Auteur : dimitri

Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 200 euros ?

Régulièrement, Univers Freebox vous propose des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique Free. Vous avez 200 euros ou moins en poche et comptez changer prochainement de smartphone ? Voici nos suggestions !

 

Si vous avez 200 euros en poche : le Xiaomi Redmi Note 9S à 199 euros

Nous aurions pu vous conseiller l’excellent Redmi Note 9, dont nous vous avons proposé le test complet et qui fait partie de nos préférés sur son segment tarifaire. Sauf que le Redmi Note 9S est arrivé entre temps au même prix de 199 euros, tout en apportant quelques petites améliorations au niveau du chipset et de la partie photo, mais également l’écran un poil plus grand. Chipset Snapdragon 720G, écran 6,67 pouces Full HD+, mini-jack, stockage extensible, photo 48 Mégapixels au dos et 16 Mégapixels à l’avant, batterie 5 020 mAh et charge en 18 Watts (avec chargeur 22,5 Watts fourni). Si vous avez les 200 euros en poche, il se présente comme un excellent choix, et encore plus si vous aimez l’interface MIUI du constructeur chinois.


 

Entre 100 et 150 euros : le Xiaomi Redmi 9 à 149 euros ou l’Alcatel 3L 2020 à 139 euros

Le Xiaomi Redmi 9 se présente comme un smartphone intéressant puisqu’on a un écran Full HD+, une batterie 5 020 mAh annonciatrice d’une belle autonomie (2 jours, voire plus, selon les usages), un support de la charge 18 Watts (mais un chargeur 10 Watts fourni) et un quadruple capteur photo 13 + 8 + 5 + 2 Mégapixels qui promet de la polyvalence en photo. Compatible B28, le smartphone profite d’ailleurs d’une petite réduction de 10 euros en ce moment qui fait passer son prix de 159 à 149 euros.

L’Alcatel 3L 2020 est l’une des nos bonnes surprises sur les petits prix lors de nos récents tests. À défaut d’un effort sur le design, vieillot on peut le dire, aucune grosse frustration à l’usage. On a la possibilité de faire tourner des jeux récents grâce au duo chipset Helio P22 + mémoire vive 4 Go, une bonne polyvalence en photo avec le triple capteur 48 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière, des solutions de déverrouillage efficaces et une autonomie atteignant sans problème les 2 jours grâce à la batterie 4 000 mAh. Le smartphone est compatible avec la B28.

Le test complet de l’Alcatel 3L 2020


 

Vous avez 100 euros, mais pas plus : l’Alcatel 1S 2020 à 99 euros

Les budgets les plus serrés désirant passer par Free n’ont pas vraiment le choix avec l’Alcatel 1S 2020 comme unique smartphone à moins de 100 dans la boutique de l’opérateur. Ce choix par défaut permet malgré tout une expérience convenable. Rien d’exceptionnel, que ce soit visuellement ou à l’usage, mais on peut en effet s’amuser un peu en photo et jouer à des titres à la mode comme Call of Duty Mobile (avec des graphismes au minimum). Avec la batterie 4 000 mAh, la journée sera une formalité et les 2 jours d’autonomie envisageables. La lecture d’empreinte digitale et la reconnaissance faciale fonctionnent très bien, tandis que le support de la 4G 700 MHz (B28) de la partie.

Le test complet de l’Alcatel 1S 2020


 

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C’est parti pour la vente privée Free Mobile avec un smartphone offert

Comme prévu, Free vient de dégainer sa nouvelle vente privée sur Veepee. Il s’agit de son forfait 100 Go avec le smartphone Xiaomi Redmi Note 9S offert.

Dans le détail, ce forfait Free Veepee est accessible jusqu’au 16 septembre prochain à 6h00 au tarif habituel, soit 19,99 euros par mois ou 15,99 euros par mois pour les abonnés Freebox. Il s’accompagne du très séduisant Xiaomi Redmi Note 9S 64 Go gris d’un valeur offert, un smartphone d’une valeur de 199 euros embarquant notamment un chipset Snapdragon 720G, un écran 6,67 pouces Full HD+, un capteur photo 48 Mégapixels et une batterie 5 020 mAh. L’engagement est de 24 mois et le coûte carte SIM est facturée 10 euros.

