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Un nouveau modèle d’iPhone reconditionné est disponible chez Free Mobile

Un iPhone 7 avec davantage de stockage

Les smartphones reconditionnés ont le vent en poupe chez Free Mobile. Après avoir proposé deux vente privées avec un iPhone offert, c’est la boutique Free Mobile qui s’enrichit d’un nouveau modèle de smartphone reconditionné. Il s’agit de l’iPhone 7 128Go disponible en noir et en rose, avec un Grade A. Il est proposé au tarif de 239€ en paiement comptant, ou en plusieurs fois sans frais : en 4 fois : 62€ puis 59€ durant 3 mois ou en 24 fois : 47€ puis 8€ durant 24 mois.

 

 

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Face à l’arrivée de Free Mobile , des riverains s’insurgent et jouent la carte de l’imprécision pour faire arrêter les travaux

Pour empêcher l’installation d’une antenne-relais dans leur commune, un collectif de riverains veut jouer sur les mots et sur l’imprécision de Free Mobile.

Une erreur administrative brandie comme un argument par les opposants à une antenne Free Mobile. Un collectif d’habitants de Piriac, Mesquer et La Turballe (Loire-Atlantique) veulent obtenir l’arrêt des travaux d’installations d’une antennes 3G, 4G et possiblement 5G de Free Mobile. Leur angle d’attaque ? Un dossier imprécis fourni par l’opérateur.

Des imprécisions qui justifieraient un arrêt des travaux

En effet, le collectif dénonce le fait que le dossier d’information mairie (DIM) ne présente pas la bonne adresse pour les travaux d’installation de l’antenne-relais. La mairie, sollicitée par nos confrères de l’Echo de la Presqu’Île a cependant expliqué les raisons de cette erreur. Free a en effet déposé plusieurs dossiers, dont certains écartés. L’adresse concernée (rue du Clos Moulin), faisait ainsi bel et bien l’objet d’une proposition de l’opérateur, avant que celui-ci accepte la demande de la municipalité d’implanter son antenne plus loin des habitations afin de “limiter la pollution visuelle“. Free a donc ensuite déposé une demande d’autorisation pour la zone choisie par la mairie, rue Champelonot, où ont commencé les travaux le sept décembre dernier. Ainsi cette erreur d’adresse provient d’une erreur de dossier, et la municipalité  a demandé à l’opérateur de déposer un DIM correspondant à l’adresse du projet. Celui-ci est encore attendu pour le moment.

Mais les opposants n’en démordent pas. D’après eux, l’opérateur ne joue pas dans les règles. Le collectif estime en effet qu’un permis de construire aurait dû être déposé et non une déclaration préalable. Ces deux imprécisions font enrager le collectif, qui estime : ” cela signifie que n’importe qui peut déposer un permis de  construire pour une cabane à une adresse et construire en toute impunité un château à une autre adresse” Cependant, la loi Elan de 2018 précise bel et bien que l’installation d’un pylône est soumise à ce type de document, et non à un permis de construire.

A ces soucis administratifs s’ajoute une défiance envers la 5G. Christian Tholin, porte-parole du collectif explique ” la  future  antenne  doit  accueillir  deux  antennes  3G,  trois  antennes  4G et trois antennes 5G factices. Ce qui permettra une installation d’antenne 5G en toute discrétion, sans qu’aucune étude d’impact n’ait été réalisée“. Un recours en référé suspensif a été déposé auprès du tribunal administratif de Nantes pour obtenir l’arrêt des travaux.

Source : L’Echo de la Presqu’île (version papier)

 

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Free déploie une nouvelle campagne de pub pour son réseau 5G

L’opérateur de Xavier Niel promeut sa 5G, annonçant sur le mobilier urbain proposer le “plus grand réseau 5G de France”.

Free roule des mécaniques et déploie une nouvelle campagne de publicité dans les rues. L’objectif est simple, montrer l’étendue de son nouveau réseau 5G lancé deux semaines auparavant.

Aucune mention d’offres ou des prix cassés appliqués par l’opérateur de Xavier Niel sur ces affiches. La communication est sobre et claire, avec un message précis : Free est numéro 1 en nombre de site 5Gs et dispose donc du plus grand réseau de France parmi les 4 opérateurs.

