Auteur : dimitri

Univers Freebox a testé le smartphone Wiko View 3 disponible chez Free Mobile, il propose un grand écran, un triple capteur photo et une grosse batterie à petit prix

Le Wiko View 3 fait partie des smartphones à petit prix disponibles chez Free Mobile. Il s’affiche à moins de 200 euros dans la boutique de l’opérateur. Univers Free l’a testé pendant quelques jours pour voir l’expérience offerte au quotidien.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone acquis par nos propres moyens (ce qui permettra d’ailleurs de vous le faire gagner prochainement), voici un rappel des principales caractéristiques du Wiko View 3 qui s’affiche à 179 euros chez Free Mobile.

–  Processeur : octa-core 2,0 (chipset MediaTek Helio P22)
–   Mémoire vive : 3 Go
–   Écran : dalle IPS 6,26 pouces offrant une définition HD+ (1 580 x 720 pixels)
–   Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–   Stockage : 64 Go (extensible par MicroSD)
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B3/B5/B7/B8/B20/B28
–   Triple capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 13 Mégapixels (ultra grand-angle) + 2 Mégapixels (infos de profondeur)
–   Capteur photo frontal : 8 Mégapixels
–   Prise casque : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)
–   Connectivité Bluetooth : version 4.2
–   Support NFC : non
–   Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 10 Watts fourni
–   Système d’exploitation : Android 9.0 Pie
–   Protection : lecteur d’empreintes au dos ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal

Un smartphone agréable à regarder, mais quelques éléments dérangeants

Globalement, le Wiko View 3 est plutôt agréable à regarder et propose une bonne prise en main malgré le grand format. Maintenant, quelques petits détails peuvent fâcher comme le dos sensible aux traces et rayures (deux microrayures sont apparues au dos malgré le soin accordé à l’appareil), le bloc photo dorsal excentré qui rend le smartphone bancal pour qui veut l’utiliser posé sur une table ou le lecteur d’empreintes que le doigt a parfois du mal à trouver du fait de bordures extrêmement fines.

Un grand écran et un son correct

Parlons maintenant de l’écran dont la grande taille rend agréable la lecture de vidéos (mais pas l’usage de jeu, comme nous le verrons plus loin) et dont la luminosité permet l’usage en extérieur par temps ensoleillé.

Côté son, le haut-parleur dans la tranche inférieure ne casse pas des briques, mais fait le job, avec un son suffisamment puissant pour être entendu à l’extérieur et quelques débuts de basses.

Les mélomanes trouveront quant à eux le mini-jack, dans la tranche supérieure. À ce propos, les écouteurs fournis restent utilisables avec les musiques électroniques, mais sont à proscrire si vous aimez la musique rock. En effet, les basses sont bien présentes, mais les aigus se révèlent être parfois une torture pour les oreilles. On aura ainsi aucun scrupule à les remplacer.

Une partie photo correcte dans l’ensemble

Du côté de la photo, assurée par un triple capteur au dos et un simple capteur à l’avant (dans une encoche goutte d’eau), cela reste correct dans l’ensemble pour un smartphone à moins de 200 euros, à condition toutefois d’avoir de bonnes conditions de luminosité. Le Wiko View 3 a en effet du mal à s’en sortir le soir et le mode nuit suggéré par l’interface ou accessible depuis les paramètres (icône en forme de croissant de lune) n’y change pas grand-chose. Les améliorations sont vraiment subtiles.

Une photo de jour, en mode normal, puis en version zoomée :

Une photo de jour, en mode classique, puis avec le grand angle :

D’autres photos de jour :

Une photo de nuit, sans le mode nuit, puis avec (ça n’est pas joli d’origine et le changement n’est pas vraiment flagrant…) :

Un selfie en extérieur :

Une 4G moyenne et un support de la B28

En intérieur, nous avions aux alentours de 50 Mbit/s en réception dans une zone résidentielle assez dense et dans les 35 Mbit/s en réception depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox.

  

En extérieur, nous parvenions à un peu mieux, mais nous n’avons jamais été bien plus loin que 100 Mbit/s. Au-delà des chiffres, le surf était fluide et les téléchargements s’effectuaient généralement de manière assez confortable.

 

Notez enfin le support de la 4G 700 (B28), chère à l’opérateur.

Un smartphone avec lequel on n’aura pas forcément envie de jouer

Abordons maintenant la partie performances. Nous le savions avant de l’avoir déballé : le Wiko View 3 n’est pas une bête de course. Un passage dans AnTuTu le confirme, avec un score presque deux fois inférieur à celui du Redmi Note 7. Disk Speed n’indique rien d’exceptionnel non plus, avec des pointes à 147 Mo/s en écriture et 187 Mo/s en lecture, pour la partie stockage.

 

Mais concrètement, peut-on jouer ? Un peu, et à condition de ne pas trop en demander. Par exemple, Asphalt 9 se lance. Sauf qu’on ressent la lenteur dès les menus et les chargements, avant de voir le jeu tourner de manière pas fluide du tout. Aucun plaisir à jouer dans ces conditions. PUBG Mobile se lance et tourne de manière assez fluide. Mais là non plus, le plaisir n’y est pas, en raison de graphismes dégradés. Nous y avons joué, car nous aimions le jeu (et dans le cadre du test, évidemment). Certainement pas pour les beaux graphismes à l’écran. La chauffe constatée, forte mais pas au point de vouloir poser le smartphone, appuie l’idée que le smartphone est poussé dans ses retranchements. Vous êtes prévenus.

Une autonomie confortable, mais une charge une peu longue

Quid de l’autonomie avec une batterie 4 000 mAh ? Eh bien, ça n’est pas si mal. Partis de 100 % à 8h22, nous étions à 86 % à 22h06, avec 10 minutes d’Aphalt 9, 15 minutes de partage de connexion et le gros téléchargement de PUBG Mobile, ainsi que du surf et du Twitter durant la journée. À 22h14, nous sommes passés à 85 % avec de la lecture vidéo sur YouTube avec le son à bon volume. Oui, à peine 1 % pour 8 minutes. À 23h44, nous étions à 58 % après avoir joué à PUBG Mobile. Le lendemain à 9h54, la batterie affichait 47 % de charge. Autant dire qu’on peut espérer tenir tranquillement les 2 jours, et plus dans le cadre d’un usage pauvre en multimédia.

Avec le chargeur 10 Watts fourni, la charge n’est pas forcément la plus rapide. Ci-dessous, un suivi de charge de seulement la moitié de la batterie :

– 9h54 : 47 %
– 10h32 : 76 %
– 10h53 : 88 %
– 11h23 : 100 %

Android Pie et quelques fonctions intéressantes

Comme nous l’avions noté avec le petit frère le View 3 Lite, la ROM que propose Wiko repose sur la dernière version du système d’exploitation de Google, à savoir Android Pie. Un bon point, quand on sait que certains se permettent encore de proposer Android 8.1 Oreo.

