Auteur : dimitri

Orange, Free, SFR et Bouygues : les revenus des opérateurs télécoms stables dans le mobile et en recul dans le fixe

D’après le dernier observatoire du marché des télécoms publié par l’Arcep, celui pour le quatrième trimestre de l’année 2018, les revenus des opérateurs étaient stables dans le mobile et en recul dans le fixe.

L’Arcep a récemment publié son observatoire du marché des télécoms pour le quatrième trimestre 2018. On y apprend notamment que les opérateurs ont peu recruté dans le mobile en fin d’année dernière et que les abonnés Bouygues, Free Mobile, Orange et SFR ont consommé 1 milliard de Gigaoctets en l’espace de trois mois. Mais on découvre également les revenus des opérateurs télécoms dans le fixe et dans le mobile.

Dans le fixe, les opérateurs télécoms ont ainsi vu leurs revenus reculer de 3,2 % par rapport au même trimestre de l’année 2017. Ces revenus atteignaient en effet 4,205 milliards d’euros HT, contre 4 346 milliards un an auparavant. Un client tripleplay (Internet + téléphonie + télévision) rapporte en moyenne 32,9 euros HT.

La baisse dans le fixe est causée principalement par les offres Internet fixe bas débit, dont les revenus sont en repli de 11,5 %. Les opérateurs tirent d’ailleurs 70 % de leurs revenus (2,9 milliards d’euros HT) des offres Internet fixe haut et très haut débit.

Concernant le mobile, ensuite, les revenus des opérateurs télécoms s’élèvent à 3,3 milliards d’euros HT, en léger recul de 0,3 %. Assez stables, en somme. Ce sont surtout ceux générés par les offres prépayées qui reculent. La baisse entre les quatrièmes trimestres 2017 et 2018 atteint en effet les 13,2 %. Les nombreux forfaits sans engagement, pas forcément coûteux (surtout dans le cas des promos), leur ont fait perdre beaucoup d’intérêt.

Classés sous les catégories : Non classé

FMobile : l’application pour se libérer de l’itinérance corrige ses nombreux plantages, une nouvelle bêta disponible sur TestFlight

Nouvelle version bêta pour la deuxième génération de l’application FMobile disponible par le biais de TestFlight. Comme l’indique le développeur, il s’agit d’améliorer la stabilité générale en corrigeant les nombreux plantages.

Créée au départ pour libérer les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange et proposée sur iPhone/iPad via TestFlight (faute d’arriver à franchir les portes de l’App Store), l’application FMobile a récemment évolué vers une seconde génération fonctionnant avec « tous les opérateurs au monde ayant un accord d’itinérance pénalisant leurs abonnés ». Elle était alors synonyme de la réécriture de trois grands fichiers et d’environ 3 000 lignes de code, mais également de nombreux bugs. D’où la préparation d’une mise à jour visant à améliorer la stabilité générale de l’application. 

Comme annoncé plus tôt dans la journée sur le compte Twitter de l’application, cette nouvelle mouture devait arriver dans l’après-midi. Et la voici qui apparaît effectivement dans TestFlight. La documentation qui l’accompagne est d’ailleurs l’occasion de donner l’ampleur des bugs et de confirmer qu’une mise à jour se faisait urgente. Le développeur parle de « près de 800 crashs en une semaine, contre 15 crashs en un mois pour les versions précédentes »

Ci-dessous, la liste des améliorations et corrections :

– Optimisation générale avec un tout nouveau DataManager qui fournit toutes les données à l’application. Ainsi le code ne se répète jamais et l’application peut efficacement récupérer une donnée sans encombrer votre iPhone. Un grand merci à Nathan Fallet (mon ami avec qui j’ai découvert la possibilité de créer le raccourci "Rétablissement de mon Réseau F. M.") d’être passé par là et d’avoir converti la quasi totalité du code avec ce nouveau DataManager