L’offre est valable pour une nouvelle souscription exclusivement via le site veepee.fr, réservée aux membres Veepee, à l’exclusion des membres ayant déjà bénéficié d’une offre promotionnelle mobile Free sur Veepee au cours des 13 derniers mois et ayant résilié leur ligne mobile Free dans les 30 jours qui précèdent cette souscription, limitée à une offre par personne. Maximum deux offres par foyer (même nom, même adresse). La portabilité entrante du numéro après la souscription n’est pas accessible dans le cadre de cette offre promotionnelle.

    Détails du forfait

    En France métropolitaine :
    • 100 Go d’internet en 4G/4G+ et 3G, avec mobile 4G/4G+ (débit réduit au-delà)
    • Appels illimités vers les mobiles et fixes de France métropolitaine, vers les mobiles États-Unis, Canada, Alaska, Hawaï, Chine (hors Taïwan, Hong Kong, Macao) et DOM et vers les fixes de 100 destinations
    • SMS illimités vers la France métropolitaine et les DOM
    • MMS illimités vers la France métropolitaine
    • Free Wi-Fi illimité  

    Depuis l’étranger et DOM :
    • Appels, SMS, MMS illimités depuis Europe et DOM  vers les fixes et mobiles d’Europe, des DOM et de France métropolitaine et depuis les États-Unis, Canada, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande et Israël vers les fixes et mobiles du même pays et de France métropolitaine.
    • Internet 25 Go/mois depuis Europe, DOM, Suisse, Guernesey, Jersey, Ile de Man, États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Argentine, Algérie, Tunisie, Israël, Turquie, Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Inde, Malaisie, Thaïlande, Sri Lanka, Bangladesh, Russie, Ukraine, Serbie, Monténégro, Biélorussie, Macédoine, Arménie, Géorgie, Kazakhstan, Pakistan, Ouzbékistan et Chine (hors Taïwan, Hong Kong, Macao) (au-delà : 0,0042€/Mo depuis Europe, DOM et facturation au tarif en vigueur depuis les autres destinations).
     
    Appli Free Ligue 1 Uber Eats – Accès Premium inclus :
    Suivez en quasi-direct 100% des matchs de la Ligue 1 Uber Eats sous forme d’extraits vidéo et recevez des alertes à chaque but, moment fort et belle action. Vous profitez aussi des résumés de chaque journée et chaque match dès le coup de sifflet final, d’interviews exclusives, de productions originales tels que des web séries, documentaires ou encore podcasts.

Services inclus

    • Services mobile : messagerie vocale, messagerie vocale visuelle, présentation du numéro, double appel, suivi de consommation, rejet des appels anonymes, protection contre les renvois d’appels, abonné absent, numéros abrégés, filtrage d’appels et de SMS.
    • Réception facture par e-mail
    • Annuaire et prospection
    • Blocage consommation vers certains numéros spéciaux et les SMS+

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Antenne-relais : Free obtient gain de cause face à une commune récalcitrante

Dans le cadre d’un habituel blocage face à l’arrivée d’une antenne-relais de téléphonie mobile, Free s’était tourné vers la justice administrative. L’opérateur de Xavier Niel a d’ailleurs obtenu gain de cause.

Le 16 mai dernier, Ffee manifestait son intention d’installer une antenne-relais de téléphonie mobile auprès de la commune de Pornic, dans le département de la Loire-Atlantique. Dans la foulée, Jean-Michel Brard, le maire, a renvoyé l’opérateur dans les cordes en s’opposant explicitement au projet se traduisant d’ailleurs par un pylône de 36 mètres de haut. Selon lui, le plan local d’urbanisme devrait être modifié en amont, avant de donner le feu vert à “cette extension de l’urbanisation”.

Free s’était alors tourné vers le tribunal administratif de Nantes, soulignant qu’il a des impératifs et des attentes en matière de couverture du territoire. Il soulignait aussi que son installation ne demandait aucun renforcement du réseau électrique local, comme le lui avait confirmé Enedis. “De simples travaux de raccordement”, selon lui.

L’opérateur de Xavier Niel vient d’obtenir gain de cause. Le juge a en effet souligné que la commune n’avait pas présenté d’éléments probants dans ce dossier, rappelé qu’elle “n’est pas entièrement couvert(e) par les réseaux” et estimé qu’elle devait par conséquent se pencher à nouveau sur la demande de l’opérateur. “Free Mobile justifie de l’existence d’une situation d’urgence, eu égard à l’intérêt public qui s’attache à la couverture du territoire national par le réseau de téléphonie mobile et aux intérêts propres de la société qui a pris des engagements (…) au titre de cette couverture”, a-t-il été indiqué. En outre, la commune devra verser 1 000 euros à Free au titre de frais de justice.