 

 

On note quelques fonctions et réglages intéressants regroupés dans une rubrique "Fonctionnalités Wiko", d’ailleurs mise en valeur dans les paramètres. Parmi elles, il y a :

– le Simple Mode donnant accès à une interface simplifiée avec de grosses icônes

– la possibilité de cacher plus ou moins l’encoche pour les réfractaires à cet intrus dans l’affichage (trois choix)

– la capture d’écran à trois doigts

– le mode à une main

 

Notez que les logiciels préinstallés (Pages Jaunes, Amazon, etc.) peuvent être désinstallés, après un appui prolongé dessus.

 

Côté sécurité, on aura le choix entre le lecteur d’empreintes digitales ou la reconnaissance faciale. La première solution est un poil plus rapide à condition, comme nous l’indiquions plus haut, que le doigt trouve facilement l’emplacement au dos. Voilà pourquoi nous avons finalement préféré la reconnaissance faciale qui marche quasiment à tous les coups.Toujours pour la partie sécurité, nous avions les patchs d’avril 2019 durant nos tests. Pas moyen d’avoir plus récent, malgré plusieurs tentatives.

VERDICT : le smartphone Wiko View 3 a quelques aspects intéressants comme sa bonne prise en main, son grand écran lisible en plein soleil, sa partie photo convenable, sa grosse batterie et sa partie logicielle à jour (hormis pour les patchs de sécurité). Maintenant, on trouve facilement mieux. Dans la même gamme de prix, le Redmi Note 7 offre par exemple un écran Full HD+, de meilleures performances en jeu et l’USB-C.

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Free Mobile fait suspendre un arrêté l’empêchant d’installer un pylône, le tribunal administratif a tenu compte des efforts de l’opérateur

Engagé dans un bras de fer avec la ville d’Orléans pour l’installation d’un pylône, Free vient de remporter une manche. L’opérateur a fait suspendre l’arrêté de la mairie qui s’oppose à la délivrance d’un permis de construire.

En avril 2018, la ville d’Orléans a refusé à Free Mobile l’installation d’un pylône de 36 mètres, à l’angle des rues Jean-Moulin et Jean-Baptiste-Corot au motif que "le projet, par sa dimension, porte atteinte au caractère et à l’intérêt des lieux avoisinants, notamment le lotissement des Platanes, situé à proximité immédiate du projet et inclus dans le périmètre de la zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager de la rivière du Loiret". Par la suite, l’opérateur avait retenté sa chance avec une seconde demande de permis de construire, une nouvelle fois refusée.

À chaque refus, Free Mobile s’était tourné vers le tribunal administratif. Dans le cadre du premier recours, la mairie avait obtenu gain de cause en juillet 2018. Avec le second recours, Free a obtenu cette fois-ci gain de cause, faisant ainsi "suspendre l’arrêté de la mairie s’opposant à la délivrance d’un permis de construire". Pour expliquer son verdict, le magistrat a souligné le fait que Free "a modifié l’aspect extérieur du projet en camouflant le pylône par un radôme en acier galvanisé de teinte gris anthracite".  Il émet ainsi "un doute sérieux quant à la légalité" de l’arrêté. La ville a fait savoir qu’elle allait se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.

Source : La République du Centre

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Univers Freebox a testé le Samsung Galaxy S10e disponible chez Free Mobile, le smartphone le plus compact de la famille S10

Après avoir testé les smartphones Galaxy S10+ et Galaxy S10, Univers Freebox vous propose le test du Samsung Galaxy S10e. C’est le plus compact de la famille S10. Il s’affiche à 759 euros (et même 659 euros au moment où sont écrites ces lignes), dans la boutique de Free Mobile pour une configuration avec 6 Go de mémoire vive et 128 Go de stockage. Voici nos impressions à son sujet après une semaine en sa compagnie.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un exemplaire 6/128 Go prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques techniques du Galaxy S10e :

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,7 GHz avec le chipset Exynos 9820
–    Mémoire vive : 6 Go
–    Écran : dalle AMOLED 5,8 pouces dans une définition Full HD+ (2 280 x 1 080 pixels)
–    Audio : son stéréo, produit par le haut-parleur d’écoute et celui d’appel
–    Stockage : 128 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/ B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66
–    Double capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 16 Mégapixels (ultra grand-angle)
–    Capteur photo frontal : 10 Mégapixels dans un trou de l’écran
–    Sortie audio 3,5 millimètres : oui, dans la tranche inférieure
–    Connectique de charge : USB Type-C, dans la tranche inférieure
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui
–    Batterie : 3 100 mAh (non amovible) avec une charge filaire 15 Watts, une charge sans-fil 15 Watts et une charge sans-fil inversée 9 Watts
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface One UI
–    Protection : lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal
–    Certification IP68 pour la résistance à l’eau

Un smartphone plutôt compact

Comme les Galaxy S10+ et Galaxy S10, le Galaxy S10e est un beau smartphone. Il faudra d’ailleurs composer avec les traces de doigts. Le dos de notre modèle de test les accrochait très bien.

 

Concernant la préhension, elle est tout simplement idéale. De par son gabarit, comparable à celui d’un iPhone 6, le Galaxy S10e tient parfaitement dans la main.

Un bel écran et du bon son (pour un smartphone)

Parlons maintenant de l’écran qui est tout simplement excellent, notamment pour le visionnage de vidéo ou pour les jeux. La luminosité par temps ensoleillé ne pose aucun problème. Et si la définition s’annonce moins élevée que sur les grands frères, on ne le ressent pas à l’usage. Notez enfin que vous pourrez ajuster la chaleur d’affichage depuis les paramètres.

Côté son, le Galaxy S10e fournit quelque chose d’assez bon pour du smartphone. On a plaisir à pousser le son en jeu. Les écouteurs AKG proposent de leur côté une qualité d’écoute très agréable, avec notamment la présence de bonnes basses. Ils se brancheront d’ailleurs en mini-jack, la connectique répondant en effet présente.

De belles photos

La qualité des photos produites par le double capteur dorsal est très bonne de jour comme de nuit, avec un mode nuit dédié qui vient embellir les clichés. Les amateurs de selfies seront également servis avec de beaux clichés à partager sur les réseaux sociaux.

Ci-dessous, un exemple de photo en mode normal, puis en version zoomée :

D’autres photos de jour :

Une photo de nuit dans sa version normale, puis avec le mode nuit qui redonne du vert aux feuilles, éclaircit certaines zones sombres et corrige les halos de lumière :

Une photo en intérieur, le soir :

Un selfie en extérieur :

Une 4G rapide et un support de la B28

Durant nos tests en extérieur, nous étions à plusieurs reprises à plus de 100 Mbit/s. Nous avons même pu approcher les 250 Mbit/s.