– Assouplissement des règles d’obtentions des données. Ceci veut dire que l’iPad cellulaire est à nouveau en mesure d’exécuter FMobile sur cette bêta 2 (au lieu de planter au démarrage). En revanche, l’iPad n’est pas compatible avec la 2e génération de FMobile. Donc, pour l’instant, cette bêta 2 n’est pas utilisable en pratique sur un iPad. Vous verrez un affichage étrange du réseau connecté du style : "Disconnected 4G (LTE) [ ] (–)" (confirmez-moi l’affichage exact que vous avez ,SVP). Ainsi, aucune fonction de FMobile ne fonctionnera sur iPad puisqu’il n’est pas en mesure de détecter le réseau utilisé. Si vous possédez un iPad cellulaire jailbreaké sous n’importe quelle version d’iOS, contactez-moi par mail (via l’option en bas du TestFlight) pour que je puisse étudier le fonctionnement de la gestion du réseau sur iPad et ainsi peut-être porter la génération 2 de FMobile sur iPad. Si je n’y parviens pas, je ferai un portage de FMobile Gen 1 dans la Gen 2 plus tard, afin de continuer le support de l’iPad.

– Amélioration de la stabilité de l’UI : les éléments ont moins tendance à sortir de l’écran, mais ça peut encore arriver par moments (la magie d’iOS…)

– L’outil de surveillance d’itinérance internationale est désormais activé

– L’outil de surveillance de surconsommation non-intentionnelle est désormais activé

– L’application tolère maintenant mieux le redémarrage de l’iPhone et ne vous demandera plus de re-configurer l’application avant de détecter une nouvelle carte SIM.

– Vous l’avez demandé, c’est maintenant chose faite : vous pouvez désormais désactiver les notifications informatives (conformations d’activation des réglages) dans la section avancé de l’application !

  
 

 

Classés sous les catégories : Non classé

Forfaits mobiles : les opérateurs n’ont pas beaucoup recruté fin 2018, selon les chiffres de l’Arcep

 

L’Arcep vient de publier son dernier observatoire du marché des télécoms, celui couvrant le quatrième trimestre 2018. Il révèle notamment que les opérateurs n’ont pas beaucoup recruté dans le mobile. On découvre également une bonne proportion de forfaits mobiles couplés à une offre fixe.

Au 31 décembre, l’Arcep comptabilisait ainsi 75,6 millions de carte SIM en service. Par rapport au même trimestre de l’année précédente, cela représente une augmentation de 1,3 %. Les offres de type post-payée ont progressé de 3,4 %, pendant que les offres prépayées ont reculé de 11,4 %.

On apprend enfin qu’au cours du quatrième trimestre 2018, 6 cartes SIM sur 10, soit 47,7 millions, ont fonctionné sur un réseau mobile 4G. La proportion atteint plus précisément les 63 %, en progression de 7 points sur un an. Notez d’ailleurs que seules les personnes ayant un forfait et un terminal compatible 4G sont comptabilisées.

Autre enseignement de cet observatoire de la téléphonie mobile : 20,1 millions de forfaits mobiles, soit près de 3 sur 10, sont couplés à une offre Internet fixe, dans le cadre de la convergence mobile qui permet de profiter de services supplémentaires et de remises. Sur 12 mois, leur nombre a progressé de 2,3 %.

Si l’on s’intéresse plus particulièrement aux cartes SIM dédiées exclusivement à la data, celles à bord d’une tablette tactile ou d’un ordinateur portable, le recul sur un glissement de 12 mois atteint les -1,7 %. Au 31 décembre, leur nombre était de 3,4 millions, soit 5 % du total des cartes SIM. Dans le détail, le nombre de cartes SIM en post-payé a progressé de 4,6 %, tandis que le nombre de cartes en pré-payée a reculé de 27,1 %.

Classés sous les catégories : Non classé

Nouveau baromètre de couverture 4G de nPerf : de fortes disparités avec les chiffres communiqués par Bouygues, Free, Orange et SFR

 

Les chiffres de couverture 4G/4G+ contenus dans le nouveau baromètre de nPerf ramènent Bouygues, Free, Orange et SFR à la réalité. L’écart avec leurs chiffres est loin d’être négligeable.

