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le site de TELCO OI (Iliad/Axian) fait peau neuve

L’opérateur de Xavier Niel et de Hassanein Hiridjee a lancé une nouvelle version de son site web dédié à l’operateur Réunionnais.

Après avoir fait peau neuve sur ses forfaits mobiles avec engagement, l’opérateur Réunionnais lance un nouveau site internet. Exit le site only.fr et sa couleur rose et bonjour telco.re et sa teinte bleue.  Sur telco.re il sera possible d’en connaître un peu plus sur l’opérateur, ses ambitions ainsi que ses valeurs sur l’accessibilité de ses offres, la croissance de son réseau qui s’améliore au fil des mois et de ses envies d’innovation.

Pour les abonnés TELCO OI il sera également possible d’accéder à leurs espaces client afin de consulter et régulariser leurs factures. Il est également possible d’obtenir la configuration des APN afin de configurer les MMS et l’internet mobile.

Le site propose également une carte afin de consulter la couverture réseau de l’opérateur, mais malheureusement, la carte ne donne pas beaucoup de détail, que cela soit sur la couverture par technologie (2G,3G,4G) ou encore la date des données.

 

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Clin d’oeil : Xavier Niel aurait pu sortir un album, mais non, il a sorti la 5G chez Free et tant mieux

Le papa de Free aurait pu envisager une carrière musicale… Ou presque.

Xavier Niel mouille la chemise et fait chauffer les cordes vocales pour promouvoir la 5G de Free Mobile. Après s’être fait arroser de théories du complot fumeuses, Free nous montre à quoi les abonnés ont réchappé… Un album musical !

Libre à chacun d’apprécier cette reprise de Claude François à la sauce Xavier Niel, mais il y a fort à parier que vous préférez ses forfaits 5G. D’ailleurs si le clip remporte un franc succès, le trublion de télécoms fait une promesse sur son compte Twitter officiel : poster le morceau sur toutes les plates-formes de streaming ! Chiche ?

A combien de likes l’album entier de reprises ?

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Totalement fibrés : Free sort le grand jeu sur la 5G, mais les opérateurs ne sont pas tous transparents, la Freebox Pop trop favorisée ? etc.

Nouveau numéro de « Totalement Fibrés »,  notre magazine YouTube hebdomadaire, réalisé dans les conditions du direct, sans montage et diffusé immédiatement (le temps d’uploader), afin d’être au plus proche de l’actualité. 

Pour cette nouvelle émission de la rentrée, nous traitons bien sûr de la grosse actualité de cette semaine, à savoir le lancement de la 5G par Free Mobile, avec des bonnes surprises.. D’autres bonnes surprises ont été offerte à certains abonnés Freebox, en particulier la Freebox. Est-elle devenue la box privilégiée de Free, c’est le sujet de notre débat  . Et bien sur nous abordons toute l’actualité de Free et de télécoms, et vous proposons nos rubriques habituelles : le up and down, l’instant test, etc.

Pour ne rater aucune de nos vidéo vous pouvez vous abonner à la chaîne YouTube d’Univers Freebox

 

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Interview Univers Freebox : stratégie de Free et ses rivaux, autorisations, l’ANFR fait le point sur la 5G

Sur fond de lancement de lancement de la 5G en France, Gilles Brégant, directeur général de l’ANFR, a répondu aux questions d’Univers Freebox. Le gendarme des ondes en France revient notamment sur les autorisations délivrées aux opérateurs, la stratégie de Free dans la 5G, les craintes autour de cette nouvelle technologie et l’évolution des mesures du DAS sur les smartphones.

(Univers Freebox ) : En plein lancement de la 5G en France, l’ANFR doit délivrer de nombreuses autorisations à Orange, Free, Bouygues et SFR. Au 27 novembre, 15 901 sites 5G ont été autorisés. Comment est absorbé cet afflux de demandes, en parallèle de celui pour la 4G, pour ne pas allonger les délais de délivrance et permettre aux opérateurs de déployer rapidement leurs réseaux ?

Gilles Brégant : Les échanges engagés avec les opérateurs ont permis de distinguer rapidement deux cas : les nouveaux systèmes (nouvelles fréquences, modifications d’antennes, etc.) ou les mises à jour d’émetteurs existants.