 

En intérieur, nous étions généralement autour des 50-60 Mbit/s en réception. Ci-dessous, un test en zone résidentielle plutôt dense et depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox

 

Notez enfin que le Galaxy S10e supporte la 4G 700 MHz, chère à Free Mobile.

Lecteur d’empreintes ou reconnaissance faciale

Pour la sécurisation des données, on a le choix entre le lecteur d’empreintes sur la tranche, à portée de pouce ou d’index (selon la façon dont vous tenez le smartphone) ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo avant. Globalement, les deux solutions sont très efficaces. Nous avons toutefois une préférence pour la seconde, avec le smartphone qui se déverrouille quasi-instantanément lors de la prise en main.

Des performances au top, mais toujours cette chauffe…

Le chipset Exynos 9820 peut en théorie fait tourner tous les jeux du Play Store (hors incompatibilité). Dans les faits, tout est rapide. Les jeux gourmands comme Asphalt 9 et PUBG Mobile se chargent tranquillement, sont beaux et tournent de manière fluide. Un régal si vous êtes joueur.

Pour les amateurs de benchmarks, nous avons passé le Galaxy S10e dans AnTuTu et Disk Speed. AnTuTu le place parmi les meilleurs, tandis que Disk Speed indique des pointes à 204 Mo/s en écriture pour la mémoire interne et 771 Mo/s en lecture. 

 

Abordons la question de la chauffe, que nous avions constatée avec les Galaxy S10 et Galaxy S10+. Nous pensions y échapper avec les températures moins importantes et en jouant le soir sous le ventilateur. Eh bien, non. Toujours cette chauffe qui commence au niveau de la tranche gauche, pour se poursuivre au niveau du dos. 

Une autonomie moyenne et de la recharge sans-fil

D’après ce que nous avons pu constater, l’autonomie est plutôt moyenne. Pas surprenant avec un smartphone performant et une batterie assez modeste. Si vous êtes de ceux qui jouent, vous allez voir votre autonomie fondre assez vite. Partis de 100 % à 19h24, nous étions à 80 % à 00h23 après avoir fait quelques tests de débits, un peu de Twitter et du jeu. Le lendemain à 13h31, nous étions à 24 %. Une autre fois, nous sommes partis de 100 % à 20h40 pour arriver à 32 % le lendemain à 15h43. Cette fois, du Twitter, un peu de surf, deux bonnes heures de jeu et de l’écoute musicale en Bluetooth. Bref, difficile d’envisager les deux jours sans passer par la case secteur dans le cadre d’un usage sans restriction.

L’avantage d’une batterie modeste, c’est que vous ne mettrez pas des heures à la recharger. D’ailleurs, voici un exemple de suivi de charge, avec le chargeur 15 Watts fourni :

– 17h00 : 22 %
– 17h14 : 45 %
– 17h31 : 69 %
– 17h49 : 89 %
– 18h17 : 100 %

En parlant de charge, le Galaxy S10e propose de la recharge sans-fil. Il a ainsi pu faire le plein en étant posé sur le player de la Freebox Delta. Mais la charge sans-fil fonctionne également dans l’autre sens. Grâce à la fonction Wireless Powershare, accessible depuis le panneau de raccourcis (glisser du haut vers le bas, depuis l’écran d’accueil), le Galaxy S10e peut ainsi recharger un autre appareil compatible avec la recharge sans-fil. Le smartphone d’un ami, par exemple.

Une interface One UI très complète

Comme nous vous le disions précédemment lors de nos tests du Galaxy S10+ et du Galaxy S10, l’interface One UI proposée par Samsung est plutôt jolie, en plus d’être claire et complète.

 

Il y a plusieurs options intéressantes, comme le mode nuit, le volet latéral pour un accès rapide aux applications favorites, les gestes pratiques (balayer l’écran avec le côté de la main pour faire une capture, retourner l’appareil pour couper le son d’un appel entrant, etc.) ou le mode d’emploi intégré. 

 

 

Quant au mode enfants, accessible depuis les raccourcis rapides, il permet de prêter son smartphone avec un espace sécurisé, des fonctions limitées et des contenus adaptés.

 

Concernant les logiciels préinstallés dans le cadre de partenariats, tous ne peuvent pas être supprimés. On peut en effet déinstaller Spotify, mais pas Facebook ni Office Mobile.

 

Enfin, durant nos tests, nous avions les patchs de sécurité de juin 2019, suite à l’installation d’une mise à jour de 674 Mo.

VERDICT : le Galaxy S10e conserve les points forts de la famille S10, qu’il propose dans un format plus compact : bel écran, son plus que convenable, bonnes performances en jeu, jolies photos, charge rapide (même s’il y a mieux chez les concurrents comme OnePlus ou Honor, par exemple), charge sans-fil normale ou inversée et interface One UI très complète. Les mélomanes apprécieront aussi de trouver le mini-jack et une paire d’écouteurs de très bonne facture. On retrouve malheureusement cette chauffe parfois désagréable. On peut également lui reprocher une autonomie assez moyenne.

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Interview Univers Freebox : Recommerce en dit plus sur son partenariat avec Free Mobile et les smartphones reconditionnés en France

Depuis quelques mois, Free Mobile propose des smartphones reconditionnés dans sa boutique en ligne en partenariat avec Recommerce. Après avoir testé l’achat d’un modèle et le service client, nous avons pu poser quelques questions à Patrick Richard, directeur commercial et marketing de Recommerce, qui en dit plus sur cette collaboration. Il nous rappelle également les avantages d’un smartphone reconditionné.

(Univers Freebox) Pouvez-vous nous présenter en quelques mots Recommerce ?

Recommerce permet aux opérateurs et distributeurs de proposer à leurs clients des services de rachat, reconditionnement et revente de smartphones depuis maintenant 10 ans.

Recommerce s’efforce de proposer un service additionnel soucieux du développement durable, en proposant la reprise des équipements usagés et en permettant aux distributeurs de rendre du pouvoir d’achat aux clients. De la même manière, proposer des produits reconditionnés permet de rendre la technologie plus abordable financièrement pour les consommateurs.

En tant que précurseur sur ce marché, Recommerce se différencie par la qualité de ses produits et par sa capacité d’accompagnement des distributeurs dans la mise en marché de ces différents services et produits. Nous attachons beaucoup d’importance à la qualité de nos processus et de nos produits. Notre qualité d’exécution est aujourd’hui reconnue par de très nombreux distributeurs et opérateurs au niveau européen.

(UF) Free Mobile propose des smartphones reconditionnés avec Recommerce depuis février 2019. Comment s’est décidé ce partenariat?