Source : Actu.fr

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Choc des smartphones à 299 euros proposés par Free : lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement quatre smartphones à 299 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. 

Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Samung Galaxy A51, Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Sony Xperia 10 II et Huawei Note 5T, tous les quatre proposés à 299 euros et compatible avec la B18 (4G 700 MHz) chère à l’opérateur de Xavier Niel.

L’écran : le Samsung Galaxy A51

Tous les smartphones proposent la définition Full HD+ et une diagonale d’au moins 6 pouces. Les Galaxy A51 et Xperia 10 II se démarquent avec leurs dalles AMOLED promettant de belles plus couleurs et des noirs plus profonds. Au final, notre choix se porte sur le modèle Samsung qui opte pour le poinçon, quand le Sony reste avec le bordure faisant perdre pas mal de surface d’affichage.

Notre classement :

  1. Samung Galaxy A51 (6,5 pouces, FHD+, AMOLED et poinçon)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (6,67 pouces, FHD+, IPS et poinçon)
  3. Huawei Note 5T (6,26 pouces, FHD+, IPS et poinçon)
  4. Sony Xperia 10 II (6 pouces, FHD+, OLED et bordure)

Performances en multimédia : 

Les quatre smartphones laissent envisager une navigation fluide et du multimédia. Le modèle Sony se montre toutefois un peu en retrait avec son chipset Snapdragon 665 synonyme d’un processeur octa-core 2,0 GHz, quand les plates-formes Snapdragon 720G, Exynos 9611 et Kirin 980 apportent des processeurs octa-core cadencés à 2,3 ou 2,6 GHz.

Notre classement :

  1. Huawei Note 5T (Kirin 980)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (Snapdragon 720G)
  3. Samung Galaxy A51 (chipset Exynos 9611)
  4. Sony Xperia 10 II (Snapdragon 665)

La photo : un modèle plus chiche que les autres

Les Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Samung Galaxy A51 et Huawei Note 5T se montrent les trois intéressants pour la photo, offrant de la polyvalence. Le premier se démarque avec son module principal 64 Go, tandis que les deux autres promettent des selfies plus détaillés. Le modèle Sony est un plus chiche côté photo.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (64/8/5/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Samung Galaxy A51 (48/12/5/5 Mégapixels à l’arrière, 32 Mégapixels à l’avant)
  3. Huawei Note 5T (48/16/2/2 Mégapixels, 32 Mégapixels à l’avant)
  4. Sony Xperia 10 II (12/8/8 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : le Xiaomi Redmi Note 9 Pro

Le Xiaomi Redmi Note 9 Pro sort clairement du lot, proposant non seulement la plus  grosse batterie, mais également la charge la plus rapide. De quoi rester 2 voire 3 jours loin du secteur et envisager une charge express en cas de besoin.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (batterie de 5 020 mAh, charge 30 Watts en filaire)
  2. Huawei Note 5T (batterie de 3 750 mAh, charge 22,5 Watts en filaire)
  3. Samung Galaxy A51 (batterie de 4 000 mAh, charge 15 Watts en filaire)
  4. Sony Xperia 10 II (batterie de 3 600 mAh, charge 18 Watts en filaire)

L’interface : une affaire de goût

Dernier aspect, et non des moins importants : la partie logicielle. Ceux qui voudront absolument l’expérience Android telle que voulue par Google préféreront le Sony. Les autres pourront envisager les Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Samsung Galaxy A51 et Huawei Nova 5T avec les interfaces MIUI, One UI et EMUI très complètes. Chose à noter concernant le modèle Huawei, il embarque bel et bien les services Google.


Le choix d’Univers Freebox

Notre coeur balance entre deux smartphones : le Galaxy A41 avec son bel écran AMOLED et le Redmi Note 9 Pro avec son autonomie et sa charge rapide. Côté photo, ils offrent tous les deux de la polyvalence, le second se démarquant avec son module principal 64 Mégapixels.

Le Redmi Note 9 Pro donne clairement du fil à retordre à ses concurrents, en cochant pas mal de cases et se présentant comme une valeur sûre ayant peu de chances de décevoir. Toutefois, le Galaxy A51 se montre intéressant avec son écran, un atout non négligeable lors de l’achat d’un smartphone.