Les nouveaux systèmes sont surtout apparus après l’attribution aux opérateurs des fréquences de la bande 3,5 GHz en novembre. Le flux des demandes hebdomadaires reçues et traitées par l’ANFR a cru d’environ 25 %. Malgré cette augmentation significative, le délai de traitement classique des demandes, qui est de 4 à 5 semaines, n’a pas été modifié. Ceci a été possible grâce à un processus d’autorisation bien rôdé, à des outils informatiques robustes et aux échanges d’information rapides avec les parties prenantes (affectataires concernés et opérateurs).

Les mises à jour, quant à elles, concernent l’introduction de la 5G dans les bandes basses (700 MHz et 2100 MHz) sans modification des paramètres de diffusion (même site, même puissance, mêmes fréquences). En identifiant bien ces cas dans le flux des autorisations, ces demandes 5G « simples », bien que très nombreuses, ont pu être traitées plus facilement par toutes les parties prenantes.

Ces demandes concernent d’ailleurs plusieurs bandes de fréquences (700, 2 100 et 3 500 MHz), certaines offrant plus de couverture et d’autres davantage de débit. Les opérateurs devront d’ailleurs être transparents à ce sujet pour éviter les déceptions côté abonnés. Pouvez-vous donner des ordres d’idée concernant les avantages/inconvénients de chacune ?

La bande 700 MHz est la bande la plus basse utilisée par les réseaux mobiles. Elle est particulièrement intéressante pour sa portée et nécessite donc moins de sites d’émission pour couvrir une zone. Elle a aussi l’avantage de bien pénétrer dans les bâtiments. En revanche, sa capacité en débit restera limitée avec des tailles de blocs de fréquences ne dépassant pas 10 MHz dans chaque sens.

La bande 2100 MHz, plus élevée dans le spectre, offre un débit légèrement plus favorable pour les opérateurs qui ont obtenu des blocs allant jusqu’à près de 20 MHz. Néanmoins, la portée et la pénétration dans les bâtiments est moins favorable que la bande 700 MHz.

Enfin, la nouvelle bande 3,5 GHz va permettre d’augmenter sensiblement les débits disponibles, avec des blocs de fréquences beaucoup plus larges (70 à 90 MHz, bidirectionnels). En revanche, comme on monte encore dans le spectre, la portée de ces fréquences est un peu plus faible, de même pour la pénétration indoor. C’est pour cela qu’elles seront exploitées avec des antennes actives, qui permettent, en focalisant mieux l’émission, de reconstituer une couverture comparable à celle de la gamme pivot pour les réseaux mobiles (1800 MHz).

Avec déjà 11 770 autorisations obtenues pour la bande 700 MHz, Free compte utiliser massivement celle-ci pour déployer sa 5G. Est-ce un choix judicieux à l’heure du débat “vraie/fausse 5G” ?

C’est une stratégie de lancement d’opérateur, mais le déploiement de la 5G se fera sur plusieurs années. Il faudrait en savoir plus pour pouvoir l’analyser. En tout état de cause, aucun opérateur ne déploiera dans une seule bande de fréquences. Ils utiliseront plusieurs bandes aux propriétés différentes, qui leur permettront d’optimiser leurs réseaux en fonction des caractéristiques de la zone à couvrir. Par ailleurs, il faut garder à l’esprit que les téléphones portables compatibles 5G peuvent utiliser ces différentes bandes de fréquences simultanément, selon les besoins en débit et l’état de la couverture dans une bande donnée à un endroit donné : dans une zone où un opérateur dispose de 5G dans plusieurs bandes, l’agrégation de celles-ci permettra d’offrir à l’utilisateur des débits améliorés.

Plusieurs municipalités freinent des quatre pieds pour le déploiement de la 5G sur fond de craintes sanitaires et environnementales, réclamant de ce fait un moratoire. Quel est votre avis sur la situation ?

