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Des riverains opposés à l’arrivée d’une antenne Free, moins discrète qu’une autre déjà en place

Opposition de riverains face à une antenne-relais Free installée sur le clocher d’une église. Esthétiquement, ça ne passe pas du tout à leurs yeux.

“Qu’est-ce que ces trucs affreux qu’on installe ?”, s’interroge un habitant de Clairmarais, dans le département du Pas-de-Calais, en parlant de coffrages blancs installés par des ouvriers sur le clocher de l’église Saint-Bernard.

Des coffrages qui auront été repeints de la même couleur brique que l’édifice pour un meilleur camouflage et qui serviront en fait à cacher l’installation d’une antenne-relais de Free validée par la municipalité en février 2019.

Face à la polémique tournant autour de l’esthétique, mais également des risques sanitaires, le maire Damien Morel a expliqué l’arrivée de cette antenne sans consultation par le fait qu’une antenne SFR installée à l’intérieur depuis une dizaine d’années était plus discrète et avait ainsi reçu l’avis favorable de la population. Voilà pourquoi il n’y a pas eu de nouvelle consultation.

Le maire a toutefois souligné que “le rendu est différent de celui présenté aux élus au départ” et ne lui donne pas satisfaction. Il dit avoir “déjà pris contact avec Free pour rectifier le tir”. Et d’ajouter : “Après avoir mené des travaux en 2014 pour retrouver une belle église, on veut une intégration soignée”.

Source : La Voix du Nord

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Free Mobile baisse la data incluse dans son forfait “Série Free”

Retour à la normale pour le forfait “Série Free” après trois semaines à 60 Go.

L’augmentation de 10 Go fin de l’enveloppe de data incluse dans l’offre “Série Free” appliquée depuis le 29 avril, prend fin. Free Mobile revient aujourd’hui à sa formule habituelle comprenant 50 Go en France métropolitaine à 9,99€/mois pendant un an, sans date de validité pour les nouvelles souscriptions. 

Le reste du contenu de cette offre sans engagement ne change pas. Intercalée entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, celle-ci comprend également appels, SMS et MMS illimités, mais aussi 4 Go/mois en roaming depuis Europe et DOM en 3G et 4G. A l’issue des 12 mois, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free classique 100 Go à 19,99€/mois ou data illimitée à 15,99€/mois pour les abonnés Freebox.

Jusqu’au 11 juin, le débit au-delà de l’enveloppe de data incluse dans ce forfait reste à 1 Mbit/s au lieu de 128 Kbit/s, soit un débit 8 fois supérieur. 

 

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Grogne chez les abonnés à 2€, Free Mobile corrige le tire et supprime les hors-forfaits

Après avoir corrigé un bug occasionnant un hors-forfait chez des abonnés au forfait à 2€, Free fait un geste en effaçant l’ardoise de la surconsommation de data.

Il y a quelques semaines, Free Mobile en geste de solidarité face au Covid-19, a boosté l’enveloppe data de son forfait à 2€ (0€ pour les abonnés Freebox) à 1Go jusqu’au 11 mai 2020 inclus avant de marquer un retour à 50 Mo lors de l’intégration temporaire des appels illimités.

Seul hic, l’espace abonné a alors rencontré un bug, le volume de données disponible était toujours de 1Go. Le problème a rapidement été corrigé par Free Mobile, mais malheureusement le mal était déjà fait pour certains abonnés accusant alors un hors-forfait plus ou moins conséquent. Il faut de dire que le Mo est facturé 0,05€ sur ce forfait une fois le fair-use dépassé en France métropolitaine.

Après plusieurs jours de contestation sur les réseaux sociaux, Free Mobile réagit aujourd’hui en supprimant le hors-forfait data des abonnés concernés, en atteste le suivi conso de certains clients. L’histoire se finit bien.

 

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Le saviez-vous ? Free Mobile permet le paiement sur facture des achats Google Play

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Vous ne le saviez peut être pas, mais Free permet le paiement des achats de Google Play sur votre facture mobile.

Ainsi, lors d’un achat d’application sur le Google Play, en plus des moyens de paiement habituels (par CB, Paypal ou code), on trouve le paiement sur facture Free. Cette  fonction permet de voir son achat reporté sur la facture mobile mensuelle, et évite ainsi d’avoir à utiliser sa CB ou son compte PayPal sur son téléphone.
 