Recommerce est un acteur majeur en France depuis 10 ans et le lancement de Free Mobile a largement contribué au changement du marché qui favorise l’essor de ce marché du reconditionné. Free a sélectionné Recommerce pour une qualité de produit supérieure, afin de proposer cette alternative à ses abonnés.

(UF) Qu’y gagnez-vous?

Aujourd’hui, près de 2 Français sur 3 se disent prêts à acheter un smartphone reconditionné et cette appétence est encore plus prononcée chez les clients Free. Pouvoir distribuer certains de nos produits via notre partenaire Free est une véritable chance pour Recommerce, c’est certain. Mais c’est aussi un tremplin énorme pour développer la notoriété du reconditionné de manière générale. Tous les acteurs du reconditionné y gagnent finalement.

(UF) Depuis le début du partenariat avec Free Mobile, les iPhone 6 et iPhone 6S ont été disponibles en reconditionné chez Free Mobile. Aucun modèle haut de gamme récent. Aucun modèle non plus pour les utilisateurs Android. D’autres modèles doivent-ils arriver prochainement ?

Oui bien évidemment. Mais il s’agit d’être pragmatique. Le succès du reconditionné dépendra de notre capacité à parfaitement répondre aux attentes des clients Free. Nous avons donc choisi de nous concentrer d’abord sur quelques modèles avant d’élargir la gamme. 

(UF) De manière plus générale, pouvez-vous nous en dire plus sur le marché actuel du smartphone reconditionné en France ?

2,14 millions de smartphones d’occasion, en croissance de 7 % en 2018, pour un chiffre d’affaires de 425 millions d’euros : ce sont les chiffres délivrés par GFK. 2,14 millions de smartphones qui correspondent à 10 % du volume total de smartphones vendus chaque année en France. Le marché du mobile reconditionné est d’ailleurs passé en 2018 au-dessus du marché des “features phones”.

Selon l’étude menée par Kantar TNS et Recommerce, 30 % des 16-34 ans ont franchi le pas et un Français sur quatre (24 %) a déjà acheté un smartphone de seconde main. Et si le prix reste leur première motivation, favoriser le recyclage et réemploi de matériaux arrive en seconde position. Les motivations d’achat auprès d’un professionnel ciblent également le prix, mais surtout la garantie.

(UF) Quels sont les avantages d’un smartphone reconditionné pour le consommateur, au regard des prix attractifs pratiqués par certaines marques comme Xiaomi, Honor et Asus ?

C’est intéressant pour ceux qui cherchent du prix tout en se faisant plaisir avec les grandes marques tendances de smartphones, mais à prix abordable. Et d’autre part, l’impact écologique positif n’est pas un critère négligeable puisque ces nouveaux smartphones contribuent à limiter l’utilisation de matières premières, afin d’en construire un neuf.

La grande majorité des consommateurs déclarent d’ailleurs être fiers de posséder un produit reconditionné et contribuer à leur manière à une consommation plus durable.

(UF) Pouvez-vous nous parler des différents grades qui définissent l’état du smartphone ?

À l’heure actuelle, il existe différents grades cosmétiques. Quel que soit le grade considéré (que ce soit un produit premium ou un produit en état correct), nos smartphones reconditionnés sont 100 % fonctionnels et garantis 12 mois. Ce qui diffère en revanche, ce sont les caractéristiques cosmétiques du produit. Il peut soit être en état “Premium”, qui correspond à la plus haute qualité de reconditionnement (avec micro rayures possibles), soit avec des rayures plus prononcées (grade B) ou encore quelques impacts qui n’altèrent pas le bon fonctionnement du mobile (grade C).

À ce stade, nous commercialisons uniquement du grade “Premium” avec Free. Cela dit, le marché, par l’intermédiaire de nos partenaires distributeurs, doit tendre vers la vente de produits ayant un grade inférieur, afin de pouvoir répondre à une demande toujours croissante de la part des clients finaux.

(UF) Comment sont fixés les prix des smartphones reconditionnés sur Recommerce ? Existe-t-il une sorte d’argus comme pour l’automobile et sur lequel se basent également vos concurrents ?

La fixation des prix dépend de nombreux facteurs. L’offre et la demande évidemment, les impacts liés à la sortie de nouveaux flagship, les changements de stratégie de pricing des acteurs du neuf, la saisonnalité… Pour pallier tout cela, l’atout principal de Recommerce réside dans leur historique de 10 années d’expertise qui lui offre de nombreux points de repère en termes de fixation de prix (Yield management, Machine learning,..). Ceci leur permet ainsi d’être les référents en termes d’argus au rachat et à la revente.

(UF) Parlons enfin de la certification ISO 9001-2015 récemment obtenue par Recommerce. Qu’est-ce que cela apporte à l’échelle des clients ?

La certification ISO 9001 apporte entre autres aux clients la garantie que l’entreprise est engagée dans une dynamique d’amélioration continue pour produire un service de qualité qui répond à la demande des clients. Ce certificat est obtenu suite à des audits d’experts qui contrôlent que l’entreprise respecte les normes qualités. Cela permet de rassurer les clients et ces certifications sont des éléments de différenciation, comparé à des concurrents qui n’ont aucune politique qualité.

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Univers Freebox a testé l’Oppo AX7 disponible chez Free Mobile, un smartphone abordable avec un grand écran et une grosse batterie

Oppo a récemment fait son entrée au catalogue de smartphones de Free Mobile avec un modèle AX7 affiché à 199 euros. Que vaut-il à l’usage ? Univers Freebox l’a testé pour vous et vous livre ses impressions.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un exemplaire prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques techniques du Oppo AX7 :

–    Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz avec le chipset Snapdragon 450
–    Mémoire vive : 4 Go
–    Écran : dalle IPS 6,2 pouces dans une définition HD+ (1 520 x 720 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 64  Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B18/B19/B20/B26/B28
–    Double capteur photo dorsal : 13 Mégapixels (principal) + 2 Mégapixels (infos de profondeur)
–    Capteur photo frontal : 16 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau
–    Sortie audio 3,5 millimètres : oui, dans la tranche inférieure
–    Connectique de charge : Micro-USB, dans la tranche inférieure
–    Connectivité Bluetooth : version 4.2
–    NFC : non
–    Batterie : 4 230 mAh (non amovible) rechargeable en 10 Watts avec le chargeur fourni
–    Système d’exploitation : Android 8.1 Oreo avec l’interface ColorOS
–    Protection : lecteur d’empreintes digitales au dos ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal

Un smartphone qui ne manque pas de personnalité

Les entourages or rose autour du double capteur photo et du lecteur d’empreintes, le motif du dos changeant en fonction de l’angle et le ton Glaze Blue de la coque (nom donné par le constructeur) donnent un certain cachet à notre modèle de prêt et lui permettent de sortir un peu du lot.