La photo quant à elle, suggère que la 5G de Free peut se trouver partout, même en forêt, où même les écureuils vous envieront votre connexion apparemment. Une approche différente des campagnes que l’on peut apercevoir sur les réseaux sociaux ou les plateformes vidéos comme YouTube par exemple, où Free met cette fois en avant le fait de proposer la 5G sans surcoût.

Pour rappel, lors du lancement de son réseau et de ses offres, le 14 décembre dernier, l’opérateur de Xavier Niel annonçait plus de 7700 communes couvertes, soit 40% de la population avec 5 255 sites activés, dont 220 sites 3,5 GHz. Si vous souhaitez savoir si vous êtes couverts, Free propose une carte de couverture sur son site internet.

Merci à @TiinoX83

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Découvrez la répartition des antennes Free Réunion 3G/4G sur l’année 2020

Aujourd’hui grâce aux données de notre partenaire RNCMobile, Univers Freebox vous propose de découvrir la carte de déploiement des antennes Free Réunion sur l’année 2020.

Carte des antennes mobiles Free 4G :

11 antennes trouvées

Free (TELCO OI) a implanté 11 sites 2G/3G/4G à La Réunion dont deux sites en cours de construction (Le Port et St Louis) et deux autres en attente d’activation (Petite-île et St Louis).

Les fréquences des sites sont réparties de la manière suivante :

- 2G 900MHz 

- 3G 900MHz / 2100MHz

- 4G 800MHz (10Mhz) / 1800MHz (20Mhz)

Nous rappelons qu’un même pylône permet l’installation de plusieurs antennes et donc permet de diffuser plusieurs fréquences sur plusieurs secteurs simultanément.

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Le saviez-vous ? Free permet de récupérer la facture d’un smartphone acheté auprès de sa boutique, même pas mal d’années après

Vous ne le saviez peut-être pas, mais Free garde pendant de longues années les factures pour les smartphones achetés auprès de sa boutique. Et c’est plutôt pratique dans le cas d’une revente sur le marché de l’occasion.

Certains ne classent pas forcément leurs papiers de manière optimale, même les factures. Cela peut poser problème lors de la revente d’un smartphone si l’acheteur potentiel réclame une facture et si l’on ne parvient pas à remettre la main dessus.

Dans le cas d’un smartphone acheté auprès de la boutique en ligne Free Mobile, sachez justement que l’opérateur donne la possibilité de retrouver les factures d’achat. Il suffit de se connecter à l’Espace abonné et de cliquer sur “Mes commandes mobiles” dans le menu de gauche.

Apparaissent alors les différents smartphones commandés, avec à chaque fois un bouton “Détails de la commande”. Cliquez dessus.

Dans le détail de la commande s’affiche un bouton “Télecharger la facture” permettant de récupérer la facture associée au format PDF. Libre à vous ensuite d’envoyer le document par e-mail dans le cas d’une petite annonce sur Internet ou de le présenter en mains propres après l’avoir imprimé.

Chose notable et bonne à savoir : Free semble conserver ces factures pendant de nombreuses années. Nous avons en effet retrouvé la facture de l’iPhone 6 reconditionné acquis début 2019, pour notre test des smartphones reconditionnés avec ReCommerce, mais également celle d’un Nokia Lumia 520 acheté en 2014, lorsque Windows Phone n’avait pas encore été enterré pour de bon par Microsoft.

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Free Mobile : les élus apportent des éléments face à l’incompréhension autour d’une antenne

Face à l’incompréhension et au mécontentement des habitants devant l’installation d’une antenne-relais de Free, les élus rappellent quelques aspects dans ce genre de dossier.

Au quartier du Pain de Sucre, à Cagnes-sur-Mer, dans le département des Alpes-Maritimes, une antenne servant à la 3G et à la 4G a reçu un accueil plutôt froid de la part des riverains lorsque ces derniers ont découvert un matin de décembre son installation sur un pylône à haute tension d’Enedis. Manque d’information, installation dans un quartier pourtant protégé, proximité avec des habitations (60 mètres) et une école (150 mètres) et impact sur la valeur de l’immobilier se retrouvent pointés du doigt par des habitants ne cachant pas leur colère. Ces derniers ont d’ailleurs lancé une pétition avant de l’envoyer à la mairie. Certains d’entre eux ont également écrit au Préfet ou à la ministre de la Transition Écologique.