L’outil nPerf, qui permet à tout un chacun de mesurer ses débits 3G et 4G (mais aussi Wi-Fi) grâce à des applications mobiles disponibles sur l’App Store et le Play Store et d’avoir un aperçu de la couverture des opérateurs mobiles en France, vient de publier un nouveau baromètre.

Réalisé à partir de 2 milliards de mesures effectuées depuis 143 370 appareils et sur 365 jours, il désigne Bouygues Télécom comme numéro un en termes de couverture 4G, avec 90,5 % de la population couverte. SFR, Orange et Free suivent avec 89,97 %, 88,28 % et 79,09 %. 

Au-delà des chiffres, c’est surtout la différence entre les chiffres de nPerf et ceux communiqués par l’ARCEP et les opérateurs qui interpelle. Le régulateur des télécoms indique en effet 99 % de population couverte par Bouygues Télécom, Orange et SFR. Free arrive dernier avec 92 % de la population couverte. L’écart entre les deux mesures flirte en effet avec les 10 points dans le cas de Bouygues Télécom, Orange et SFR. Il approche même les 13 points dans le cas de Free. 

 

Le baromètre place également SFR à la première place pour la couverture 4G+, avec 66,64 %. Bouygues Télécom, Free et Orange arrivent derrière avec 64,29 %, 62,53 % et 57,05 %. Orange, qui revendique régulièrement sa place de numéro un en termes de couverture mobile, se retrouve ainsi en dernière place…

Pour ceux que cela intéresse, le baromètre nPerf complet avec les cartes par région est disponible au format PDF à cette adresse.

Classés sous les catégories : Non classé

Speed Test 3G, 4G et Wi-Fi : nPerf offre de nouvelles possibilités sur iPhone et iPad

nPerf se met à jour sous iOS. L’application de Speed Test 3G, 4G et Wi-Fi offre ainsi de nouvelles possibilités aux propriétaires d’iPhone et d’iPad.

Disponible sur Android et iOS, l’application nPerf permet de mesurer les débits offerts par votre connexion mobile en 3G ou 4G, mais également par votre connexion Wi-Fi à la maison ou au travail. Elle permet également de comparer son score avec les autres utilisateurs et de profiter d’une carte interactive avec la couverture 2G/3G/4G/4G+ de Bouygues Télécom, Free Mobile (sans itinérance) Orange et SFR.

La version destinée aux smartphones iPhone et tablettes tactiles iPad a été mise à jour, afin d’apporter quelques nouveautés, améliorations et corrections. En voici d’ailleurs la liste :

– Possibilité de programmer plusieurs tests (avec un abonnement Premium)
– Possibilité de modifier la durée du test de débit
– Possibilité d’arrêter un test en cours
– Messages d’interruption plus précis
– Amélioration des performances de l’application
– Optimisation des tests
– Ajout du Chinois (Chine) et du Chinois traditionnel (Taïwan)

L’application nPerf pour iPhone/iPad peut être téléchargée sur l’App Store en suivant ce lien.

 

 

Classés sous les catégories : Non classé

FMobile : le développeur revient à la charge avec une seconde génération synonyme d’une revanche face à Apple

Le développeur de FMobile n’a pas abandonné. Il annonce ainsi une nouvelle génération, synonyme de près de 3 000 lignes de code et présentée comme une revanche face à Apple. Son application libérant de l’itinérance fonctionne désormais avec les opérateurs du monde entier, et plus seulement avec Free Mobile.

Précédemment, le développeur de FMobile indiquait avoir abandonné l’idée de proposer sur l’App Store son application qui libère les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange. Après plusieurs tentatives infructueuses auprès d’Apple, sachant que FMobile s’adresse aux possesseurs d’iPhone, il avait décidé de se contenter de TestFlight. Voulant voir le positif dans tout ça, le développeur indiquait pouvoir enfin se consacrer pleinement au développement son application. Et voici la deuxième génération de FMobile qui pointe déjà le bout de son nez (sur TestFlight, vous l’aurez compris). Le développeur précise d’ailleurs que ce premier jet, sous la forme d’une mouture 1.0 (44), peut se révéler instable du fait qu’il n’a pas pu tester toutes les conditions. 