 

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Free Mobile : oui à la 4G, mais pas à côté de chez eux

L’arrivée d’antennes-relais sème la discorde dans une commune. Certains sont contre, et d’autres non. Comme souvent, c’est l’emplacement et la communication autour du projet qui posent problème aux opposants.

Énième pylône de la discorde, à Badecon-le-Pin, commune du département de l’Indre, en région Centre-Val de Loire. Mesurant 45 mètres de haut, celui-ci doit accueillir des antennes 4G, mais également servir pour la 4G et la 5G d’Orange. Côté griefs, c’est du grand classique. Les opposants soulignent un manque d’informations, une trop grande proximité avec les habitations et l’impact sur la valeur de l’immobilier aux alentours.

Il y a pourtant le choix pour l’emplacement

“Nous sommes à 100 mètres du site classé des boucles du Pin et des gorges de la Creuse, les premières habitations sont à 70 mètres de là”, notent les opposants, soulignant qu’ils ne sont “pas contre la 4G, il faut lutter contre les zones blanches, mais la commune fait 1.000 hectares, il y a d’autres endroits où l’implanter”

Est également pointée du doigt l’absence d’un permis de construire, alors que la surface au sol est de 73 m². “Le plan indique une implantation au sol de 73 m². C’est bien plus que 20 m², surface maximum pour laquelle il ne faut pas de permis”, souligne l’un des opposants. 

Un manque d’informations

Les opposants soulignent par ailleurs avoir découvert le projet, qui se traduit par un pylône de 45 mètres de haut, durant la campagne électorale. “Nous ne venons pas chaque semaine devant la mairie lire les panneaux où sont affichées les autorisations de travaux”, indiquent-ils.  Pour autant, ils notent un panneau de travaux “bien plié, pour qu’on ne puisse pas le lire”, qui ne mentionne par ailleurs pas l’emprise au sol du projet.

Des opposants, mais pas que…

Si l’installation n’est pas bien accueillie par certains, elle apparaît l’être pour d’autres. Le “non à l’antenne” tracé à la bombe sur la route bordant le terrain a été barré et accompagné d’un “oui”. Les opposants ont lancé une pétition et recueilli une centaine de signatures.

Source : La Nouvelle République

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Une antenne-relais Free détruite lors d’un incendie volontaire

Un pylône supportant des antennes-relais de téléphonie mobile de Free et SFR a été la victime d’un incendie volontaire.

L’incident a eu lieu dans la nuit du vendredi 4 septembre au samedi 5 septembre, vers 1h15. Le cadenas protégeant un pylône a été cassé, avant que les câbles de l’installation soient sectionnés et qu’un incendie soit déclenché à l’aide d’un pneu.

Situé le long de la ligne TGV Sud-Est, sur la commune de Pact, à côté de Grenoble, le pylône en question accueillait des antennes des opérateurs Free et SFR, mais servait aussi pour la communication de la SNCF. D’où des perturbations ayant affecté la circulation des trains, à savoir des ralentissements une partie du samedi matin. L’installation était hors d’usage, tandis que le feu s’est ensuite propagé à la végétation autour, s’étendant ainsi sur près de 1 000 m².

Si l’incident est intervenu deux heures avant l’interpellation de six individus voulant installer une ZAD, afin de s’opposer à un projet immobilier à Saint-Martin-le-Vinoux, également à côté de Grenoble, les premiers éléments d’enquête vont dans le sens de deux affaires distinctes. L’affaire a été confiée au parquet de Grenoble.

Source : Le Dauphiné

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Free Mobile retire de la data dans son forfait Série Free sans baisser le prix

Après en avoir augmenté le prix, l’opérateur de Xavier Niel baisse la quantité de data en roaming de son offre “Série Free”.

Free continue de tester les différentes formules possibles avec son forfait mobile “Série Free” lancé en juillet 2018 et intercalé entre les deux forfaits historiques de l’opérateur, afin d’améliorer le mix d’abonnés de Free et contribuer à sa montée en gamme. 

Aujourd’hui, l’opérateur de Xavier Niel prolonge son offre Série Free jusqu’au 15 septembre 2020 sans augmenter le prix, qui reste donc à 13,99 euros par mois, mais en réduisant la quantité de data en roaming, qui passe ainsi de 10 à 8 Go. Pour le reste rien ne change. Free Mobile propose toujours 80 Go de data en France métropolitaine, ainsi que les appels, SMS et MMS en illimité.

Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois ou avec data illimitée à 15,99 euros par mois pour les abonnés Freebox.

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Xiaomi Mi 10 Lite : test du smartphone 5G disponible à moins de 400 euros dans la boutique Free Mobile

Univers Freebox a pu tester le Xiaomi Mi 10 Lite à moins 400 euros, qui présente plusieurs arguments, dont celui d’être prêt pour les futurs réseaux 5G. Voici nos impressions après plusieurs jours de test.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi 10 Lite, qui s’affiche en ce moment à 369 euros sur la boutique de Free Mobile (au lieu de 399 euros) et dont un exemplaire 6 Go + 128 Go nous a été prêté par la marque :

 

 


Fiche technique du Xiaomi Mi 10 Lite : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,4 GHz (chipset Snapdragon 765G)
–   Mémoire vive : 6 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle AMOLED 6,57 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 ou 128 Go, non extensible par MicroSD


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : oui


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en carré) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 4 160 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 20 Watts (bloc 22,5 Watts inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sous l’écran
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juin 2020


 

Un smartphone qui fait son petit effet à la sortie de la boîte

Le Xiaomi Lite 10 Lite existe en trois finitions blanc céleste, bleu boréal et gris cosmos. Nous avons eu la seconde qui fait son petit effet au déballage. Un brin tape-à-l’oeil, mais sans faire dans l’exagération.

Cerise sur le gâteau, la coque de protection fournie est transparente et ne masquera pas ce joli design, tout en rendant le smartphone moins glissant, moins sujet aux traces de doigt et moins bancal sur le dos (à cause du bloc photo arrière qui dépasse).

La prise en main est en tout cas excellente, que ce soit avec ou sans cette coque.

Un écran AMOLED, mais pas de son stéréo

Côté écran, on a de l’AMOLED pour de belles couleurs et des noirs profonds, mais il faudra composer avec la petite encoche – qui se fait rapidement oublier, cela dit -, et faire l’impasse sur le taux de rafraîchissement 90 Hz.

Toujours concernant les couleurs, il sera d’ailleurs possible d’en régler la chaleur depuis les paramètres du smartphone. Pour finir sur l’écran, nous n’avons pas noté de problème de luminosité particulier pour l’usage en extérieur.

Au chapitre son, hormis l’absence de stéréo, il n’y a pas vraiment à se plaindre. Le son est puissant et profite d’un début de basses qui donne du relief, que ce soit en musique, en vidéo ou en jeu vidéo. Logé dans un coin d’étagère, le smartphone peut faire office d’enceinte d’appoint dans une soirée tranquille entre amis. Bien évidemment, cela ne vaudra pas une bonne enceinte Bluetooth.

À propos des écouteurs fournis, on est en terrain connu. Efficaces, ce sont en effet les mêmes que nous avions notamment avec le Redmi Note 7.

Leur branchement se fera ainsi en mini-jack. La prise se trouve dans la tranche supérieure. Vous aurez donc le choix entre le mini-jack ou le Bluetooth pour le branchement des dispositifs audio.

Une partie photo imparfaite, mais intéressante

Passons maintenant à la partie photo. Xiaomi ne prend pas de risques avec suffisamment de polyvalence pour satisfaire le plus grand monde. On a de l’ultra grand-angle, du mode portrait, de la macrophotographie et du mode nuit au programme. Le module à selfies ne s’en sort pas trop mal et permettra d’avoir des selfies assez convenables pour les réseaux sociaux.

Une photo en extérieur avec ses versions ultra grand-angle et zoomée 2x :

D’autres photos en extérieur (voyez d’ailleurs le complot en préparation chez les volatiles sur le second cliché):

Des photos avec le mode macro qui permet de s’amuser un peu :

Des photos avec du flou d’arrière-plan, en intérieur, puis en extérieur :

Des selfies en intérieur et en extérieur :

Des clichés de nuit en extérieur avec le mode dédié (notez d’ailleurs la seconde prise de vue avec ce mur crème devenant bleu, malgré plusieurs tentatives) :

Une photo le soir, en intérieur, avec peu d’éclairage et un sujet qui bougeait un peu :

Sauf à vouloir faire de la publicité pour votre smartphone sur les réseaux sociaux, vous pourrez désactiver le watermark activé par défaut. Dans l’application photo, il faut aller dans “Paramètres/watermark”.