Côté poids, l’Oppo AX7 nous apparaissait léger au regard du gabarit et de la bonne batterie à bord. Il fait en tout cas partie des smartphones agréables en main.

Un écran plutôt lumineux et un son sans plus

L’écran se défend concernant le rendu des couleurs et en termes de luminosité, avec une utilisation par temps ensoleillé qui reste envisageable. On en vient du coup à regretter sa faible définition, perceptible quand on a l’habitude des smartphones Full HD. Chose aussi remarquée pas plusieurs membres de la rédaction : l’encoche qui empiète (très légèrement, sur un pixel de hauteur) sur le haut des applications. Un détail qu’on a du mal à oublier une fois que notre regard s’est arrêté dessus.

Côté son, ce n’est ni horrible ni exceptionnel. Le haut-parleur dans la tranche inférieure fait son job. Point. Nous avons en revanche été surpris par les prestations des écouteurs d’origine, avec un son assez fourni en basses. D’ailleurs, puisqu’on parle d’écouteurs, le mini-jack est présent.

Une partie photo anecdotique

L’Oppo AX7 n’est pas un champion en photo. Que ce soit avec le double capteur au dos ou le simple capteur avant logé dans l’encoche goutte d’eau, les photos manquent en effet souvent de détails et se révèlent assez fades dans l’ensemble. Ce smartphone produit des clichés exploitables pour de l’appoint et de la publication sur les réseaux sociaux. Rien de plus. 

Ci-dessous, une photo en mode classique, puis en version zoomée (sans bouger entre les deux) :

D’autres photos en journée :

 

Des selfies avec ou sans filtre :

  

Deux photos de nuit :

Des solutions de sécurisation efficaces

Il n’y a rien à reprocher de ce côté-là. Les deux solutions proposées par l’Oppo AX7, à savoir le lecteur d’empreintes au dos ou la reconnaissance faciale, se montrent très efficaces. Presque aucun raté, et c’est quasi instantané. La seconde fonctionne même assez bien la nuit, à condition que la luminosité de l’écran soit à fond pour pouvoir éclairer correctement le visage.

Une bonne 4G et un support de la B28

Lors de nos tests, l’Oppo AX7 affichait des débits 4G plutôt confortables. En intérieur, nous avions sans problème les 50 Mbit/s en réception dans une zone résidentielle assez dense.

En extérieur, nous étions souvent entre 50 et 100 Mbit/s. Nous avons même approché les 200 Mbit/s là où le Galaxy S10+ testé précédemment avait affiché les 265 Mbit/s. 

 

Petite anecdote, d’ailleurs. Nous avions décidé de télécharger Asphalt 9 en marchant dans la rue, en étant 4G donc. Le temps de parcourir une rue en centre-ville, soit 5 minutes à peine, nous avions déjà téléchargé 1 Go, soit une bonne partie du jeu. 

Notez pour terminer que l’Oppo AX7 supporte la 4G 700 MHz (B28). Un bon point si vous êtes abonné chez Free Mobile.

Des performances qui permettent de jouer (un peu)

Avec du petit Snapdragon 450 à bord, nous ne nous attentions pas à des performances exceptionnelles. L’usage le confirme avec Asphalt 9 et PUBG Mobile qui peuvent tourner, mais avec une expérience dégradée en termes de graphismes. L’image était fluide, mais pas très détaillée. ll y a toutefois un avantage à ces performances modestes : le smartphone n’a jamais chauffé de manière désagréable. Au pire, il était tiède.

Pour les amateurs de benchmarks, nous avons passé l’Oppo AX7 dans AnTuTu. Il obtient un score deux fois inférieur à un Redmi Note 7 et un Huawei Mate 20 Lite. Disk Speed indique de son côté une mémoire de stockage offrant des pointes à 241 Mo/s en écriture et 271 Mo/s en lecture. Pas exceptionnel, mais correct.

  

Une autonomie confortable et une recharge un peu lente

Parlons maintenant de l’autonomie. Partis de 100 % à 18h02, nous étions à 53 % le lendemain à 14h01. Entre temps, de la manipulation, du surf Internet, de la consultation et des notifications Twitter, des téléchargements (mises à jour d’applications et téléchargements de jeux, dont PUBG Mobile), quelques photos, deux heures de jeu avec le son à fort volume et trois heures de lecture vidéo YouTube avec les écouteurs. Tenir les deux jours apparaît donc largement envisageable.

Avec une batterie 4 230 mAh et un chargeur 10 Watts, nous nous doutions que faire le plein prendrait pas mal de temps. Voici un exemple de suivi :

– 15h37 : 15 %

– 15h58 : 30 %

– 16h24 : 51 %

– 17h05 : 80 %

– 17h56 : 97 %

– 18h02 : 100 %

Une partie logicielle qui mériterait une mise à jour

L’interface ColorOS porte bien son nom, tant elle accroche la rétine. On aime ou pas les grosses icônes et l’avalanche de couleurs.

 

Il y a par contre des choses appréciables, comme :
– la possibilité de désinstaller le peu de logiciels préinstallés dans le cadre de partenariats (Facebook et Opera)
– la barre latérale disponible avec un glissement depuis la droite qui donne accès à des raccourcis (ceux préinstallés et de votre choix)
– la possibilité de lever l’écran pour allumer l’écran (et déverrouiller avec la reconnaissance faciale)
– la gestion des gestes (capture d’écran avec un glissement à  trois doigts sur l’écran ou déclenchement de la lampe-torche avec un V sur l’écran éteint)

 

 

Sans oublier l’espace de Jeu qui permet d’améliorer les performances en jeu, en donnant la priorité pour l’accès aux ressources, mais également en limitant les perturbations (mode ne pas déranger activé).

 

La partie logicielle mériterait en tout cas d’être mise à jour. En plus de reposer sur Android 8.1 Oreo, à l’heure d’Android 9.0 Pie et à l’approche d’Android Q, elle n’intègre que les patchs de mars 2019. On peut s’en contenter sur un smartphone à 100 euros et moins. Là, on parle d’un smartphone à 199 euros…

VERDICT : le smartphone Oppo AX7 a quelques aspects intéressants comme son design, son écran qui reste lisible avec un bon ensoleillement, ses performances permettant un petit peu de jeu, sa bonne 4G et sa grosse batterie. Il apparaît en revanche en retrait sur la photo. Mais surtout, il aurait été appréciable d’avoir une partie logicielle un peu plus à jour. À tarif équivalent, on lui préfère sans la moindre hésitation le Redmi Note 7 que nous avons testé précédemment. Il offre de meilleures performances en jeu et en photo, ainsi qu’une partie logicielle à jour.

