Auteur : Maxime Raby

Free permet désormais de souscrire un forfait mobile par téléphone

Après les bornes interactives et le site internet, il est désormais possible de souscrire un forfait Free Mobile directement par téléphone.

En effet depuis peu, en plus des nouveaux abonnements Freebox, le service client prend en charge les demandes de souscription aux forfaits Free Mobile. Pour ce faire, il suffit d’appeler le 1044 puis de taper 2. 

Les abonnés Freebox désirant bénéficier d’un avantage mobile en optant pour le forfait 4G+ illimitée à 15,99€  ou le forfait voix (2h, SMS/MMS illimités) à 0 euro, peuvent également contacter la hotline de l’opérateur.

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Free Mobile : les OnePlus 7T et 7T Pro McLaren Edition débarquent en précommande

“Vous l’attendiez, il arrive ! Il n’y en aura pas pour tout le monde, soyez rapide”, prévient OnePlus sur l’oiseau bleu. Le OnePlus 7T Pro McLaren fait son entrée en exclusivité dans la boutique en ligne Free Mobile, le tout en précommande. Le OnePlus 7T aussi. Livraison à partir du 8 novembre.

Comme prévu, le OnePlus 7T Pro McLaren 256 Go est proposé à 859€ en achat comptant.  il est possible de l’acquérir en 4 fois sans frais soit 217€ à la commande puis 3 fois 214€.

De son côté, le OnePlus 7T 128 Go est affiché à 599€. Egalement disponible en 4 fois sans frais, il faudra débourser 152€ à la commande puis 3 fois 149€ sans frais.

Compatible avec la 4G 700 MHz (B28), si chère à Free Mobile, les deux flagships proposent également un chipset Snapdragon 855+, un écran AMOLED avec un taux de rafraîchissement 90 Hz et une charge rapide 30 Watts (technologie Warp Charge 30T). Ayant pu obtenir des exemplaires en amont du lancement officiel, la rédaction d’Univers Freebox vous a d’ailleurs proposé des tests complets du OnePlus 7T et du OnePlus 7T Pro dans son édition standard. Ce dernier  sera disponible le 8 novembre dans la boutique en ligne.

Après Bouygues Telecom, Free Mobile est le deuxième opérateur télécom en France à signer un partenariat avec OnePlus et proposer ses smartphones. Il est d’ailleurs le seul à commercialiser l’édition McLaren du OnePlus 7T Pro.

 

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Free Mobile ampute temporairement de 10 Go son forfait “Série Free” sans baisser le prix

La tendance se confirme. Free Mobile prolonge une nouvelle fois son forfait intermédiaire jusqu’au 5 novembre mais baisse de 10 Go la data incluse pour un prix inchangé, à 9,99€ pendant un an.

Piqûre de rappel. Au début du mois, l’opérateur de Xavier Niel a comme certains concurrents revu à la hausse le prix de son forfait “Série Free”. Habituellement proposé à 8,99€/mois pour 50 Go de données, celui-ci est passé à 9,99€ en incluant 10 Go supplémentaire. Free Mobile a par la suite maintenu deux fois cette offre. Mais ce matin, l’opérateur a décidé de revoir, au moins le temps d’une semaine, à la baisse l’enveloppe de données incluse, celle-ci passant à 50 Go, sans baisse de tarif.

Intercalé entre les deux forfaits historiques de Free Mobile, cette offre comprend désormais pour 9,99€/mois, appels, SMS et MMS illimités, désormais 50 Go en France métropolitaine et 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100 Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

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Free couvre désormais 94% de la population en 4G

L’Arcep a récemment mis à jour son “tableau de bord du New Deal Mobile” en y intégrant les données des opérateurs pour le 2ème trimestre. Free couvre à présent 94% de la population en 4G.