  

Pour bénéficier de ce service, il suffit d’activer l’option dans l’interface abonné Free Mobile. Une fois connecté à l’Espace Abonné, il suffit de se rendre dans les Options, puis activer “Google Play – Paiement sur facture”. Un plafond d’achat de 30 euros est mis place, prévenant toute erreur de manipulation qui aurait pu être onéreuse.

Après l’achat, le reçu envoyé par Google porte la mention Free.
 
 
 
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Free Mobile : de plus en plus de MVNO imitent ses ventes privées

Avec ses ventes privées, Free Mobile offre un smartphone en contrepartie d’un engagement de 24 mois. Visiblement, l’idée plait chez les concurrents.

Free lance régulièrement des ventes privées sur Veepee pour un forfait mobile avec smartphone offert contre un engagement de 24 mois. La dernière en date vaut d’ailleurs jusqu’au 25 mai et comprend un modèle Redmi Note 8T, un petit milieu de gamme coûtant normalement 199 euros.

L’idée semble d’ailleurs plaire du côté des opérateurs mobiles virtuels. NRJ Mobile a en effet déjà proposé le même type d’offre. Actuellement et jusqu’au 1er juin, il commercialise un forfait appels/SMS/MMS illimités + 60 Go de data mobile à 17,99 euros incluant un Samsung Galaxy A10 (qui coûte normalement 159 euros). L’offre est soumise à un engagement de 24 mois. Notez qu’il faut payer 10 euros au moment de la commande pour l’achat de la carte SIM triple découpe.

Auchan Telecom se lance également sur ce type d’offres. Il commercialise en effet un forfait appels/SMS/MMS illimités + 50 Go de data mobile à 15,99 euros avec un engagement de 24 mois qui inclut un smartphone Huawei Y5 2019 offert (qui coûte normalement 129 euros). La promotion est valable jusqu’au 1er juin. Là aussi, la carte SIM triple découpe revient à 10 euros.

En lançant ce type d’offres, qui permettent d’avoir un smartphone intéressant, mais qui lui ont valu quelques critiques au départ chez les Freenautes de la première heure en raison de la notion d’engagement, Free a voulu se démarquer de la concurrence et l’a finalement inspirée.

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4G : Free Mobile face à une situation ubuesque

Démantèlement, refus de la mairie et mobilisation sans faille de riverains, Free Mobile éprouve de grandes difficultés à implanter une antennes-relais 4G et 5G ready dans la ville de Quimper dans le Finistère.

Une histoire sans fin voire kafkaïenne. Free Mobile tourne en rond actuellement à Quimper malgré l’afflux de pylônes dans la ville. Face à une mobilisation citoyenne récalcitrante, l’opérateur a d’abord dû abandonner en début d’année son antenne-relais située sur la colline emblématique de la ville. En remplacement, Free a rapidement réagi en prévoyant d’implanter un nouveau pylône d’une vingtaine de mètres supportant 6 antennes et prêt à accueillir la 5G, non loin du vélodrome, à la place d’un poteau d’éclairage à proximité d’une installation d’Orange. Seulement, la mairie a refusé de lui accorder un permis de construire à la suite d’une nouvelle mobilisation de riverains craignant la 5G et un impact des ondes sur la santé.

Loin de baisser les bras, Free Mobile a aujourd’hui des vues sur un pylône visiblement inactif depuis 2 ans, non loin du site sur lequel il été contraint initialement de démanteler son antenne. De quoi susciter crainte et indignation chez les réfractaires de la première heure rassemblés dans une association. Nous craignons que Free redéploie son projet ici, dans l’allée des Celtes, s’inquiète son président dans les lignes de Ouest France. Selon lui, des techniciens Free surpris sur les lieux, “étudient la faisabilité de faire de ce pylône une antenne-relais”. L’association dénonce un projet mené “en catimini” et l’absence d’information des services de la Ville. Sa prochaine action, saisir l’ANFR.

 

 

 

 

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Découvrez la répartition des antennes mobiles Free 3G/4G sur Maisons-Alfort dans le Val-de-Marne

Aujourd’hui grâce aux données du site antennesmobiles.fr, Univers Freebox vous propose de découvrir la carte des antennes mobiles Free de la ville de Maisons-Alfort.

Carte des antennes mobiles Free 4G

Free a implanté 4 antennes mobiles 4G dans la ville de Maisons-Alfort (antennes non-actives incluses).

Ces dernières sont réparties de la manière suivante :

– 700 MHz : 3 antennes

– 1800 MHz : 4 antennes

– 2600 MHz : 3 antennes

Cartes des antennes mobiles Free 3G

Free a également implanté 4 antennes mobiles 3G dans la ville de Maisons-Alfort (antennes non-actives incluses).