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Univers Freebox a testé le Samsung Galaxy S10, un smartphone haut de gamme disponible chez Free Mobile

Après avoir testé son grand-frère le Galaxy S10+, Univers Freebox s’est penché pendant plusieurs jours sur le Galaxy S10 dont les configurations 8/128 et 8/512 Go s’affichent à respectivement 909 et 1 159 euros dans la boutique de Free Mobile. Voici nos impressions à son sujet, très positives dans l’ensemble.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un exemplaire 8/128 Go (mémoire vive et mémoire de stockage) prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques techniques du Galaxy S10 :

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,7 GHz avec le chipset Exynos 9820
–    Mémoire vive : 8 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,1 pouces dans une définition WQHD+ (3 040 x 1 440 pixels)
–    Audio : son stéréo
–    Stockage : 128 ou 512 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/ B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66
–    Triple capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 12 Mégapixels (zoom) + 16 Mégapixels (ultra grand-angle)
–    Capteur photo frontal : 10 Mégapixels dans un trou de l’écran
–    Sortie audio 3,5 millimètres : oui, dans la tranche inférieure
–    Connectique de charge : USB Type-C, dans la tranche inférieure
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    NFC : oui
–    Batterie : 3 400 mAh (non amovible) avec une charge filaire 15 Watts, une charge sans-fil 15 Watts et une charge sans-fil inversée 9 Watts
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface One UI
–    Protection : lecteur d’empreintes digitales sous l’écran ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal
–    Certification IP68 pour la résistance à l’eau

Un smartphone élégant

Le design du Galaxy S10+ est réussi. Il en va de même pour le Galaxy S10. La finition Vert Prisme de notre modèle n’a d’ailleurs pas manqué d’attirer à plusieurs reprises les regards.

Concernant la prise en main, déjà très agréable avec le Galaxy S10+, elle l’est encore plus avec le Galaxy S10 au gabarit moins imposant.

Un très bel écran et du bon son

Comme sur le Galaxy S10+, l’écran AMOLED est tout simplement magnifique en jeu ou en vidéo. Il se révèle également lisible même avec le soleil dans le dos. On peut toutefois préféré celui du Galaxy S10 sur un aspect, à savoir le poinçon moins important puisqu’il n’a accueille cette fois-ci qu’un capteur photo. Depuis les paramètres, vous pouvez, pour rappel, régler la chaleur et la définition.

 

Côté son, c’est une nouvelle fois une réussite. Produit par le haut-parleur d’appel et celui d’écoute pour un rendu stéréo, le son est puissant, clair et gâté de quelques petites basses. Ceux qui veulent utiliser des écouteurs seront servis, avec non seulement la présence du mini-jack, mais aussi celle d’écouteurs AKG de bonne qualité. En plus d’offrir de très bonnes basses, ils isolent relativement bien du bruit environnant.

La photo, c’est son dada

Le Galaxy S10 conserve le triple capteur du Galaxy S10+. On retrouve ainsi la même qualité  au niveau des clichés. Cela vaut de jour, mais aussi de nuit, avec un mode dédié qui peut corriger quelques défauts comme des halos de lumière ou redonner un peu de luminosité dans des zones sombres.

Il ne profite pas en revanche du second capteur à l’avant. Cela ne l’empêche pas de produire de très bons selfies avec ou sans flou d’arrière-plan.

Ci-dessous, une photo en mode classique, puis avec du grand-angle :

Une photo en mode classique, puis avec du zoom (sans changer de place) :

D’autres photos de jour :

Une photo prise en intérieur, le soir :

Un selfie en extérieur, puis un autre en intérieur avec du flou d’arrière-plan :

Une photo de nuit en milieu urbain, avec le mode classique, puis avec le mode nuit (qui corrige les halos de lumière et redonne du vert aux feuilles ) :

La 4G une nouvelle fois au top

Nous avons mené nos tests dans nos endroits habituels. À plusieurs reprises, nous avions les 100 Mbit/s et plus en réception, en extérieur. Une fois, le compteur a même affiché plus de 200 Mbit/s.

 

En intérieur, nous oscillions entre 30 et 100 Mbit/s en réception.

 

Sécurité des données : lecteur d’empreinte ou reconnaissance faciale

Comme le Galaxy S10+, le Galaxy S10 laisse le choix entre le lecteur d’empreintes digitales sous l’écran ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal. Les deux solutions se révèlent plutôt efficaces au quotidien. La seconde est d’ailleurs plutôt pratique, puisqu’on peut la déclencher en prenant le smartphone en main.

Notez enfin que le Galaxy S10 supporte la 4G 700 MHz sur laquelle a beaucoup misé Free.

Les performances sont une nouvelle fois au rendez-vous, tout comme la chauffe

Le chipset Exynos 9820 fournit de belles performances et permet au Galaxy S10 de faire tourner tout le Play Store (sauf incompatibilité). Vous pourrez ainsi profiter des gros jeux dessus, à l’image de PUBG Mobile qui fonctionne avec les graphismes à fond.

AnTuTu confirme cette débauche de performances, avec un Galaxy S10 en haut du classement des smartphones du moment. Toujours en parlant de benchmark, Disk Speed indique une mémoire de stockage très rapide, avec des pointes à 207 Mo/s en écriture et 754 Mo/s en lecture.

 

Et si l’on retrouve la sensation de grosses performances du Galaxy S10+, on retrouve aussi cette chauffe qui se manifeste sur la tranche gauche, avant de se ressentir sur le dos du smartphone. Cela peut devenir désagréable lors de sessions de jeu.

Une autonomie correcte, une charge rapide et une charge inversée pratique

Parlons maintenant de l’autonomie. Partis de 100 % à 13h40, nous étions à 55 % le soir même à 22h06 et 24 % le lendemain à 11h27. Entre temps, nous avons joué à du gros jeu, utilisé Twitter, surfé sur Internet, téléchargé des mises à jour, effectué des benchmarks et partagé de la batterie avec un autre smartphone. Une autre fois, nous avons démarré à 100 % à 17h00 pour finir à 45 % à 23h50. Là encore, du jeu gourmand et du Twitter, mais également de la vidéo YouTube, de l’écoute musicale et quelques photos. Vous devriez donc pouvoir tenir la journée en usage normal.

Avec le chargeur 15 Watts fourni, la recharge ne sera pas interminable et on peut envisager une petite charge d’appoint avant de prendre la route. Voici deux exemples de suivi de charge :

– 9h28 : 11 %
– 9h41 : 31 %
– 10h00 : 58 %
– 10h22 : 84 %
– 10h36 : 92 %
– 10h55 : 100 %

 

– 12h50 : 23 %
– 12h57 : 34 %
– 13h00 : 39 %
– 13h15 : 59 %
– 13h42 : 89 %
– 13h52 : 94 %
– 14h07 : 100 %

Notez que le Galaxy S10 propose de la charge sans-fil et de la charge sans-fil inversée. Il a ainsi pu être rechargé sur le player de la Freebox Delta, mais aussi recharger le Galaxy S10+ que nous testions en parallèle.

