mégapixels à l’arrière, 5 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Oppo

L’Oppo gagne également la manche autonomie. Une charge 18 ou 15 Watts, c’est grosso modo la même chose, mais il y a clairement un fossé entre des batteries 5 000 et 2 800 mAh. Le modèle Oppo se dirigera sans problème vers les deux jours d’autonomie, quand passer la journée sans se restreindre sera déjà bien avec le modèle Samsung.

Notre classement :

  1. Oppo A72 (batterie 5 000 mAh ; charge 18 Watts)
  2. Samsung Galaxy Xcover 4S (batterie 2 800 mAh ; charge 15 Watts)

Le choix d’Univers Freebox : Oppo techniquement, mais…

Techniquement, l’Oppo A72 propose clairement mieux, que ce soit en termes d’écran, de performances multimédias, de qualité photo ou d’autonomie.

Maintenant, le Samsung Galaxy Xcover 4S, que nous avions eu l’occasion de tester ne se positionne pas sur les performances. Le constructeur sud-coréen met en avant des certifications IP68 et MIL-STD-810G qui trouveront oreille attentive du côté des professionnels, maladroits ou aventuriers en quête de robustesse. Soulignons aussi un aspect de plus en plus rare : la batterie amovible.


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3G et 4G : un maire accuse Free de passer “en force”

Face à l’implantation d’une antenne-relais de Free, un maire dénonce l’attitude de l’opérateur qui ne prendrait pas le temps de la concertation et tenterait un passage en force. Or, selon lui, il y a des alternatives dont il faut discuter ‘intelligemment”.

“Free passe en force et nous sommes démunis”, dénonce Jean-Michel Brard, le maire de Pornic. L’antenne que l’opérateur souhaite installer dans un lotissement de Sainte-Marie-sur-Mer, commune rattachée à Pornic, n’apparaît toujours pas la bienvenue.

Jean-Michel Brard reproche à Free un manque de communication. “Ils ne prennent même pas le temps de venir nous rencontrer”, déplore-t-il. Ayant refusé une implantation sur la maison des associations et dans le clocher de l’église, l’élu souligne qu’“il y a d’autres solutions” et qu’“il faut se mettre autour de la table et discuter intelligemment”.

En tant que président de la communauté de communes Pornic Agglo Pays de Retz, Jean-Michel Brard souligne des cas de cancers pédiatriques à Sainte-Pazanne, à 25 kilomètres de là. Des cas “dont on ne s’explique pas vraiment l’origine”, souligne-t-il. “On ne peut donc pas faire n’importe quoi”, selon lui. Au rang des griefs, on retrouve également la pollution visuelle qu’avait tenté de démontrer un riverain à l’aide d’un drone ou encore l’impact sur la valeur de l’immobilier à proximité.

Une victoire devant la justice administrative

Renvoyé dans les cordes par la commune au motif d’une implantation nécessitant une modification du plan local d’urbanisme, alors que lui y voyait de “simples travaux de raccordement”, Free s’était pour rappel tourné vers le tribunal administratif de Nantes et avait d’ailleurs obtenu gain de cause en septembre dernier.

Le juge avait souligné que la commune n’avait pas présenté d’éléments probants dans ce dossier, rappelé qu’elle “n’est pas entièrement couvert(e) par les réseaux” et estimé qu’elle devait par conséquent se pencher à nouveau sur la demande de l’opérateur. “Free Mobile justifie de l’existence d’une situation d’urgence, eu égard à l’intérêt public qui s’attache à la couverture du territoire national par le réseau de téléphonie mobile et aux intérêts propres de la société qui a pris des engagements (…) au titre de cette couverture”, avait-il par ailleurs été indiqué.

Source : Presse Océan (version papier du mardi 17 novembre)

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