 

Un smartphone dual-SIM, B28 et 5G

Le smartphone est compatible dual-SIM, avec deux logements SIM dans un tiroir de la tranche inférieure. Il fonctionne avec les réseaux 4G et 5G. Faute de réseau 5G au moment du test, nous n’avons pu tester que les débits en 4G, sur le réseau Free Mobile.

Voici des débits obtenus en intérieur :

 

Des débits en extérieur :

Notez que le Mi 10 Lite gère la 4G 700 MHz, soit la B28 chère à l’opérateur de Xavier Niel. Une bonne chose pour les abonnés Free Mobile.

Le jeu ? Une formalité !

Avec un chipset Snapdragon 765G, le jeu est sans surprise une pure formalité. Nos habituelles titres Asphalt 9 et Call of Duty Mobile se chargeaient rapidement et tournaient avec de beaux graphismes. Pas de chauffe dérangeante.

En revanche, l’autonomie fond doucement, mais sûrement. Avec 35 minutes de COD, nous sommes ainsi passés de 37 à 21 %. Amateurs de jeu mobile, vous voilà prévenus.

Côté benchmarks, l’outil AnTuTu positionne le Xiaomi Mi 10 Lite en dessous du OnePlus Nord doté du même chipset Qualcomm et au-dessus du Samsung Galaxy Note9, un ancien haut de gamme de fin 2018.

Disk Speed affichait quant à lui 529 Mo/s en écriture et 0,91 Go/s en lecture pour la mémoire interne. Voilà qui explique les installations et chargements rapides. D’ailleurs, pas d’extension par carte MicroSD au programme.

La journée, voire un peu plus

L’autonomie variera évidemment selon les usages de chacun. Dans notre cas, la batterie 4 160 mAh permettait de passer la première journée sans nous priver et d’envisager une demi-journée en plus.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h30 avec 100 % et arrivée le lendemain à 20h17 avec 19 %

– 55 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 50 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 40 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 55 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– SMS
– Photos
– 3 mises à jour d’applications
– 6 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– Une mise à jour du système pesant 910 Mo
– Tests de débits
– Benchmarks

Le Xiaomi Mi 10 Lite supporte la charge 20 Watts via l’USB-C, ce qui permet d’avoir une charge dans un temps raisonnable. Le constructeur d’ailleurs un bloc chargeur légèrement plus puissant de 22,5 Watts. Pas de charge sans-fil, par contre.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 10h16 : 5 %
– 10h21 : 12 %
– 10h26 : 22 %
– 10h31 : 31 %
– 10h36 : 40 %
– 10h41 : 50 %
– 10h46 : 59 %
– 10h59 : 84 %
– 11h04 : 88 %
– 11h09 : 92 %
– 11h30 : 100 %

L’interface MIUI avec une base Android 10

Le Xiaomi Lite 10 Lite profite d’une interface assez complète en termes de fonctionnalités (mode nuit, mode ne pas déranger, mode écran divisé, possibilité de cacher l’encoche, second espace, etc.).

  

 

Il y a un petit lot d’applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, qui ont le mérite d’être bien rangées et supprimables.

 

Les solutions de déverrouillage avancées, à savoir le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale, ont toujours fonctionné à merveille durant notre test.

Toujours au volet de la sécurité, nous avions enfin les patchs de sécurité de juin 2020 durant notre test.


VERDICT

Au regard de son prix sous la barre des 400 euros, le Xiaomi Mi 10 Lite se présente comme une belle proposition à défaut d’être parfait en tous points.

En main ou à l’oeil, il respire la qualité. Au quotidien, il offre un bel écran, de belles photos, de bonnes performances en multimédia, une autonomie convenable et une charge assez rapide. Compatible avec la 4G 700 MHz, il s’annonce également prêt pour la 5G. Cerise sur le gâteau, le constructeur n’est pas avare en accessoires, fournissant une coque de protection (de base, mais bien là), de bons écouteurs et un chargeur plus puissant que nécessaire.

En étant tatillon, on pourrait lui reprocher le son pas stéréo et l’absence de charge sans-fil, mais cela reste acceptable sous la barre des 400 euros. Il y a l’absence d’extension MicroSD.


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Tensions autour d’une antenne : un politique s’en mêle pour désamorcer la situation

Un politique intervient pour éviter l’enlisement d’un conflit entre Free et des riverains refusant l’implantation d’une antenne-relais. Pourtant dans son bon droit, l’opérateur de Xavier Niel serait prêt à venir discuter d’alternative.