Les élus expliquent

Parfois, c’est l’opérateur qui joue la carte de la pédagogie. Ici, ce sont les élus qui tentent d’apporter des explications face à l’incompréhension.

Le cabinet du maire explique ainsi que l’information est disponible grâce au Dossier d’Information Mairie (DIM) ou encore dans la presse locale, mais que les habitants ne lisent peut-être pas cette dernière. “Louis Nègre (NDRL : le maire) a demandé à tous les opérateurs de communiquer plus dans chaque secteur, quel que soit le type d’intervention. Mais l’opérateur n’est pas obligé”, souligne-t-il. Et d’ajouter : “Nous n’avons rien à cacher sur ce type de dossier, c’est pour ça que le maire a pris l’initiative d’avertir la population lorsqu’il y a des travaux sur des antennes ou des projets d’installation”. Concrètement, les habitants recevront désormais des flyers dans leurs les boîtes aux lettres concernant des travaux à venir.

À la question de pouvoir s’opposer à l’installation de l’antenne en raison de la proximité des habitations et d’une école, le cabinet du maire est clair : “Non, aucuns moyens légaux. La loi s’applique au Pain de Sucre comme partout en France”. Il insiste sur le fait que la municipalité n’est que le “dépositaire” du dossier de l’opérateur. Et d’ajouter que l’autorisation a été donnée à Enedis pour l’implantation de son pylône sur un rond-point au chemin du Pain de Sucre. Free s’est ensuite adressé au propriétaire du pylône, Enedic donc, pour y installer sa nouvelle antenne-relais.


Le pylône où Free s’est installé (crédit photo Éric Ottino)

Une possibilité à rappeler

Le dernier conseil municipal a par ailleurs été l’occasion, pour l’élue écologiste Martine Gibelin, de demander de garder à l’oeil aux antennes-relais, notamment concernant le respect des distances réglementaires par rapport aux zones vulnérables : ” 100 mètres maximum d’installations telles que crèches, établissements scolaires, de soins… “. Mais elle a surtout rappelé une possibilité offerte aux citoyens inquiets concernant l’exposition aux ondes. “N’importe quel citoyen peut demander la mesure des ondes émises”, a-t-elle en effet souligné. Pour cela, il faut en faire la demande auprès de l’ANFR.

Source : Nice Matin

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Choc des smartphones à 329 euros chez Free Mobile : Oppo Find X2 Lite ou Samsung Galaxy A51 ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 329 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose des comparatifs entre les smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile, au grès des nouvelles disponibilités et des mouvements de prix. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous opposons les Oppo Find X2 Lite et Samsung Galaxy A51, tous deux proposés à 329 euros, grâce à des baisses de prix. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran :  Samsung

Dalle AMOLED et définition Full HD+ dans les deux cas, diagonales d’écran assez proches. Le Samsung remporte cette manche grâce à un poinçon plus discret que l’encoche goutte d’eau du côté d’Oppo. Une discrétion bienvenue en particulier en vidéo ou en jeu.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A51 (6,5 pouces, AMOLED, FHD+ et poinçon)
  2. Oppo Find X2 Lite (6,4 pouces, AMOLED, FHD+ et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : Oppo

Processeur légèrement plus véloce, mais double de mémoire vive. L’Oppo promet plus de performances, que ce soit en multimédia ou en multitâche. Dans une autre registre, la plate-forme Snapdragon 765G du Find X2 Lite est synonyme de 5G.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (processeur octa-core 2,4 GHz du chipset Snapdragon 765G avec 8 Go de RAM)
  2. Samsung Galaxy A51 (processeur octa-core 2,3 GHz du chipset Exynos 9611 avec 4 Go de RAM )

La photo : Samsung

Les deux smartphones proposent de la photo 48 Mégapixels au dos et 32 Mégapixels pour les selfies. Samsung évite toutefois la tentation des capteurs photo 2 Mégapixels n’apportant pas grand-chose en termes d’expérience. Son Galaxy A51 remporte par conséquent cette manche en offrant un peu plus de polyvalence.