Avec cette deuxième génération, ce sont trois grands fichiers de l’application qui ont été « complètement réécrits », soit « près de 3 000 lignes de code ». Il s’agit de contourner ce qui semble être le principal point de blocage, à savoir le fait qu’Apple considère le code source comme  « la propriété de Free ». FMobile devient ainsi compatible avec « tous les opérateurs au monde ayant un accord d’itinérance pénalisant leurs abonnés ». L’assistant est pré-configuré pour les abonnés Free Mobile. Tout en précisant avoir pris ses précautions vis-à-vis du règlement d’Apple, le développeur précise que « FMobile est la SEULE application AU MONDE capable de lire toutes les données du réseau actuellement connecté ». La documentation indique également l’optimisation de l’interface pour les petites tailles d’écran ,avec du texte dynamique. Elle précise enfin que l’application est « compilée en Swift 5, allégée pour iOS 12.2 ». Pensez donc à mettre à jour votre iPhone.

  

Classés sous les catégories : Non classé

FMobile : écartée de l’App Store, l’application libérant de l’itinérance Orange restera finalement sur TestFlight

Le développeur de FMobile a fini par abandonner l’idée de proposer l’application sur l’App Store. Elle restera sur TestFlight.

Proposée aux propriétaires d’iPhone, l’application FMobile donne la possibilité aux abonnés Free Mobile de se libérer de l’itinérance Orange. Elle permet en effet de détecter sur quel réseau mobile est connecté l’iPhone et effectue une succession d’actions pour revenir sur celui de Free lorsqu’il est bloqué en itinérance Orange.

Inutile par contre de chercher FMobile sur l’App Store. Le développeur n’a toujours pas réussi à répondre aux critères de la firme à la pomme pour se retrouver sur sa plate-forme de téléchargement. Dans un récent tweet, celui-ci a d’ailleurs indiqué avoir abandonné l’idée, après une quinzaine de tentatives infructueuses. D’après lui, Apple voudrait que ce soit Free qui gère l’application. 

L’application FMobile devra finalement faire sans l’App Store et continuera donc d’être proposée via TestFlight. Le développeur promet des "mises à jour de FMobile via le TestFlight jusqu’à la fin de l’itinérance". Il préfère d’ailleurs voir ce refus positivement : "Je vais pouvoir me concentrer à fond sur FMobile sans me préoccuper de l’avis d’Apple maintenant".

En parlant de mises à jour, la dernière version, estampillée 1.0 (42), annonçait d’ailleurs une optimisation du test du débit, dont la consommation n’excède plus les 3 Mo par heure (contre 120 Mo pour la première build), ainsi que des optimisations au niveau de l’interface.

Classés sous les catégories : Non classé

Bouygues, Free, Orange et SFR : l’Arcep dégaine un atlas de la 4G par département et des implantations de site dans le cadre du New Deal

 

L’Arcep vient de publier un atlas de la 4G par département et des implantations de site dans le cadre du New Deal Mobile.

Pour permettre à tout un chacun de se rendre compte des effets concrets du New Deal Mobile, l’Arcep a mis en ligne un altas. Celui-ci regroupe les cartes de la 4G par département. Il montre les sites 4G déjà en service, les sites existants à équiper en 4G d’ici à fin 2020 ou fin 2022, les sites à 1, 2 ou 3 opérateurs et les sites mutualisés à 4 opérateurs.

Ci-dessous, l’exemple pour les départements de l’Allier et du Calvados :

 

 

Pour ceux que cela intéresse, l’atlas complet au format PDF peut être consulté grâce à ce lien.

Toujours dans une logique de transparence autour du New Deal Mobile signé avec Bouygues, Free, Orange et SFR, le gendarme des télécoms a également mis à jour son tableau de bord en y ajoutant deux nouveaux indicateurs.