La 5G est une technologie plus moderne, qui améliore des limitations identifiées au fil de l’exploitation des technologies antérieures : d’un point de vue technique, elle n’apporte que des avantages. Mais comme toute nouvelle technologie, elle suscite des interrogations sur son utilité, dans un contexte où les évolutions technologiques vont de plus en plus vite et où le numérique prend une part de plus en plus importante dans nos vies. Plutôt qu’un moratoire, un débat public et de la pédagogie sur ce qu’est vraiment la 5G peuvent favoriser une approche constructive sur ce que cette nouvelle technologie peut apporter à la société. Ce sont les usages que la société en fera qu’il faut étudier : beaucoup des évolutions d’usage que l’on présente comme propres à la 5G sont en réalité parfois déjà possibles, voire présents avec la 4G. Dans le cadre de ces débats publics, l’ANFR intervient à la demande des municipalités pour apporter des éléments objectifs, notamment sur les aspects liés au contrôle de l’exposition aux ondes et au fonctionnement du réseau 5G.

Un rapport de l’Anses sur les risques sanitaires liés à la 5G est attendu au premier trimestre 2021. Pourtant, cela n’a pas empêché le lancement de la 5G. Que pourriez-vous dire aux plus inquiets concernant l’exposition aux ondes ?

Tout d’abord, il faut garder à l’esprit que l’Anses publie régulièrement une étude par an en moyenne sur l’exposition du public, depuis plusieurs années. Il est logique qu’elle en ait publié une en 2020 sur la 5G, qui était apparue lors des premiers tests de terrain, et qu’elle poursuive en 2021. Il est même vraisemblable qu’elle approfondisse les années suivantes, au fil du déploiement de la 5G. Ces études de l’Anses montrent que la vigilance de notre agence sanitaire nationale s’exerce régulièrement sur l’exposition du public, et c’est au contraire plutôt rassurant.

Actuellement, la 5G est déployée par les opérateurs sur 2 types de bandes de fréquences : les bandes dites « basses » qui sont déjà utilisées pour les technologies 2G/3G et 4G, et la nouvelle bande 3,5 GHz.

Sur les bandes basses, de nombreuses études concernant les effets sanitaires liés aux ondes ont été menées depuis plusieurs dizaines d’années et l’Anses n’a pas identifié de risque avéré lié à ces ondes dès lors que les limites d’exposition sont respectées, ce qui est largement le cas en France.

La nouvelle bande 3,5 GHz est quant à elle déjà utilisée dans certaines zones en France pour l’accès à l’internet fixe ; elle est également très proche des bandes déjà utilisées depuis plusieurs années par les réseaux 4G (2,6 GHz) et les réseaux Wi-Fi (2,45 GHz et 5 GHz) : il n’y a pas véritablement d’inconnue et les études faites sur ces bandes de fréquences vont être précisées pour la bande 3,5 GHz.

En complément, l’ANFR va augmenter sensiblement, à la demande du ministre Cédric O, ses contrôles en matière d’exposition du public aux ondes avec le déploiement de la 5G. Elle le fera pour ce qui concerne l’exposition liée aux antennes 5G avec 10 000 mesures prévues en 2021, mais également pour ce qui concerne l’exposition générée par les nouveaux téléphones portables 5G, avec un doublement des contrôles en 2021 par rapport à 2019. Ces informations seront bien entendu comme toujours transmises à l’Anses, pour nourrir son évaluation scientifique.

Plus que les antennes, ce sont les smartphones que l’on porte à proximité de son corps qui exposent le plus aux ondes. Toutes les mesures que nous faisons sont totalement transparentes et sont disponibles sur notre site auprès du public.

Des capteurs autonomes ont été déployés dans trois grandes villes (Nantes, Marseille et Paris), afin de suivre l’évolution de l’exposition aux ondes, avec une carte en ligne pour consulter les historiques de mesures. Doit-on s’attendre à un déploiement massif en 2021 sur fond de craintes autour de la 5G, dans le but de répondre à certaines inquiétudes ?

L’ANFR déploie sur quelques grandes villes des capteurs fixes qui permettent de recueillir en temps réel le niveau d’exposition global à proximité d’une antenne 5G. Au départ, il s’agissait d’une démarche de l’ANFR, pour améliorer sa capacité de prédiction de l’exposition : le champ dû à la 5G en bande 3,5 GHz dépend en effet du nombre de téléphones capables de l’utiliser, et ce parc mettra plusieurs mois à se constituer. Il n’est donc pas possible, contrairement à ce qui se passe avec la 4G, d’avoir le niveau d’exposition dès l’allumage de l’antenne : en 5G, il faut de nombreux téléphones autour pour qu’elle atteigne son niveau de référence. L’objectif est donc de mieux comprendre l’impact du déploiement de la nouvelle bande 5G sur l’exposition globale. Mais c’est aussi un dispositif supplémentaire de surveillance et de transparence, qui peut s’avérer utile pour les collectivités. Celles-ci peuvent d’ailleurs compléter ce dispositif si elles veulent disposer d’un plus grand nombre de capteurs couvrant leur territoire.