Une interface One UI très complète

Comme nous vous le disions précédemment lors de notre test du Galaxy S10+, l’interface One UI proposée par Samsung est plutôt jolie, en plus d’être claire et complète.

 

Il y a plusieurs options intéressantes, comme le mode nuit, le volet latéral pour un accès rapide aux applications favorites, les gestes pratiques (balayer l’écran avec le côté de la main pour faire une capture, retourner l’appareil pour couper le son d’un appel entrant, etc.) ou le mode d’emploi intégré. Quant au mode enfants, accessible depuis les raccourcis rapides, il permet de prêter son smartphone avec un espace sécurisé, des fonctions limitées et des contenus adaptés.

 

Enfin, durant nos tests, nous avions les patchs de sécurité de juin 2019, suite à l’installation d’une mise à jour.

VERDICT :  le Galaxy S10 présente toutes les qualités du Galaxy S10+ dans un format plus compact. On retrouve ainsi le beau design, l’écran riche en couleurs et lumineux, le son puissant et clair, les bonnes performances en jeu, les excellentes photos de jour comme de nuit, l’autonomie correcte, la charge rapide (même s’il y a mieux chez les concurrents) et la partie logicielle claire et riche. Choses aussi appréciables : la présence du mini-jack et d’écouteurs de qualité. En moins positif, il a présenté la même chauffe parfois désagréable que avions déjà notée lors de notre test du Galaxy S10+. Oui, c’est un excellent smartphone. La copie reste toutefois perfectible.

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Free donne quelques conseils à ses abonnés mobiles partant en vacances à l’étranger

Free s’adresse à ses abonnés partant à l’étranger, en leur rappelant quelques conseils qui éviteront les mauvaises surprises sur la facture.

Durant les vacances d’été, certains se rendront à l’étranger. L’heure est donc aux conseils prodigués par Orange pour bien utiliser les réseaux Wi-Fi gratuits, mais également aux rappels de Free concernant les bonnes pratiques pour ceux qui utiliseront leur forfait depuis l’étranger.

Dans un e-mail envoyé à ses abonnés, Free invite ainsi ses abonnés mobiles à vérifier que leur destination fait bien partie de celles incluses dans leur forfait. L’opérateur distille également quelques conseils comme consulter la consommation data depuis l’espace abonné, télécharger les applications utiles avant de partir ou privilégier les applications de messagerie instantanée.

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Univers Freebox a testé le Samsung Galaxy S10+ disponible chez Free Mobile, un smartphone beau et à la pointe de la technologie

Le Samsung Galaxy  S10+ fait partie des smartphones haut de gamme disponibles chez Free Mobile. Il s’affiche à 1 009 euros en version 8/128 Go ou 1 259 euros en version 8/512 Go dans la boutique de l’opérateur. Nous vous donnons aujourd’hui nos impressions à son sujet après plusieurs jours en sa compagnie.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un exemplaire  8/128 Go prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques techniques du Galaxy S10+ :

–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,7 GHz avec le chipset Exynos 9820
–    Mémoire vive : 8 ou 12 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,4 pouces dans une définition WQHD+ (3 040 x 1 440 pixels)
–    Audio : son stéréo
–    Stockage : 128 Go, 512 Go ou 1 To (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/ B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66
–    Triple capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 12 Mégapixels (zoom) + 16 Mégapixels (ultra grand-angle)
–    Double capteur photo frontal : 10 Mégapixels (principal) et 8 Mégapixels (infos de profondeur), dans un trou de l’écran
–    Prise casque : oui, dans la tranche inférieure
–    Connectique de charge : USB Type-C, dans la tranche inférieure
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    NFC : oui
–    Batterie : 4 100 mAh (non amovible)  avec une charge filaire 15 Watts, une charge sans-fil 15 Watts et une charge sans-il inversée 9 Watts
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface One UI
–    Protection : lecteur d’empreintes digitales  sous l’écran ou reconnaissance faciale avec le capteur frontal
–    Certification IP68 pour la résistance à l’eau

Un beau smartphone

On peut le dire, le Galaxy S10+ est un très beau smartphone avec son extrême finesse, ses courbures au niveau des tranches, ses tranches m et son écran couvrant la qualité totalité de la surface. 

Ces courbures et cette finesse, associées à la bonne répartition du poids, participent d’ailleurs à la bonne préhension du smartphone. Le Galaxy S10 Plus est vraiment agréable en main.

Un très bel écran et un son puissant

Parlons maintenant de l’écran qui est tout simplement magnifique en termes de couleurs et de fluidité. En jeu, c’est un vrai plaisir. Nous l’avons aussi essayé en extérieur par grand ensoleillement, et même avec le soleil dans le dos pointant sur l’écran. L’écran restait largement utilisable. Notez enfin que vous pouvez régler la chaleur d’affichage ou encore la définition depuis les paramètres.

 

Côté son, on sent qu’il y a du monde à bord, au point de ressentir les vibrations dans les mains lorsque le volume est à fond. Le son est puissant, clair et on distingue un début de basses. Un vrai régal  dans les jeux aux musiques rythmées comme Asphalt 9, mais également en vidéo avec un bon trailer.

En parlant de son, le mini-jack est présent. On pourra d’ailleurs utiliser les écouteurs AKG présents dans la boîte. D’après nos écoutes, ils sont de très bonne facture, avec un son clair et de bonnes basses. De plus, ils tiennent parfaitement en place et offrent une bonne isolation du bruit extérieur.

Des photos excellentes 

Passons à la partie photo. Samsung jouit d’une solide réputation en matière de photo sur smartphone. Le Galaxy S10+ ne la ternira pas, loin de là, tant les clichés produits sont excellents, même en conditions de basse luminosité. Pas toujours nécessaire d’après ce que nous avons pu voir durant nos tests, le mode nuit dédié peut redonner un peu de luminosité manquante.

Ci-dessous, une photo de jour en mode classique, puis en grand-angle :

D’autres photos en pleine journée :

Une photo lors d’un spectacle son et lumière, en mode classique, puis avec le mode nuit qui éclaircit les parties sombres :

D’autres photos durant le spectacle, avec le mode nuit :

Ci-dessous, un selfie de jour, puis un autre de nuit avec l’écran qui fait office de flash en devenant tout blanc :

  

Comme le rappelle une petite fenêtre lors de la première utilisation, la capture d’un selfie peut être déclenchée avec la paume de la main :

Une 4G performante et un support de la B28 chère à Free

En extérieur et dans des zones bien couvertes en 4G, nous passions sans problème les 100 Mbit/s en réception. Nous avons même eu droit à une pointe à 265 Mbit/s. 