La tension a bien du mal à redescendre à Montjuvin, dans le département de Haute-Loire, avec l’installation d’une antenne-relais censée d’améliorer la couverture réseau mobile sur la base de voile de Lavalette et de son parking. Ayant obtenu le soutien de la nouvelle municipalité, les riverains disent vouloir “défendre leur cadre de vie”, déplorant une installation trop proche des habitations, un impact sur la valeur de l’immobilier à proximité et un pylône de 40 mètres peu esthétique en guise d’accueil pour les visiteurs. La tension monte d’un cran alors que Free serait en droit de démarrer les travaux dès le 9 septembre.

Une intervention pour faire bouger les lignes

Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, a décidé d’intervenir pour tenter de désamorcer la situation. “Il faut gagner du temps et trouver comment repousser la date limite de l’installation de cette antenne afin que Free ait moins de pression et soit plus détendu pour discuter”, indiquait-il ce dimanche 6 septembre, lors d’un rassemblement de riverains. Confirmant que “la situation juridique est tordue”, il a affiché son intention de mettre son “poids en entier dans la balance”.  Et de lâcher : “Free a besoin de nous, Région, et je leur ai dit que s’ils cherchaient à passer en force sur ce dossier, ils me trouveraient sur leur chemin. Le message a été, je crois, bien reçu”. Il a toutefois replacé les choses dans leur contexte, à savoir les obligations liées aux New Deal Mobile : “il faut reconnaitre que Free a une pression financière et qu’il est engagé sur des délais pour développer son réseau 4G sous peine d’astreintes financières importantes”. D’où la possibilité d’aides, “en cas de surcoût”, liés à des solutions alternatives.

En parallèle, les opposants ont poursuivi leur action. Le cabinet d’avocats sollicité par les opposants évoque d’ailleurs des “éléments tangibles” à exploiter dans le cadre de cette affaire. Spécialisé dans les questions d’antennes, il conseille d’ailleurs depuis des années l’association Robin des Toits. Aux sujets des opposants, Laurent Wauquiez a promis des aides financières. “Je n’admets pas que vous engagiez de l’argent de votre poche alors que votre combat est un combat plus large pour préserver ce site qui, s’il n’est pas totalement naturel, est un des joyaux de notre département et qu’à ce titre il mérite d’être préservé. Je m’engage à ce que cela ne vous coûte rien personnellement”, a-t-il en effet indiqué.

Une rencontre prévue en septembre

Si Free n’hésite pas à aller devant les tribunaux quand il en a marre et pourrait dans le cas présent démarrer les travaux du fait l’expiration du délais d’opposition, l’opérateur aurait ici accepté une rencontre courant septembre afin de discuter d’alternatives. Rappelons d’ailleurs que l’installation avait été un temps envisagée au village Chenereilles, avant d’être proposée au village de Montjuvin. Un choix permettant au passage d’améliorer la couverture du village de Verne, où la couverture de l’opérateur de Xavier Niel est jugée faible.

Source : Zoomdici

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4G : Free en a marre et passe à l’offensive face à une municipalité

Dans le cadre d’une habituelle opposition face à l’installation d’une antenne-relais, Free passe à l’attaque. Il assigne une municipalité en justice.

Depuis avril 2019, Free envisage l’installation d’une antenne-relais à Saurat, dans le département de l’Ariège. L’opérateur de Xavier fait toutefois face à une opposition se traduisant par la publication d’un arrêt empêchant les travaux pour l’implantation d’un pylône de 36 mètres de haut.

Les riverains n’en veulent pas, évoquant une trop grande proximité avec les habitations et des élevages, mais aussi une atteinte à l’esthétique du paysage. D’autant plus que, selon eux, Free “n’apporte en aucun cas la preuve d’une amélioration des services” et “ne mutualise pas avec les autres opérateurs”.

“Ce qu’ils veulent, c’est éviter une longue procédure et démarrer les travaux le plus rapidement possible”, indique Jean-Luc Rouan, le maire de Saurat, à nos confrères de La Dépêche. Le dossier traînant en longueur, la Free a en effet décidé, après plusieurs refus, de passer par la voie judiciaire. L’opérateur s’est tourné vers le tribunal administratif de Toulouse et a assigné la municipalité, afin de faire suspendre l’arrêté en question. L’audience est prévue le 10 septembre prochain.

Source : La Dépêche

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