Nous rappelons qu’un même pylône permet l’installation de plusieurs antennes et donc permet de diffuser plusieurs fréquences simultanément.

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Free Mobile prolonge sa promo sur Veepee, avec un smartphone offert pour une souscription à son forfait 100Go

Comme on pouvait s’y attendre, Free Mobile vient de prolonger son offre spéciale sur le site Veepee.fr

Initialement prévu jusqu’à ce mardi 19 mai à 6h00, le “Forfait Free Veepee” est désormais proposé jusqu’au lundi 25 mai à 6h00. Ce forfait est disponible au tarif habituel de 19,99€/mois ou 15,99€/mois pour les abonnés Freebox, mais avec un smartphone Xiaomi Redmi Note 8 T 128 Go noir offert (sa valeur est de 199€). L’engagement est de 24 mois et la carte SIM est facturée 10€.

Cette offre est valable pour nouvelle souscription exclusivement sur Veepee, réservée aux membres Veepee, à l’exclusion des membres ayant déjà bénéficié d’une offre promotionnelle mobile Free vente-privee au cours des 13 derniers mois et ayant résilié leur ligne mobile Free dans les 30 jours qui précèdent cette souscription. La portabilité entrante du numéro après la souscription n’est pas accessible dans le cadre de cette offre promotionnelle. Offre limitée à un forfait par abonné.

Vous pouvez retrouver tous les détails sur le Redmi Note 8T via le test réalisé par Univers Freebox

Détails du forfait

En France métropolitaine :
• 100 Go d’internet en 4G/4G+ et 3G, avec mobile 4G/4G+ (débit réduit au-delà)
 Appels illimités vers les mobiles et fixes de France métropolitaine, vers les mobiles Etats-Unis, Canada, Alaska, Hawaï, Chine (hors Taïwan, Hong Kong, Macao) et DOM (1) et vers les fixes de 100 destinations 
 SMS illimités vers la France métropolitaine et les DOM 
 MMS illimités vers la France métropolitaine
 Free WiFi illimité  

Depuis l’étranger et DOM  :
• Appels, SMS, MMS illimités depuis Europe et DOM  vers les fixes et mobiles d’Europe, des DOM et de France métropolitaine et depuis les Etats-Unis, Canada, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande et Israël vers les fixes et mobiles du même pays et de France métropolitaine.
 Internet 25 Go/mois depuis Europe , DOM , Suisse, Guernesey, Jersey, Ile de Man, Etats-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Argentine, Algérie, Tunisie, Israël, Turquie, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Inde, Malaisie, Thaïlande, Sri Lanka, Bangladesh, Russie, Ukraine, Serbie, Monténégro, Biélorussie, Macédoine, Arménie, Géorgie, Kazakhstan, Pakistan, Ouzbékistan et Chine (hors Taïwan, Hong Kong, Macao) (au-delà : 0,0054€/Mo depuis Europe, DOM et facturation au tarif en vigueur depuis les autres destinations).  

 

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Test du Nokia 2.3 : quelle expérience propose ce smartphone à petit prix disponible dans la boutique de Free ?

Après le test du smartphone Nokia 6.2, Univers Freebox vous propose celui du Nokia 2.3 aussi arrivé il y a peu de temps dans la boutique de Free Mobile.

Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du Nokia 2.3 qui nous a été prêté par la marque et qui s’affiche à 129 euros chez Free Mobile avec 32 Go de stockage :

 


Fiche technique du Nokia 2.3  : les caractéristiques


–   Processeur : quad-core 2,0 GHz (chipset Helio A22)
–   Mémoire vive : 2 Go


–   Écran : dalle IPS 6,2 pouces avec une définition HD+ (1 520 x 720  pixels)
–   Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–   Stockage : 32 Go en eMMC 5.1 extensible par carte MicroSD (emplacement dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1, B3, B5, B7, B8, B20, B28, B38, B40, B41
–   Compatibilité 5G : non


–   Double capteur photo au dos : 13 + 2 Mégapixels (alignement vertical au centre)
–   Capteur photo à l’avant : 5 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : Micro-USB (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 b/g/n
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : non


–   Batterie : 4 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : bloc 5 Watts (5V/1A) fourni
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 (mise à jour installée en début de test)


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : mars 2020


 

Un design simple et efficace

 

À l’avant, le choix d’une encoche goutte d’eau et la présence bonne bordure au niveau du menton nous rappellent la présence d’un smartphone d’entrée de gamme. Le Nokia 2.3 ne sortira pas du lot avec son design.