Précédemment, vous nous aviez dit que la mesure du DAS sur les smartphones devait évoluer avec la 5G. Vous avez d’ailleurs acquis un banc d’essai pour affiner les protocoles de mesure. Pouvez-vous nous en dire plus ?

L’ANFR va recevoir le nouveau banc de mesures dans les prochains jours. Il s’agira de faire des études sur les téléphones en général pour augmenter l’expertise de l’ANFR, qui est en pratique quasiment la seule administration en Europe à réaliser des mesures de DAS régulières sur des téléphones. Avec la 5G dans la bande millimétrique, les mesures de DAS vont évoluer car, les ondes pénétrant moins dans le corps, on ne fera plus de mesure en volume avec le DAS (W/kg), mais en surface, en mesurant la densité de puissance (W/m2). Ce banc de mesures permettra aussi d’analyser l’effet sur l’exposition des nouvelles fonctions des téléphones 5G, comme l’utilisation simultanée de plusieurs fréquences.

Comment est d’ailleurs intégrée une potentielle marge d’erreur lors des mesures pour être sûr certain que l’appareil se retrouve bien dans les clous ?

Les mesures sont réalisées par des laboratoires accrédités. Tous les appareils critiques sont notamment étalonnés, ce qui signifie qu’il y a une comparaison des résultats des mesures de l’appareil avec ceux issus d’étalons reconnus scientifiquement au niveau international.

Toujours en parlant de DAS, des smartphones sont épinglés pour non-respect des seuils en vigueur. Certains sont retirés du marché, mais la plupart font l’objet d’une mise à jour logicielle déployée par le constructeur pour abaisser la puissance d’émission. Comment cela se répercute-t-il concrètement sur la qualité de réception de l’appareil ? N’est-ce finalement pas double peine pour l’utilisateur avec un appareil se retrouvant à capter moins qu’initialement ?

Une baisse de la valeur du DAS pour un téléphone ne signifie pas en principe une baisse de la qualité de réception du signal. En effet, le correctif peut baisser la puissance maximale du signal en émission, mais il peut également mieux en gérer le rayonnement en tirant parti de ses différentes antennes. Il faut aussi garder à l’esprit que, la plupart du temps, le smartphone ne fonctionne pas à son DAS maximum : le fait que cette valeur maximale revienne dans les limites de la norme n’a donc pas en principe d’impact pour la grande majorité des usages.

À l’heure où l’on pousse le reconditionnement des smartphones, comptez-vous également vous pencher sur d’anciens modèles plus ou moins populaires qui n’auraient pas déjà été testés et qui seraient passés sous les radars ?

Les contrôles de surveillance du marché ne peuvent, conformément à la réglementation, être réalisés que dans le cadre de la première mise sur le marché d’un équipement. Les téléphones reconditionnés s’apparentent à des téléphones d’occasion et ne peuvent donc plus être contrôlés par l’ANFR

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Choc des smartphones à 179 euros proposés par Free : Xiaomi Redmi Note 9 ou Oppo A53s ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 179 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous opposons les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A53s, tous les deux proposés à 179 euros, grâce à des baisses de prix. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi

Les deux smartphones proposent la même diagonale et le poinçon pour le capteur photo frontal. Si le modèle Oppo profite de l’affichage en 90 Hz, il se contente de la définition HD+. Le Xiaomi se montre donc plus intéressant, car affichant la définition FHD+.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, IPS, FHD+ et poinçon)
  2. Oppo A53s (6,5 pouces, iPS, HD+, 90 Hz et poinçon)

Performance en multimédia :  Xiaomi

Xiaomi embarque un chipset plus récent et laissant envisager du jeu mobile (avec évidemment des concessions en termes de réglages graphiques). Le Redmi Note 9 gagne donc cette manche.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset MediaTek Helio G85 avec 3 Go de RAM)
  2. Oppo A53s (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Qualcomm Snapdragon 460 avec 4 Go de RAM)