Les débits de Free Mobile s’améliorent mais aussi sa couverture. L’opérateur devrait tenir ses engagements pris dans le cadre du New Deal, à savoir offrir un service de très haut débit mobile 4G sur l’ensemble de son réseau en migrant tous ses sites existants dont ceux qui fonctionnent aujourd’hui uniquement en 3G d’ici fin 2020, hors programme historique des zones blanches. En septembre, l’ex-trublion compte 13636 sites équipés en 4G sur 16097 déployés, soit environ 83%, un ratio quasi-similaire à ses rivaux.

Arrivé il y a seulement 7 ans sur le marché, Free Mobile cravache pour réduit l’écart avec ses concurrents en matière de couverture. Selon le tableau de bord du régulateur, l’ex-trublion couvrait à la fin du second trimestre 94% de la population.

A titre de comparaison, Bouygues a atteint ce taux de couverture de la population en novembre 2017, rejoint dans la foulée par Orange et SFR plus tard.

Force est de constater que les  performances du réseau de Free Mobile se déculplent depuis quelques mois. L’opérateur a notamment activé une technologie sur son réseau (256 QAM) permettant une augmentation de 30% de ses débits. Autre bonne nouvelle selon notre partenaire RNC Mobile, 60% des sites 4G de Free Mobile sont désormais en 4G++ (agrégation des 3 bandes de fréquences 4G de Free : 700 MHz, 2 600 MHz et 1800 MHz).

On se souvient enfin de l’objectif que s’est donné il y a quelques mois Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad : ” on prévoit d’atteindre 96% de couverture 4G d’ici 6 à 7 mois”, soit d’ici décembre. Le 12 novembre prochain, Free présentera ses résultats pour le troisième trimestre dont le décompte s’est achevé fin septembre. Nul doute que la couverture aura progressé bien qu’il faudra attendre logiquement le mois de mars et les chiffres du T4 pour savoir si Free a réussi à se rapproche à 3 points de ses rivaux, revendiquant tous une couverture d’environ 99%.

L’ex-trublion veut faire vite et bien et donne depuis plusieurs mois un grand coup d’accélérateur sur le déploiement de la bande de fréquence 700 MHz en 4G+. Selon les chiffres de l’ANFR, Free a été très nettement le plus actif en septembre avec 390 sites supplémentaires 4G mis en service avec 1 038 nouvelles antennes 700Hz activées , soit un nouveau record mensuel, pour un total de 9 289 antennes sur cette fréquence.

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Free Mobile : un projet d’antenne-relais sème la zizanie chez les riverains

Direction Nice, où Free Mobile prévoit d’implanter une antenne-relais dans un quartier situé au nord de la ville, au grand dam de riverains. En cause, la proximité d’une école maternelle et primaire.

Rassemblé en un collectif, des riverains de Nice Nord voient d’un mauvais oeil l’arrivée d’une antenne de 30 mètres Free Mobile. Consternés, ceux-si ont lancé une pétition et ont reccueilli 800 signatures. Leur argument, la proximité d’une école maternelle et primaire.  “Les immeubles sont très proches, on est dans une zone très resserrée, très concentrée. Il y a à peine 10 mètres entre deux immeubles. Et l’antenne sera située à vol d’oiseau à moins de 30 mètres d’une école primaire qui accueille 900 enfants !” martèle un membre du collectif dans les lignes de France Bleu.

De son côté, la mairie a prononcé un avis défavorable en mai 2018 avant de déclarer le projet non-conforme au plan local d’urbanisme en raison de l’esthétisme de l’antenne. La justice a finalement donné raison à l’opérateur de Xavier Niel, lequel s’est d’ailleurs engagé à camoufler ses antennes. Reste à connaître la date de mise en service de l’antenne.

 

 

 

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Meilleur réseau mobile : Orange en tête, Free Mobile réduit l’écart avec ses rivaux et offre les meilleurs débits descendants en zone rurale

L’Arcep lève le voile sur les résultats de la 20ème édition de son enquête annuelle d’évaluation de la qualité de service des opérateurs mobiles métropolitains. Orange conserve son leadership, Bouygues et SFR suivent. Dernier de la classe, Free Mobile progresse et réduit l’écart sur la concurrence.