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A51 (48/12/5/5 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo Find X2 Lite (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie :  Oppo

Capacité de batterie similaire, mais puissance de charge qui passe du simple au double. Oppo se présente ainsi comme une solution plus intéressante, grâce à un temps de charge plus court et la possibilité de charges express bienvenues pour les gros utilisateurs.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (batterie 4 025 mAh et charge 30 Watts)
  2. Samsung Galaxy A51 (batterie 4 000 mAh et charge 15 Watts)

 


Le choix d’Univers Freebox :

Si les smartphones remportent chacun deux manches, le choix d’Univers Freebox se porte sur l’Oppo Find X2 Lite. Les manches remportées par Samsung se jouent en effet sur des aspects disons plus secondaires, mais surtout le smartphone sud-coréen fait l’impasse sur la 5G en plein lancement commercial de la technologie. Cerise sur le gâteau : des écouteurs sans-fil sont offerts avec le modèle Oppo.


 

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Free Mobile : une antenne-relais n’inquiète pas à cause des ondes, mais en raison de la 5G

Cette antenne-relais Free n’est pas la bienvenue. Non pas à cause des ondes, mais de la 5G. Sans oublier la pollution visuelle qui met d’accord riverains et élus.

Rendez-vous à Saint-Juéry, commune du département du Tarn, en région Occitanie, où une antenne-relais devant servir à la 4G et à la 5G de Free n’emballe ni les habitants ni la mairie. Elle doit plus précisément s’installer route de Villefranche, sur le site d’une casse automobile, en avril 2021.

La pollution visuelle

Riverains et élus s’accordent sur un point : la pollution visuelle, en raison d’une hauteur de 30 mètres qui rendra l’équipement visiblement de très loin.

“On comprend le déploiement, mais on ne peut pas accepter une antenne de 30 mètres à l’entrée du village. Le conseil municipal s’y est formellement opposé. Nous l’avons fait savoir à Casse-Auto, qui doit l’accueillir. Il faut trouver une alternative”, a indiqué David Donnez, maire de Saint-Juéry.

“De Saint-Grégoire (NDRL : à 7 kilomètres de là), on verra l’antenne. Il va vraiment y avoir une pollution visuelle”, soulignent de leur côté les habitants.

La 5G

“Ce n’est pas ça que nous mettons en avant”, ajoutent par ailleurs les habitants à propos des ondes souvent évoquées dans ce genre de frictions, tout en pointant du doigt la 5G que permettra de proposer l’équipement et réclamant ainsi un moratoire en attendant des études sur les risques sanitaires et environnementaux. “Nous ne sommes pas forcément contre, mais à quoi ça sert réellement. Est-ce que cela ne va pas entraîner des dérives ?”, s’interrogent-ils.

Sans oublier d’évoquer la perte de valeur pour l’immobilier aux alentours. Et d’ajouter que Saint-Juery ne se trouve pas dans une zone blanche et qu’il n’y a par conséquent pas d’urgence.

Élus et riverains prêts à passer au niveau supérieur

“Nous avons appris le projet par hasard. Il date de deux ou trois mois”, déplorent en outre les opposants qui se cantonnent pour l’instant à une tractation et une pétition. “On demande un moratoire. S’il n’y a pas de réponse, on passera au niveau supérieur”, indiquent-t-ils. Même son de cloche du côté de la mairie qui manifeste son intention de ne pas en rester là si le projet gardait le même cap.

Source : La Dépêche

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Free Mobile modifie son forfait “Série Free” une dernière fois cette année

Dès aujourd’hui et jusqu’au 5 janvier prochain, Free Mobile propose son offre “Série Free” avec 80 Go de data en France métropolitaine et 8 Go depuis l’étranger, le tout à 12,99€/mois pendant 1 an. L’opérateur diminue la data en roaming  sans baisser le prix.

L’opérateur continue de faire du yoyo avec son offre intermédiaire. Pas une semaine sans une légère modification de son forfait en matière de données incluses ou de prix.

Cette fois, le trublion propose 80 Go de data en France métropolitaine à 12,99€/mois pendant 12 mois comme la semaine dernière à la seule différence qu’il baisse cette fois de 2 Go l’enveloppe de data depuis l’étranger, celle-ci passe à 8 Go.

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le nouveau Forfait Free 5G 150 Go à 19,99 euros par mois.

A titre de comparaison, Red by SFR propose actuellement un forfait 4G 80 Go à 15€/mois. Sosh, la marque d’Orange, tente de séduire avec une série limitée 80 Go à 15,99 euros par mois. Enfin, Bouygues Telecom affiche un forfait 80 Go à 14,99 euros par mois. 