La photo : Xiaomi

Avec un capteur photo principal plus performant et un capteur secondaire pour l’ultra grand-angle, le Xiaomi en promet davantage. Pour le reste, on parle de modules 2 Mégapixels, surtout là pour gonfler la fiche technique.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 13 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo A53s (13/2/2 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Même capacité de batterie et même capacité de charge pour les deux smartphones. Xiaomi remporte la manche en fournissant un chargeur un peu plus puissant que nécessaire, ce qui peut toujours servir pour d’autres appareils.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (batterie 5 020 mAh et charge 18 Watts, mais chargeur 22,5 Watts dans la boîte)
  2. Oppo A53s (batterie 5 000 mAh et charge 18 Watts)

Le choix d’Univers Freebox : le Xiaomi Redmi Note 9

Au premier abord, les deux smartphones semblent se valoir : diagonale d’environ 6,5 pouces, processeur octa-core, multiples capteurs photo, batterie d’environ 5 000 mAh et charge 18 Watts. Ils se démarquent dans les détails, des détails qui permettent à Xiaomi de remporter la manche en affichant un écran mieux défini, un peu plus de performances en multimédia et une partie photo plus étoffée. Vous pouvez d’ailleurs retrouver notre test du Redmi Note 9.


 

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Free Mobile lance déjà une promo sur un smartphone 5G arrivé récemment

Un nouveau smartphone 5G passe sous la barre des 300€ pour quelques temps dans la boutique Free Mobile

Suite à la mise à jour de la boutique Free Mobile, une nouvelle promotion est apparue. Elle concerne le Xiaomi Mi 10T Lite Gris 128Go, un smartphone 5G qui a fait son apparition il y a 15 jours chez l’opérateur. La remise est de 30€ ce qui porte le tarif de 329€ à 299€ en paiement comptant. La promotion s’applique également sur le paiement en 4 fois sans frais  : 77€ puis 74€durant 3 mois mais aussi sur le paiement en 24 mensualités sans frais 107€ puis 8€ durant 24 mois 

 

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5G : qu’est-ce que la fameuse technologie DSS utilisée par Free, Orange, SFR et Bouygues ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de la technologie DSS.

Vous avez peut-être déjà entendu parler de la technologie DSS pour “Dynamic Spectrum Sharing”, ou “Partage Dynamique du Spectre” dans la langue de Molière. Mais à quoi sert-elle ?

“Les réseaux mobiles se sont construits par une incrémentation d’étapes technologiques (2G/3G/4G et maintenant 5G). Pour des questions de normalisation industrielle, à une nouvelle technologie est associée une nouvelle gamme de fréquences. Ainsi, les bandes 700, 800 et 2600 ont été ouvertes pour la 4G. Mais une technologie n’est en réalité pas en soi liée à une bande spectrale. Ainsi, la 3G a occupé très vite une partie de la bande DCS1800 (GSM) et maintenant de la bande GSM 900. Mais les allocations restent fixes, ou encore, dans le jargon, statiques”, rappelle un expert en télécoms.

Le DSS permet, comme son nom l’indique, de partager dynamiquement les fréquences. Pour les opérateurs, il s’agit comme avant de faire cohabiter plusieurs technologies sur une même bande de fréquence, mais cette fois de façon souple, “l’utilisation du spectre par une technologie donnée dépendant des utilisateurs présents, pas d’un paramétrage fait a priori”, explique le spécialiste. Concrètement, ils peuvent utiliser simultanément une partie du spectre en 4G et une autre partie en 5G. Et ce, sans changer de matériel au niveau des antennes, “qui ne dépend (sauf en 5G pour utiliser la fonction Massive MIMO) que de la bande fréquence et pas des fonctions radio”, indique-t-il. L’ajout de cette fonction se fait au niveau des sites par le biais d’une mise à jour logicielle déployée par les équipementiers comme Ericsson ou Nokia. “Ceci suppose néanmoins que le site soit déjà équipé de modules de traitement électroniques appropriés, capables de réaliser le Software Defined Radio (SDR). Cette capacité de traitement existe déjà sur beaucoup de sites de Free et des autres opérateurs”, souligne l’expert.