Premier enseignement, la qualité des services de l’internet mobile “s’améliore de façon significative pour tous les opérateurs, et ce dans toutes les zones”, note le régulateur. En conséquence, le débit descendant moyen en France métropolitaine grimpe à 45 Mbit/s contre 30 Mbit/s en 2018.

Toutefois, il existe des différences significatives de qualité entre les opérateurs selon la zone (dense, intermédiaire ou rurale)  et les axes de transport empruntés.

Au total, “plus de 1,5 millions de mesures en 2G, 3G et 4G ont été réalisées sur l’ensemble du territoire, dans tous les départements (à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments) et dans  les transports”, souligne l’Arcep dans son enquête. Celle-ci porte comme chaque année sur la navigation web, lecture de vidéo, transfert de données, SMS et appels vocaux.

Du côté de l’internet mobile, Orange reste devant pour la 9ème année consécutive et affiche les meilleurs résultats sur l’ensemble de la campagne de mesures. Bouygues Telecom conserve son avantage sur SFR. Enfin, Free Mobile “reste derrière mais progresse et réduit l’écart par rapport aux trois autres opérateurs”, constate la police des télécoms. Logique puisque que l’opérateur déploiement actuellement son réseau à vitesse grand v (700 MHz), ses débits se voient d’ailleurs boostés depuis l’activation de la modulation 256 QAM le mois dernier sur son réseau, une technologie permettant d’augmenter de 30% les débits. Néanmoins, l’itinérance plombe toujours l’opérateur sur de nombreux indicateurs même si le réseau propre de l’ex-trublion gagne pas à pas son indépendance.

Free Mobile peut toutefois se targuer d’être en 2018 le meilleur opérateur en matière de débit descendant en zone rural soit dans les communes de moins de 10 000 habitants (29 Mb/s). Free Mobile “progresse sensiblement mais la qualité d’expérience (streaming vidéo et navigation web) proposée par cet opérateur, reste loin derrière les autres opérateurs”, précise l’Arcep.

Dans cette zone, Bouygues Telecom obtient toutefois les meilleurs résultats au global pour la seconde année consécutive  juste devant Orange et SFR. Free Mobile “progresse sensiblement en ce qui concerne les débits descendants mais la qualité d’expérience (streaming vidéo et navigation web) proposée par cet opérateur en zone rurale, reste loin derrière les autres opérateurs.

 

Les axes de transport

Sur ce point,  Orange est le meilleur opérateur sur les routes et axes ferroviaires, suivi par SFR et Bouygues Telecom.

“La couverture des axes routiers en data s’améliore, avec 94% de taux de chargement d’une page web en moins de 10 secondes pour Orange et Bouygues Telecom et de 91% pour SFR (soit +3 à +7 points par rapport à 2018 suivant les opérateurs)”, indique l’enquête.

La couverture des voies ferrées progresse également sensiblement, notamment Orange sur les RER/Transiliens, Orange et Bouygues Telecom sur les Intercités/TER, ainsi que ces deux mêmes opérateurs avec SFR sur les TGV.

De son côté, “Free Mobile reste très sensiblement en retrait sur ces indicateurs, malgré une amélioration importante (de +9 à +18 points sur les différents axes de transport)”, poursuit le régulateur.

Voix et SMS : Orange, SFR et Bouygues Télécom dans un mouchoir de poche , devant Free

En ce qui concerne  la qualité des appels, Orange propose la meilleure qualité de service : 80% des appels de 2 minutes sont en qualité parfaite, juste devant Bouygues Telecom (79%) et SFR (78%). Free Mobile est derrière (70%), pénalisé par l’absence d’appels haute définition en 4G.

S’agissant des SMS, SFR, Orange et Bouygues tienennt le haut du pavé : 95% des SMS qui transitent par ces opérateurs sont reçus en moins de 10 secondes, contre 92% pour Free Mobile.