Classés sous les catégories : Non classé

Résultats sondage : abonnés Free Mobile, êtes-vous prêts à payer plus pour profiter de la 5G ?

 

Alors que l’on parle beaucoup de la 5G et de ses débits plus élevés, nous vous avons interrogés pour savoir si vous seriez prêts à payer plus cher pour en profiter. Pour une bonne partie d’entre vous, la réponse est clairement non. 

La 5G, c’est la prochaine grosse évolution dans les réseaux mobiles. C’était l’une des stars du dernier salon MWC qui s’est déroulé fin février à Barcelone, en Espagne. Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR s’y préparent, en vue de premières offres commerciales courant 2020. 

Lors d’un récent sondage, nous vous avons demandé si vous seriez prêts à payer plus cher, afin de bénéficier des débits en forte hausse promis par la 5G. La question se pose, avec des opérateurs qui ne cessent de souligner les lourds investissements à consentir pour avoir droit à un bon réseau et qui pourraient répercuter le surcoût sur la facture mensuelle de l’abonné. 

La réponse est non pour la majeure partie d’entre vous. Près de 37 % attendent d’abord une bonne 3G/4G, avant la 5G. Plus de 30 % indiquent se satisfaire des débits 4G et ne pas avoir une idée claire des usages. Plus de 20 % préfèrent quant à eux attendre une vraie couverture 5G avant de mettre la main au porte-monnaie.

Êtes-vous prêts à payer plus pour profiter de la 5G ?
  1781 votes 21.4%
Non, car le déploiement sera trop localisé au départ
 
  2529 votes 30.4%
Non, les débits 4G me suffisent et les usages de la 5G sont trop flous
 
  462 votes 5.6%
Pourquoi pas, si ça peut aider au déploiement rapide et éviter les zones blanches
 
  498 votes 6%
La nouveauté se paie. Donc oui, si cela n’est pas excessif
 
  3044 votes 36.6%
Que les opérateurs proposent une bonne 3G/4G partout. On verra pour payer la 5G
 
 8314 votes
Classés sous les catégories : Non classé

Pour Iliad (Free), les forfaits mobiles à 5 euros à vie n’ont pas de sens

Les forfaits mobiles de Free, en particulier le petit à 2 euros, subissent la forte concurrence et la multiplication des promotions. Pour autant, Iliad ne compte pas se lancer dans quelque chose d’insensé. Pas question de sortir un forfait 5 euros à vie, comme ceux proposés par la concurrence.

Comme attendu, Iliad vient de publier ses résultats financiers annuels. Ceux-ci ont notamment montré une érosion du nombre d’abonnés mobiles. Se chiffrant à 254 000 sur un an, elle a pour principale origine le recul du nombre d’abonnés au petit forfait à 2 euros (ou 0 euro pour les abonnés Freebox). L’offre a en effet perdu près d’un million d’abonnés sur un an. Si certains ont migré vers le forfait avec 4G illimitée à 19,99 euros (ou 15,99 euros pour les abonnés Freebox) et font partie des 722 000 recrutements enregistrés par le forfait avec 4G illimitée et la Série Spéciale, d’autres ont été attirés par les nombreuses promos dans le secteur de la téléphonie mobile, comme le souligne Iliad en parlant d’un « contexte concurrentiel exacerbé en 2018 »

Il y a notamment les offres à 5 euros de Red by SFR ou 4,99 euros de Bouygues Télécom, qui proposent des appels et SMS illimités et une enveloppe data mensuelle de plusieurs dizaines de Go. Le tout sans engagement et à vie. Inutile de dire que ces promotions s’avéraient très intéressantes face au petit forfait avec ses 2 heures d’appels ses 50 Mo de data. Pour autant, pas question pour Free de s’orienter vers ce type d’offres : « On ne lance pas des offres à vie à 5 euros, ça n’a pas de sens économique ». Iliad est conscient qu’elles pourraient attirer du monde, mais laisse entendre le fait qu’elles ne lui permettraient pas d’être rentables.

Source : Business Insider

Classés sous les catégories : Non classé