Ou alors peut-être avec son dos qui n’est pas inondé de capteurs photo. Il en compte d’ailleurs deux, bien intégrés et ne dépassant pas. On peut ainsi poser le smartphone sur le dos et l’utiliser, sans qu’il soit bancal.

En main, la coque en plastique nous rappelle elle aussi le positionnement entrée de gamme du smartphone. Les tranches plates, le dos légèrement texturé et le poids bien réparti assurent en tout cas une bonne prise en main.

Comme indiqué plus haut, le bloc photo arrière ne dépasse pas et ne dérange pas lors de la tenue en mode paysage pour la vidéo ou le jeu. Là encore, c’est un plus en termes de prise en main.

 

Un écran et un son moyens

 

Nous n’avions pas de grosses attentes du côté de l’écran. Il fait le job. On pourra toutefois lui reprocher un manque de luminosité qui peut poser problème en extérieur pour temps très ensoleillé.

Le son s’écoute, mais n’est évidemment pas stéréo. Lors d’une vidéo ou d’un jeu, le son sort seulement du haut-parleur de la tranche inférieure. Il manque aussi de relief.

Quant aux écouteurs, même topo qu’avec le Nokia 6.2. Ce sont effectivement les mêmes ici. Ils ne procurent aucun plaisir d’écoute et retourneront rapidement dans la boîte. Ce constat reste pardonnable avec un smartphone à 129 euros.

Ces écouteurs se branchent d’ailleurs dans une prise audio 3,5 millimètres située au niveau de la tranche supérieure. Oui, le mini-jack est de la partie.

 

Le minimum syndical en photo

 

Côté photo, le Nokia 2.3 ne multiplie ni les capteurs ni les mégapixels. Vous aurez ainsi de quoi faire quelques photos à consulter sur le smartphone et à partager sur les réseaux sociaux, mais guère plus. Les clichés manquent en effet des détails, se révèlent ternes et sont souvent baveux.

Une photo en extérieur, puis sa version zoomée 3x :

D’autres photos en extérieur :

Des photos en intérieur :

Des selfies en extérieur :

Des photos de nuit, dans une zone résidentielle assez éclairée :

 

Un smartphone compatible avec la 4G 700 MHz

Le Nokia 2.3 supporte la B28, soit la 4G 700 MHz sur laquelle a beaucoup misé l’opérateur de Xavier Niel pour son réseau mobile. Durant notre test, il n’a jamais atteint les 100 Mbit/s en réception, même dans des endroits où d’autres smartphones approchaient les 150 Mbit/s.

Ci-dessous, quelques résultats obtenus en extérieur :

Et un résultat obtenu en intérieur :

 

Un smartphone joueur

Avec son petit processeur quad-core et sa mémoire vive 2 Go, le Nokia 2.3 permet-il de jouer ? Si ce n’est pas avec les temps de chargement les plus courts ni avec des graphismes sublimés, ce smartphone effectivement de jouer.

Il ne nous a pas empêchés de faire des Tops 1 dans Call of Duty Mobile ni de terminer 1er dans nos courses sur Asphalt 9. Poussé dans des retranchements, le smartphone chauffe rapidement au niveau du dos, mais pas de manière désagréable.

Pour ceux qui aiment les benchmarks, l’outil Disk Speed nous indiquait 26 Mo/s en écriture et 207 Mo/s en lecture pour la mémoire interne. Cela explique les installations assez lentes de nos jeux.

AnTuTu n’a tout simplement pas fonctionné. Nous avons essayé trois fois et terminé avec trois plantages en cours de route. Un peu têtus (ou optimismes, c’est selon), nous avons retenté une fois quelques jours plus tard. Même résultat.

 

Une autonomie vraiment bonne, mais une charge interminable

 

Avec une batterie 4 000 mAh pour alimenter une configuration aussi modeste, nous nous attendions à une bonne autonomie. Effectivement, le Nokia 2.3 passe tranquillement la première journée et se dirige vers la seconde sans problème. Par trois fois, il n’a jamais fini sur les rotules malgré de la vidéo et du jeu et nous avons tenu les deux jours sans nous priver.

Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

(1er cas) : Départ à 9h19 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 9h30 avec 12 %
– 1 heure et 30 minutes de streaming musical avec les écouteurs Bluetooth
– 1 heure et 5 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 15 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 50 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– SMS
– 2 minutes d’appel voix
– Photos
– 10 téléchargements, dont 3 gros
–  5 mises à jour d’applications
– Tests de débit
– Benchmarks
– Manipulations + captures

(2e cas) :  Départ  à 13h13 avec 100 % et arrivée le surlendemain 12h06 avec 14 %
– 1 heure et 25 minutes de streaming musical avec les écouteurs Bluetooth
– 1 heure et 20 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure de YouTube avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 25 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 20 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
Consultations et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– SMS
– Photos
– 4 téléchargements d’applications
– 3 mises à jour d’applications
– Tests de débit
– Benchmark (ou plutôt tentative)

Maintenant, il y a ce chargeur 5 Watts, qui plus est en Micro-USB. La charge est interminable.

Passer 12 à 100 % nous a demandé près de 4 heures de patience. Oubliez les recharges express. Vous rechargerez votre smartphone la nuit.

Un suivi de charge :
– 9h31 : 12 %
– 9h47 : 19 %
– 10h05 : 28 %
– 10h41 : 45 %
– 11h09 : 59 %
– 11h33 : 71 %
– 12h04 : 85 %
– 12h21 : 92 %
– 12h56 : 98 %
– 13h13 : 100 %

Un smartphone sous Android 10

Nous avons reçu le smartphone neuf et au moment où la mise à jour Android 10 arriverait. Nous avions ainsi la dernière version en date de l’OS de Google. La mise à jour s’accompagnait d’ailleurs des patchs de sécurité du mois de mars 2020.

Faisant partie du programme Android One, le Nokia 2.3 propose l’interface Android de Google. Pas de surcouche ou d’applications issues de partenariats commerciaux, donc.

En choses pratiques, il y a le bouton dédié pour lancer Google Assistant sur la tranche gauche du smartphone, le mode sombre, la possibilité de rejeter un appel en retournant le smartphone (Système/Gestes) et le choix de naviguer à la gestuelle ou avec deux boutons virtuels.

Terminons sur les solutions de déverrouillage. Pas de lecture d’empreintes. Il faudra se contenter de la reconnaissance que l’on a d’ailleurs trouvée lente (au moins 5 secondes entre l’appui sur le bouton et l’arrivée sur le bureau) et capricieuse (beaucoup de ratés, malgré les réenregistrements des données du visage). Au finalement, nous préférions saisir le code. Selon nous, au-delà du positionnement tarifaire qui impose évidemment des choix, ne rien proposer aurait finalement été plus judicieux que de proposer une expérience vite frustrante.

 


VERDICT


Avec un smartphone à 129 euros, il y a évidemment des concessions à faire à tous les niveaux. Pour autant, ce Nokia 2.3 permet d’avoir accès à la dernière version d’Android, d’avoir une certification Android One assurant un bon suivi dans les mises à jour, de jouer à des titres récents dans des conditions correctes, de partager quelques photos sur les réseaux sociaux et de tenir tranquillement 2 jours sans passer par la case secteur. Les seuls vraiment défauts qui peuvent selon nous nuire à l’expérience utilisateur sont la charge vraiment interminable et la reconnaissance faciale lente et capricieuse.


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Free utilisera les antennes et les infrastructures de l’opérateur Digicel aux Caraïbes et en Guyane Française

Iliad, qui déploie depuis plusieurs mois son réseau dans la zone Caraïbes Française mais également en Guyane, a rejoint, le 4 février 2020, le capital de la société Madiacom, une co-entreprise détenue à part égale avec l’opérateur Digicel. Madiacom qui est actuellement Implantée en Guadeloupe, est le réservoir de l’ensemble des actifs et passif de l’opérateur de Digicel Antilles françaises-Guyane (les actifs sont estimés à 74,6M€ et le passif à hauteur de 24,6M€). Quant aux  215 pylônes de Digicel Antilles françaises-Guyane, ils avaient été vendus à Phoenix Tower International (“PTI ”) par le biais de sa filiale Phoenix Tower FWI, S.A.S en 2018.

Le groupe Iliad change donc sa stratégie pour les Antilles, forcé de reconnaître qu’il ne pourra pas remplir les objectifs de l’Arcep dans les délais impartis. Free Mobile utilisera donc les infrastructures de l’opérateur Digicel, qui traverse actuellement une mauvaise passe financière, en plus du parc d’antenne déployé par Iliad.

(crédit image et source : interentreprises)

 

 

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