A noter que l’Arcep a fait évoluer sa méthodologie cette année pour se rapprocher de l’expérience utilisateur. Ce « changement de thermomètre » aboutit à des taux en valeur absolue plus bas que la méthodologie précédente.  Mais cela ne traduit aucunement une dégradation de la qualité effective (voir le détail en annexe 3).

Une nouvelle méthodologie pour se rapprocher de l’expérience utilisateur

Pour  cette nouvelle campagne de mesure, l’Arcep a souhaité élever le niveau d’exigence de la méthode d’évaluation de la qualité de service des appels mobiles dans les lieux de vie. Trois nouveautés ont ainsi été introduites. Cette année, tous les tests d’appels se sont faits entre deux mobiles, au plus proche des usages des Français et non plus entre mobiles et lignes fixes. Par ailleurs,  dans un souci de représentativité, “25% des appels ont été évalués entre deux mobiles d’un même opérateur (intra-opérateur) et 75% entre deux mobiles de deux opérateurs différents (inter-opérateurs)”. Enfin fini la méthode des “oreilles d’or” par notation des enquêteurs et place à” la qualification automatique” de la qualité des appels. Celle-ci “consiste à mesurer, sur un court échantillon vocal de 8 secondes, la différence entre l’appel en cours et l’échantillon de référence, une note correspondant à la déformation du signal est ensuite attribuée par un logiciel. Un appel de deux minutes comporte une douzaine d’échantillons et reçoit donc autant de notes.”

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FMobile : les développeurs de l’application vous libérant de l’itinérance Orange préparent une version pour les anciens iOS

Avis aux utilisateurs d’iPhone 5S et 6 etc, si la nouvelle version de FMobile est seulement compatible avec iOS 13, une mouture débarque bientôt pour les laissés pour compte.

Le rendez-vous est pris. Dès le 1er novembre prochain, FMobile 1.4 va voir le jour. “Apple m’a autorisé à faire une app pour les anciens appareils iOS !  iPhone 5s / iPhone 6 ou tous les autres ne souhaitant pas passer sur iOS 13”, informe le développeur de l’application.

Dans le détail, cette version de FMobile est une extension de l’ancienne 1.3 et permet de continuer de supporter les appareils sous iOS 11 jusqu’à iOS 13.0. “La stabilité de FMobile 1.4 a été améliorée, en s’inspirant légèrement des changements de FMobile 2, mais aucune des fonctions majeures de FMobile 2 n’est disponible dans cette version. Les utilisateurs sous iOS 13.0 sont vivement invités à mettre à jour leur version d’iOS vers la dernière disponible, car FMobile 1.4 ne bénéficie pas des spécificités de la dernière version”, précise enfin l’équipe de développement.

 

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Free gagne une bataille juridique face à une commune et pourra implanter son antenne-relais

Après avoir saisi la justice coup sur coup récemment, Free Mobile remporte cette fois un combat face à une commune à la suite d’un arrêté pris par le maire en septembre 2018. 

Le feu vert est donné. Le tribunal administratif de Rennes a finalement jugé en règle la demande d’autorisation d’installer une antenne-relais de Free Mobile dans la commune de Brech dans le Morbihan.

L’opérateur de Xavier Niel contestait un arrêt municipal pris par l’élu il y a un peu plus d’un an. Dans sa décision dont a eu lecture Le Télégramme, le tribunal tranche et indique notamment que « le terrain d’assiette du projet est localisé au sein d’un vaste espace naturel, agricole et boisé ne faisant l’objet d’aucune protection patrimoniale, environnementale, historique ou urbanistique, poursuit le tribunal. Le pylône projeté présentera une hauteur d’environ 35 mètres et sera partiellement occulté en raison de la présence de boisements ». Dans son avis défavorable, la mairie a estimé que ce projet portait atteinte au paysage et à son unité, il n’en a pas été jugé ainsi.