Avantage double pour les opérateurs

Voilà donc pourquoi Orange, Free, Bouygues Telecom ou SFR peuvent proposer de la 5G sur d’autres fréquences que la 3,5 GHz pour laquelle ils ont récemment obtenu du spectre lors d’enchères, mais aussi sur des fréquences déjà exploitées pour les réseaux 4G. Free a ainsi largement déployé sa 5G sur la bande 700 MHz pour améliorer sa couverture, tout en misant sur la 3,5 GHz qui assurera quant à elle de bien meilleurs débits grâce au Massive MIMO.

L’avantage du DSS à l’heure de la 5G pour les telcos est double : un déploiement beaucoup plus rapide et moins coûteux des réseaux dans un secteur concurrentiel où les investissements sont particulièrement lourds, d’autant que dans beaucoup de zones peu denses les antennes sont loin d’être saturées. Dans le cas de Free, l’opérateur peut ainsi se targuer de couvrir près de 40 % de la population en 5G en France.

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Découvrez la répartition des antennes mobiles Free 3G/4G sur Chambéry en Savoie

Aujourd’hui grâce aux données du site antennesmobiles.fr, Univers Freebox vous propose de découvrir la carte des antennes mobiles Free de la ville de Chambéry.

Carte des antennes mobiles Free 4G

Free a implanté 13 antennes mobiles 4G dans la ville de Chambéry (antennes non-actives incluses).

Ces dernières sont réparties de la manière suivante :

– 700 MHz : 13 antennes

– 1800 MHz : 13 antennes

– 2600 MHz : 13 antennes

Cartes des antennes mobiles Free 3G

Free a également implanté 13 antennes mobiles 3G dans la ville de Chambéry (antennes non-actives incluses).

Nous rappelons qu’un même pylône permet l’installation de plusieurs antennes et donc permet de diffuser plusieurs fréquences simultanément.

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Free annonce ne pas atteindre encore le 1 Gb/s en 5G mais n’a pas encore dévoilé toutes ses cartes

Maxime Lombardini, vice-président de la maison-mère de Free défend à son tour la stratégie de l’opérateur sur la 5G à l’heure où ses rivaux ne l’épargnent pas. La 5G en 700 MHz apporte une amélioration selon lui. 

Une 5G sans surcoût et une couverture de 40% de la population à l’allumage grâce à l’utilisation de la bande 700 MHz, il faut l’avouer, Free ne fait rien comme ses rivaux. Une stratégie largement décriée par une concurrence prise quelque peu en flagrant délit d’hypocrisie puisqu’elle-même utilise des fréquences 4G en 5G. Pas question de parler de fausse 5G pour l’opérateur de Xavier Niel soutenu ce sur point par l’ANFR,  “Il n’y a pas une bonne 5G en 3,5 GHz et une mauvaise 5G en 700 MHz”, a martelé hier à ce propos Maxime Lombardini, vice-président d’Iliad dans les lignes de Degrouptest.

L’objectif affiché, dans un premier temps, est de fournir de la portée dans les zones moins denses avec la bande dite en or et du débit dans les grandes villes avec la bande coeur de la 5G, 3,5 GHz. Sur celle-ci, Free se classe second derrière Orange en matière de déploiement avec 221 sites activés selon le 1er observatoire de l’Arcep. Un bon départ mais  le trublion ne compte pas s’arrêter là, même s’il doit composer avec les villes : ” Nous avons beaucoup de sites 3,5 GHz qui sont prêts, mais nous n’avons pas encore obtenu beaucoup d’autorisations. Cela suppose que soient instruits les Dossiers d’information mairie (DIM). Et en général les villes se sont engagées à ne pas accorder d’autorisations avant d’avoir terminé les concertations citoyennes” a fait savoir Maxime Lombardini qui comme Orange, ne souhaite pas passer en force.

Si ces concurrents sont présents dans certaines grandes villes mais pas lui, c’est grâce aux autorisations obtenues lors de la phase d’expérimentation dans certaines secteurs urbains, explique l’opérateur. De toute manière, “Nous sommes dans une phase très préliminaire. Ce que l’on a pu allumer pour le moment n’est pas significatif d’une stratégie, ou de ce que ça va être dans un an ou 18 mois” poursuit-il.