 

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L’Arcep met en demeure Free Mobile, très en retard sur tous les plans dans les Antilles et en Guyane

Largement en retard sur ses objectifs de déploiement et n’ayant toujours pas lancé ses offres en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, Free Caraïbe est mis en demeure par le régulateur de respecter ses obligations d’ici le 31 décembre 2021.

Trop de manquements. Trois ans après l’attribution à Free Caraïbe de son autorisation d’utilisation de fréquences dans les Antilles et en Guyane, l’opérateur accuse un fort retard en matière de déploiement. Ses offres commerciales sont par conséquent toujours aux abonnées absentes. Le temps passe et l’Arcep veut s’assurer que l’opérateur engage les moyens nécessaires pour fournir de l’internet mobile à une population dans l’attente.

On le sait, Free Mobile n’utilisera pas ses antennes initialement prévues dans les Antilles et en Guyane. Depuis le 1er novembre, les sites mobiles de l’opérateur ont tous été annulés. La raison est purement stratégique : ”selon les explications de l’opérateur, Digicel et Free Caraïbe ont signé, le 3 février 2020, un contrat en vue de la mutualisation de leurs réseaux mobiles en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à Saint-Barthélémy et à Saint-Martin. Ce contrat notifié à l’Arcep est en cours d’examen par l’Autorité. L’objectif poursuivi par les deux opérateurs au travers de ce partenariat est notamment d’investir conjointement pour accroître significativement le nombre de sites mobiles afin d’augmenter la couverture et les débits”, nous a fait savoir le mois dernier l’ANFR. Les configurations ayant obtenu un accord ne sont donc plus pertinentes au regard des perspectives de mise en œuvre du contrat de mutualisation.

 

Free Mobile doit respecter ses obligations de 2018 d’ici décembre 2021

 

Reste que son réseau est aujourd’hui inexistant. “La mise en œuvre opérationnelle de l’accord, qui devait débuter fin 2020, a été retardée par la crise sanitaire. Le déploiement des fréquences et sites de Free Caraïbe n’a pas commencé. Nous n’avons pas lancé commercialement nos offres de détail», a notifié en octobre dernier l’opérateur de Xavier Niel, révèle l’Arcep. Pire encore, aucun calendrier n’est aujourd’hui avancé.

En réaction, la police des télécoms a mis en demeure, dans une décision du 9 décembre, “la société Free Caraïbe de respecter au plus tard le 31 décembre 2021 les obligations de déploiement prévues en fournissant un accès téléphonique et un accès mobile à très haut débit” à un certain pourcentage de la population, soit 50% en Guadeloupe, 30% en Guyane, 50% en Martinique, 75% à Saint-Barthélemy et Saint-Martin. Des obligations que Free s’était tenu de respecter au 22 novembre 2018.

 

Déjà un premier avenant à l’accord de mutualisation 

 

Digicel et Free Caraïbe ont notifié à l’Arcep le 17 décembre un avenant à leur contrat de partage de réseaux mobiles dans les Antilles et en Guyane. Celui-ci introduit les précisions suivantes au contrat :

  • il prévoit que la phase transitoire d’accueil de Free Caraïbe sur les fréquences de Digicel (phase d’« itinérance »), qui prendra fin progressivement par territoire avec la mise en œuvre de la solution de RAN-Sharing, s’achèvera dans un délai maximal de deux ans à compter du lancement de cette phase. L’avenant prévoit cependant qu’en cas de difficultés techniques dans la mise en œuvre du RAN-sharing, rapportées et justifiées par Madiacom (société commune créée en mars) aux deux parties, celles-ci pourront étendre, par un avenant au contrat, ce délai d’une année supplémentaire au maximum.

  • il précise le périmètre géographique du partage croisé des fréquences 800 MHz et 900 MHz entre les deux opérateurs : ils partageront les bandes 800 MHz et 900 MHz en Martinique et Guadeloupe, et uniquement la bande 800 MHz en Guyane. Saint-Barthélemy et Saint Martin ne sont pas concernées par ce partage croisé de fréquences basses.

  • il renforce les projets d’investissement des parties pour améliorer la couverture mobile le long de la RN2 en Guyane, sous réserve de faisabilité technique.

L’Arcep poursuit l’examen de l’accord en tenant compte de ces nouvelles informations. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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