Par ailleurs, la municipalité avait également considéré cette antenne non conforme aux règles locales d’urbanisme. A cela, les juges ont répondu :  « L’édification d’un pylône supportant une antenne-relais constitue (…) un ouvrage technique nécessaire au fonctionnement des réseaux existants d’utilité publique. Ainsi, les règles spécifiques à l’aspect extérieur des constructions ne s’appliquaient pas à ce pylône. »

Enfin, le tribunal a constaté que  la commune qu’elle n’a pas respecté la procédure « contradictoire », ne permettant pas à l’opérateur de xavier Niel de défendre son projet et de rassurer autour de cette implantation.  L’arrêté est donc annulé, la commune de Brech devra verser 1 000 € à Free Mobile, soit le remboursement de ses frais de justice. Le maire n’exclut pas de faire appel. Trois riverains ont lancé une procédure de contestation autour de cette antenne.

 

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Neuf ans après, un deuxième Free Center va ouvrir ses portes à Paris

A l’heure où l’opérateur de Xavier Niel déploie à tour de bras son réseau de boutiques à travers la France pour un meilleur quadrillage, la capitale ne compte qu’un seul Free Center. Mais pas pour longtemps.

Neuf ans après l’inauguration rue de la Ville-l’Évêque dans le 8e arrondissement de son “vaisseau amiral”  hors norme à l’époque par sa taille mais aussi par son design, le seul et unique Free Center parisien va enfin se sentir moins seul. D’après les remontées d’un Freenaute, l’opérateur de Xavier Niel va bientôt ouvrir une seconde boutique dans la capitale, cette fois dans le 17e arrondissement, avenue des ternes. La preuve en image… On apprécie le jeu de mots.

L’opérateur compte aujourd’hui 70 boutiques et prévoit d’en ouvrir prochainement entre autres à Blois, Nice ou encore Antibes.

 

Merci à TheRenard !

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Free saisit une nouvelle fois la justice autour de l’implantation d’une antenne-relais

Retour à Aix-Noulette, une commune du Pas-de-Calais où l’implantation d’une antenne-relais Free Mobile sème la zizanie chez les élus et les riverains. Le maire a signé le permis de construire fin 2018 avant de faire machine arrière en mai dernier. Faute d’avoir trouvé une solution, l’opérateur de Xavier Niel décide aujourd’hui de saisir la justice.

Rétropédalage quand tu nous tiens. A la suite de plaintes, environ 25 lettres de recours d’habitants, le maire d’Aix-Noulette a décidé de déposer un arrêté le 10 mai 2019 et ce après avoir donné son feu vert 5 mois plus tôt à Free Mobile pour l’installation de ses équipements sur un terrain privé au centre-ville.

C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase pour l’opérateur. Ce dernier tente d’implanter une antenne-relais dans la commune depuis 2017, et s’est d’ailleurs déjà heurté à un premier refus avant de changer d’emplacement.

Free Mobile a donc pris la décision de saisir la justice.  « Au départ, ils n’avaient pas réagi. Mais finalement, ils ont décidé d’attaquer l’arrêté au tribunal administratif », explique le maire dans les lignes de La Voix du Nord. Pour sa part Free Mobile estime que “l’arrêté de retrait est illégal”. L’opérateur souhaite trouver une solution et a envisagé un recours gracieux mais face à l’absence de réponse de la municipalité à la suite d’une rencontre en juin 2019, “nous avons finalement décidé de lancer une procédure contentieuse”, poursuit l’opérateur.

D’une hauteur de plus de 25 mètres de haut ce futur pylône devrait être visible de l’église de la commune, ce qui selon la municipalité et les riverains réfractaires au projet, ne respecterait pas le Plan local d’urbanisme. En cause également et cela devient une habitude, la pollution visuelle et l’impact des ondes sur la santé. 

Dans une autre affaire autour d’un refus d’implantation d’une antenne-relais, Free a également saisi hier le tribunal adminsitratif face à la commune de Larmor-Baden dans le Morbihan en Bretagne.

 

 

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