 

En intérieur, dans une zone d’habitation plutôt dense, nous flirtions généralement avec les 50 Mbit/s en réception.

Le Galaxy S10+ supporte enfin la 4G sur la bande des 700 MHz. Un bon point pour les abonnés Free Mobile, l’opérateur ayant beaucoup sur celle-ci.

Lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Pour la sécurisation des données, le Galaxy S10+ laisse le choix entre le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale. Globalement, les deux solutions sont très efficaces. La seconde se révèle même pratique au quotidien. On peut la déclencher en soulevant le smartphone. Certains remarqueront la petite animation lumineuse autour du bloc photo avant signalant son fonctionnement.

De grosses performances, mais une chauffe pas forcément agréable

Avec le Galaxy S10+, nous nous attendions à des performances de haut vol et nous avons été servis de ce côté-là. Tout va vite avec ce smartphone. Asphalt 9, que nous avions testé sur de nombreux smartphones ces derniers temps, n’a jamais été aussi beau et fluide. La sensation d’accélération est bien réelle lors des coups de nitro. Un pur régal. PUBG Mobile se lance avec les graphismes au fond. Là encore, du régal pour les yeux.

Un passage dans AnTuTu puis Disk Speed confirme les grosses performances. Le Galaxy S10+ se retrouve dans le Top 10 d’AnTutu, tandis qu’il affiche des pointes à 205 Mo/s en écriture et 782 Mo/s en lecture dans Disk Speed.

 

Il y a en revanche une chose que nous avons rapidement constatée, lors du téléchargement et de l’installation d’une mise à jour du système, puis de manière plus prononcée en jeu ou en benchmark : le smartphone a tendance à chauffer, et même parfois de manière un poil désagréable au niveau de la tranche gauche puis au niveau dos, lorsqu’il est sollicité. Maintenant, il ne faisait pas vraiment frais au moment des tests.

Une autonomie confortable et une charge très rapide

L’autonomie s’est révélée plutôt correcte durant nos tests. Chargée à 100% le mardi à 17h38, la batterie affichait 40 % le mercredi soir à 00h00. Entre temps : du surf, de la consultation Twitter, des mises à jour d’applications, quelques petits téléchargements, des photos et du jeu gourmand. Une autre fois, nous étions à 100 % le matin à 8h58 et avions terminé à 56 % le soir même à 00h00. Cette fois-ci, le smartphone avait servi pour des messages, de la consultation et des notifications Twitter, deux bonnes heures d’Asphalt 9 et un peu de musique en ligne avec le haut-parleur.

La recharge s’effectue en filaire avec le bloc 15 Watts fourni dans la boîte, mais également en sans-fil. Nous avons ainsi pu recharger en posant le smartphone sur le player de la Freebox Delta. 

Ci-dessous, un exemple de suivi de charge, en filaire :

– 16h08 : 17 %
– 16h16: 27 %
– 16h41 : 59 %
– 17h23 : 95 %
– 17h38 : 100 %

Notez aussi que le Galaxy S10+ propose de la charge sans-fil inversée, après un appui sur l’icône Wireless PowerShare dans le panneau de raccourcis rapides. Nous avons ainsi pu redonner un peu de batterie à un Galaxy S9 en rade de batterie, en le posant sur le Galaxy 10+. Pratique.

Une interface One UI très complète

L’interface One UI proposée par Samsung est plutôt jolie, en plus d’être claire et complète.

 

Parmi les options intéressantes et utiles, il y a le mode nuit pour l’utilisation le soir et le volet latéral pour un accès rapide aux applications favorites, mais également les gestes comme le fait de balayer l’écran avec le côté de la main pour faire une capture ou le fait de retourner l’appareil pour couper le son d’un appel entrant.

 

 

Dans les paramètres, les plus novices apprécieront de trouver un mode d’emploi pour découvrir les possibilités de l’appareil.

 

Dans les raccourcis accessibles après un glisser vers le bas, certains noteront aussi la présence d’un Espace Enfants qui permet de prêter son smartphone à ses enfants, mais avec des fonctions limitées et des contenus adaptés. Pas sûr qu’il serve dans de nombreux foyers, étant donné le prix de l’appareil…

  

Concernant la partie sécurité, nous avions les patchs de juin 2019 installés durant nos tests. 

VERDICT : le Galaxy S10+, c’est l’expérience haut de gamme à tous les niveaux. Il excelle dans tous les domaines : affichage, son, performances en jeu, photo, autonomie et rapidité de charge. Ajoutez à cela un joli design et une partie logicielle claire et complète. Le seul aspect dérangeant, que nous avons en tout cas constaté durant nos tests, concerne la chauffe. Elle s’est montrée un poil désagréable par moment. Si on pouvait ne pas s’attarder sur cet aspect avec un smartphone à 500 euros, on est naturellement plus exigeant avec un modèle à 1 000 euros.

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Free Mobile vous propose de gagner un smartphone récemment arrivé dans sa boutique

Free Mobile met deux smartphones en jeu par le biais de son compte Twitter.

Par le biais de son compte Twitter, Free Mobile permet de gagner le smartphone AX7 récemment arrivé dans sa boutique. Ce modèle coûte 199 euros et deux exemplaires sont à gagner. Rien de bien compliqué pour participer, puisqu’il suffit de suivre les comptes Twitter de l’opérateur et du constructeur et de retwitter le post.Vous avez jusqu’au 22 juillet à 18h00 pour tenter votre chance.

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RNC Mobile : l’application permettant aux abonnés Free Mobile d’en savoir plus sur les antennes et de tester leurs débits profite de plusieurs améliorations

L’application RNC Mobile se met à jour. Elle bénéficie ainsi de plusieurs améliorations et corrections.

Disponibilité sur Android, l’application RNC Mobile permet aux abonnés Free Mobile d’en savoir davantage sur les antennes utilisées et d’alimenter la base de données en partant à la chasse aux antennes de l’opérateur, mais également d’effectuer des tests de débits. Elle vient d’être mise à jour, avec la publication d’une version numérotée 3.0.32-17608 sur le Play Store de Google.

Voici d’ailleurs la liste des améliorations et corrections :

– Amélioration mode chasse 3G, inversion vidéo si CID/PSC identique au point sélectionné
– Correction vitesse et distance qui figent lors du swap app
– Correction de l’attribution de sites dans certains cas
– Correction des filtres du menu loupe sur la carte
– Les attributions ne sont plus effacées si chargement de la bdd avant l’export
– Après suppression d’une ligne, le journal est rafraîchi dorénavant

Grâce à une collaboration entre RNC Mobile et Univers Freebox, nous vous proposons pour rappel :
– La carte de couverture de Free Mobile sur cette page
– Tous les records de débits sur le réseau Free Mobile sur celle-ci

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