Le Gigabit/s pas encore chez Free Mobile

Côté débit, Free l’avoue , il est pour le moment légèrement en retrait par rapport certains rivaux, même sur la bande 3,5 GHz. “c’est vrai que l’on n’atteint pas encore le 1 Gb/s que l’on aura avec nos 70 MHz (de largeur de bande en 3,5 GHz, ndlr)”, concède Maxime Lombardini.

Sur la bande 700 MHz, l’opérateur tient à mettre les points sur les i, en réponse à ses détracteurs. D’un point de vue utilisateur, il y a une amélioration lorsque l’on passe de 4G en 5G 700 MHz. Même l’Agence nationale des fréquences le dit. “Quels sont ces avantages ? Une excellente stabilité, ainsi qu’une bande passante qui va être pratiquement dédiée à l’abonné connecté, parce qu’il y en a quand même assez peu qui sont équipés d’un smartphone 5G”.

Utiliser d’autres fréquences à l’avenir

D’ailleurs Free ne compte pas s’arrêter là et prévoit d’utiliser d’autres bandes de fréquences. “Il s’agit seulement d’un amorçage, et notre projet n’est pas de nous arrêter au 700”. En Juillet dernier, Xavier Niel nous a révélé ne pas exclure d’utiliser la bande 1800 MHz sur la 5G. On pense aussi à la bande 2100 MHz utilisée par Orange, SFR et Bouygues Telecom. L’opérateur bénéficiera  à compter de 2021, d’une extension de son spectre  2.1 GHz (+9,8 MHz symétrique). Il a donc encore plusieurs cartes à jouer. Sa stratégie  de combiner la 3,5 GHz avec des fréquences basses  pour améliorer la pénétration dans les bâtiments. Car avoir la 5G dans son canapé, c’est stylé.

 

 

 

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Un nouveau téléphone à tout petit prix débarque chez Free Mobile

Un nouveau téléphone à prix mini

Free vient d’ajouter un nouveau téléphone dans sa boutique en ligne. Il s’agit de Alcatel 3080G, qui est donc le moins cher proposé par l’opérateur puisqu’il affiche un tarif de 39€. Pour ce prix il ne faut pas s’attendre à une bête de course, mais il s’agit tout de même d’un téléphone 4G.

Caractéristiques techniques de Alcatel 3080G

 > GÉNÉRAL
Dimensions (1) 125,2 x 50,5 x 12,9 mm
Poids 90 g
Système d’exploitation Propriétaire
Processeur UMS 9117
Port carte 1 Nano SIM
Port carte 2 Micro SD
DAS Membres 3,31 W/Kg
DAS Tronc 1,66 W/Kg
DAS Tête (2) 1,48 W/Kg
Garantie commerciale (3) 24 mois
 > RÉSEAUX ET CONNECTIVITÉ
Bluetooth Bluetooth 5.0
Catégorie LTE Catégorie 4
Bandes 4G FDD 1 – 2100 Mhz, 3 – 1800 Mhz +, 7 – 2600 Mhz, 8 – 900 Mhz, 20 – 800 Mhz, 28 – 700 Mhz
Bandes 3G 8 – 900 Mhz, 1 – 2100 Mhz
Bandes 2G 8 – 900 Mhz, 3 – 1800 Mhz
Type de connecteur USB B
NFC Non
QAM256 Non
Mimo Non
 > BATTERIE ET AUTONOMIE
Capacité batterie 1530 mAh
Batterie amovible Oui
Autonomie en conversation Jusqu’à 15 heures
Autonomie en veille Jusqu’à 300 heures
 > ÉCRAN
Type LCD
Taille 2,4”
Résolution 320 x 240 pixels
Autres 167 PPI
 > MULTIMÉDIA – PHOTO
Caméra principale 1 Mpx
Fonctions caméra principale Flash
 > FONCTIONNALITÉS
– Alarme
– Calculatrice
– Calendrier
– Editeur/visualiseur de documents
– Horloge
– SMS/MMS
– Lampe
– Enregistreur vocal
 > MULTIMÉDIA – MUSIQUE
Prise Jack 3.5mm Oui
 > MULTIMÉDIA – VIDÉO
Résolution 176×144@30fps
 > MÉMOIRE
Extension (4) Jusqu’à 32 Go
 > LIVRÉ AVEC
Objet inclu 1 Objet inclu 2 Objet inclu 3 Objet inclu 4 Objet inclu 5 Objet inclu 6
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